Mois : février 2008

Blind Test de la semaine!

blind_test.jpg

Illustration: Technikart

Cette semaine pas une chanson mais quatre! Par contre, comme le titre du billet l’indique, histoire de pimenter un peu les choses, à vous de découvrir les interprètes et titres des chansons. Sans triche on s’entend, de toute façon ce n’est pas très dur!
Notez que j’ai failli faire une thématique spéciale Saint Valentin avec musique à l’eau de rose mais finalement c’est un peu plus rock que ça… Je vous laisse découvrir le tout, j’éditerai mon post avec les réponses à la fin.

EDIT du 19/02: c’est l’heure des réponses!

arctic.jpg Premier titre: When the sun goes down des Arctic Monkeys, groupe de rock (ah bon??) anglais qui a fortement cartonné en 2006-2007 avec leur album Whatever People Say I Am, That’s What I’m Not. On y retrouve de très bons morceaux, tels que I bet you look good on the dancefloor et Mardy bum.
Ils ont sorti un nouvel album en avril 2007 mais je ne l’ai pas encore écouté (honte sur moi)…
En attendant, leur myspace: www.myspace.com/arcticmonkeys

dandywharols.jpg Il fallait trouver Get Off des Dandy Warhols, groupe américain qui fût le temps de Dig!, à l’affiche d’un documentaire avec un autre groupe: The Brian Jonestown Massacre. Les Dandy Warhols existent depuis pas mal de temps déjà mais la reprise d’un de leur titre pour le générique de la (très bonne) série Véronica Mars, We used to be friends, n’a fait qu’augmenter leur visibilité. Dans les titres à retenir, hormis ces deux-ci, il y a Bohemian like you.
Leur myspace: www.myspace.com/thedandywarhols

feist.jpg Seule fille de ce blind test et aussi seule artiste reconnue dans les commentaires, Feist! Ce morceau, Mushaboom, est extrait de son premier album qui est très, très réussi, Let it die. Bien sûr aujourd’hui tout le monde connaît 1, 2, 3, 4 de Feist grâce à la pub de l’Ipod mais il y avait une vie et surtout un album avant ça! Ne le manquez pas, limite il est mieux que le second!

dylan.jpg Pour finir, j’ai été un peu (beaucoup, beaucoup) surprise que personne ne trouve cet artiste parce que bon, quand même quoi! Il s’agissait donc de Bob Dylan, et de la superbe chanson Blowin’ in the wild dont je ne me lasse pas de la première phrase:
« How many roads must a man walk down
Before you call him a man? »

Message à caractère viral

Alors que je viens de programmer mon billet de ce soir, je m’aperçois que j’ai été taguée par Mam’Zelle Yoko pour faire suivre une chaîne, et accessoirement révéler 6 choses sur moi. Si j’avais su, j’aurais gardé mes manies du réveil pour ça! Je me demande surtout comment je vais trouver 6 personnes à qui refiler le bébé sans qu’elles n’aient déjà été taguées avant?!

Les règles sont simples (encore heureux!):
– Mettre le lien de la personne qui vous tague
– Mettre le règlement sur votre blog
– Mentionner 6 choses/habitudes/tics importants sur vous-même
– Taguer 6 personnes à la fin de votre billet en mettant leur lien
– Avertir immédiatement sur leur blog les personnes taguées

  • J’adore errer en pyjama la journée (tout l’intérêt d’être célibataire et sans emploi!)
  • Je ne finis jamais un repas sans une touche sucrée ou un yaourt
  • J’englobe toujours dans « yaourt » ce que je devrais appeler « dessert » type mousse au chocolat, liégeois pour me donner bonne conscience.
  • Je peux faire la tête facilement, sur une toute petite contrariété
  • Je ne marque jamais les pages des livres que je lis. Je les referme en mémorisant le numéro de page et quand je les rouvre je passe 10 ans à rechercher la bonne page, puis la bonne ligne!
  • J’aime pas le téléphone, je préfère de loin les mails, ce qui me vaut de m’éloigner de mes amies.

Sur ces entrefaites, il faut que je tague 6 personnes alors allons-y!

Kriss
Marlène
Carinette
Clyne
Anaïs
JS

De bon matin…

reveil.jpg Ce matin j’ai été réveillée à deux reprises par des textos alors qu’il n’était même pas 9h! Non mais où va le monde franchement? Le pire c’est que l’un d’eux était d’Orange, tout ça pour me dire que j’avais le droit à l’option Monde gratuitement! Super, c’est exactement ce qu’il me fallait pour me réveiller dans la bonne humeur!
D’autant que j’ai programmé mon téléphone pour qu’il bippe toutes les 2 minutes jusqu’à ce que je lise les nouveaux textos et que ce matin il a bien dû me falloir 10 minutes pour réaliser d’où venait ce drôle de bruit.

Heureusement le deuxième texto était beaucoup plus sympa mais il ne m’a pas empêché de me rendormir… Je suis incorrigible, je sais! Faut dire, j’ai quelques manies liées au réveil…
La première c’est que si je demande à être réveillée à 9h j’ai une parfaite horreur qu’on me réveille à 8h58, voire 59 (chez mes parents par exemple)! C’est psychologique, on est bien d’accord, mais si mon réveil indique 8 dans la case des heures c’est qu’il n’est pas 9h donc que c’est trop tôt, logique imparable n’est-il pas?!

Ma seconde manie consiste à ne jamais programmer mon réveil à heure ronde (les quarts d’heure et demi-heure étant considérés comme ronds).
Quand je travaille (Seigneur, faites que je retravaille un jour!), le dimanche soir je programme mon réveil à 7h49, le mardi je passe à 7h51 vu que j’étais en avance le matin, le mercredi à 7h52 pour la même raison, le jeudi à 7h53 parce que je suis crevée et qu’une minute de plus me fera le plus grand bien, et le vendredi généralement j’oublie de mettre mon réveil…
Quoiqu’il en soit, pour une raison obscure, j’ai horreur de mettre mon réveil à 7h50 ou 8h, j’ai l’impression de perdre des minutes de sommeil en arrondissant alors qu’au fond ça ne change pas grand chose….

En même temps, je me demande à quoi ça serve que je mette mon réveil vu que de toute manière je suis systématiquement en retard.

Mini baignoire, maxi effort

baignoire Cette semaine, alors que j’étais terrassée par un horrible virus (un rhume), j’ai entrepris l’expérience la plus périlleuse de ma jeune vie (oui oui)… prendre un bain dans ma mini-baignoire!

Or donc mercredi soir, pendant que je vous comptais les symptômes de ma maladie, j’étais tremblotante de fièvre derrière mon écran (comme quoi rien ne m’arrête) au point de finir par me traîner sous la douche pour tenter de calmer les frissons à grand coup d’eau chaude.
Je dis douche mais en fait c’est une baignoire-sabot ou plus exactement une mini baignoire-sabot! Si vous enlevez les bords montants, je pense que niveau surface ça équivaudrait à peu de chose près à une petite cabine de douche engoncée entre 2 murs!

L’eau chaude (bouillante) c’est sympa mais le robinet à balader un peu partout pour justement avoir chaud un peu partout c’est chiant au bout d’un moment, surtout que dans ce cas-là j’en mettais partout pour éviter d’atteindre mes cheveux (magnifiquement brushés la veille). Du coup, prise par une envie soudaine, j’ai tenté le tout pour le tout et j’ai entrepris de remplir ma mini baignoire d’un maximum d’eau, histoire de barboter…

Déjà ça a pris plus de temps que l’on ne pourrait s’imaginer pour un si petit objet, me laissant mourir de froid pendant l’opération. Quand enfin ce fut fait, il a fallu trouver une position pour m’immerger au maximum, c’est là que j’ai regretté ne pas avoir pris l’option contorsionniste à la naissance!
Y avait pas 36 solutions, c’est donc les fesses dans le talon du sabot (dans le creux quoi) que les choses paraissaient le plus adéquat. Sauf que ça impliquait d’avoir le truc rond qui sert à fermer le fond de la baignoire dans le dos! Très confortable vous l’imaginez! Ma mini baignoire devant faire 60 cm de large, se mettre de côté n’étant pas franchement mieux…

J’ai quand même réussi à barboter dans mon sabot pendant suffisamment longtemps pour retrouver une température corporelle normale. Par contre, je n’avais pas réfléchi à ma sortie dudit objet et ça a été toute une aventure! Parce que du coup, les fesses dans le creux et les jambes croisées sur la partie plus haute, bah je n’arrivais plus à m’extirper de ma baignoire! Ou plutôt j’ai réussi en créant un raz-de-marée, répandant de l’eau dans à peu près toute ma salle de bain (qui doit bien faire 2 m2) et en manquant glisser à 4 reprises! Fallait vraiment que j’ai envie d’un bain ce soir-là!

Californication

CalifornicationDiffusée cet été sur Showtime (câble US), j’avais entendu des critiques mitigées sur la nouvelle série de David Duchovny (X-Files), Californication. Puis ces dernières semaines, j’ai lu de bons avis sur différents blogs , notamment chez Carinette, ce qui m’a décidé à m’y mettre.

L’histoire
Hank Moody (David Duchovny donc) est un auteur sulfureux à succés mais en panne d’inspiration depuis plusieurs années déjà. Son ex-compagne, dont il est toujours épris, est sur le point de se marier à un type somme toute banal, ce qui ne l’aide pas à aller de l’avant. On suit les débauches du personnage principal qui tourne à l’alcool et aux drogues autant que sa quête du bonheur, qui passe par la reconquête de son ex, et ses réflexions sur la vie, les gens, l’honnêteté…

Avis
12 épisodes de 25 minutes pour cette première saison qui a le mérite d’avoir de très bons acteurs (hormis Becca, insupportable). Le sujet par contre n’a rien de très novateur mais heureusement les personnages sont attachants et Duchovny très sexy comme le soulignait Carinette.
Cette série est tout de même l’une des rares dont la fin de la saison pourrait être la fin de la série tant l’impression que tout est achevé et bien en place au dernier épisode est forte! Pour le coup, la série a quand même été renouvellée pour une 2e saison donc on verra bien ce que les scénaristes ont prévu…

Je m’étonne tout de même de suivre de plus en plus de séries diffusées sur le câble US où drogue, sexe, alcool sont mis en scène de façon extrêmement réaliste et/ou trash alors qu’en même temps ABC vient d’être condamnée à payer une amende de 1.4 millions de dollars pour avoir montrer une femme nue dans NYPD Blue en 2003! Dans ladite scène de 40 secondes, la femme rentrait ou sortait (je ne sais plus) de la douche… Choking!
Vive l’Amérique puritano-trash!

Fallait bien que ça arrive…

Pendant 6 semaines je n’ai pas travaillé. Pendant 6 semaines je mettais mon réveil à 9h pour ne réussir à me lever qu’à 10. Pendant 6 semaines, je matais des séries tout en repoussant le moment où je relancerais les agences intérim pour travailler. Pendant 6 semaines, j’étais au chaud chez moi, à me goinfrer de Délichocs et smoothies.

Il a fallu que je tombe malade la 7e semaine, pile celle où je recommence à travailler! C’est quand même pas de bol! Alors que j’aurais pu dormir à loisir avec la fièvre pour excuse, manger des soupes bouillantes devant des séries avec mes 83 mouchoirs dispersés à travers l’appart, il faut que je fasse bonne figure qu travail!
rhume
Et croyez-moi c’est pas simple pas simple parce que, quand je suis enrhumée, outre le nez qui coule, j’ai aussi les yeux qui pleurent (mais vraiment), et un plus que l’autre!
Pour une hôtesse d’accueil, le nez rouge, les yeux rouges (dont un qu’on jurerait qu’il s’est pris un coup), puis noirs à la fin de la journée (à cause du mascara), les poches violettes sous les yeux et le teint grisâtre, c’est pas terrible! Sans compter les besoins urgents de se moucher (très fort évidemment) quand vous avez le DG en face de vous qui vous pose une question, la variante étant l’envie d’éternuer pile quand le téléphone sonne ; bonjour la classe! Avec ça, la tête prête à exploser, l’envie de dormir incontrôlable, vous avez le tableau d’une intérimaire toute dévouée à son travail! Pas sûrs qu’ils me rappelleront…

Certaines mauvaises langues disent que c’est une allergie au travail qui se manifeste alors que j’aurais tendance à penser que c’est mon karma qui me revient en pleine figure pour être un tantinet fainéante… Allez savoir!

Changement de décor – David Lodge

LodgeDe David Lodge j’ai lu Pensées secrètes sur une plage de République Dominicaine il y a tout juste 2 ans. À l’époque, outre mon bronzage de malade en plein hiver, j’avais beaucoup aimé ce roman, lu en quelques jours à peine.

En errant dans les rayons de la bibliothèque il y a 15 jours, je suis tombée de nouveau sur cet auteur sans trop savoir quel livre emprunté. Il me semblait que Kriss n’avait pas aimé celui qu’elle avait lu mais j’étais incapable de me souvenir de son titre.
En lisant les 4e de couverture, je choisis Changement de décor qui citait deux critiques : « Un suspense cocasse, une satire divertissante dont personne ne sort indemne. » (Aleth Paluel-Marmont, Cosmopolitan), « On se plie de rire, on en pleure. » (Monique Gehler, L’Événement du jeudi)…

L’histoire
En pleine révolution sexuelle, 2 professeurs de littérature anglaise (l’un américain, l’autre britannique) échangent leur poste pour 6 mois. S’en suit une série d’aventures où ils finiront par échanger bien plus que leurs emplois.

Avis
Les 100 premières pages sont très, très longues, au point que les descriptions de Balzac paraissent courtes à côté! Une fois la mise en place faite, je m’attendais à rire et pleurer (logique) mais que nenni! Le livre est moyen, limite fade, tout le long, sa seule originalité étant formelle.
En effet, découpée en plusieurs parties, l’une d’elle est épistolaire (peut-être la meilleure) alors que la dernière est écrite comme un scénario de film (pas grand intérêt). À part ces effets de manche, rien à signaler, tout est assez convenu dans ce changement de décor et de femmes.
On a aussi le droit de temps en temps à un discours sur la littérature (prof d’anglais oblige), voire sur Jane Austen (qui décidément me poursuit depuis quelques mois), c’est pas désagréable mais est-ce bien utilisé dans ce pavé déjà compact et pas toujours digeste que représente le livre…

Recherche ami(e) désespérément !

Non, non, ce n’est pas pour remplir ma vie sociale que je dis ça, mais parce qu’il y a une fonction de Facebook que j’adore particulièrement : la recherche d’ami! Facebook, au début, j’étais à fond, ajoutant nouvelles applications, Wall, FunWall, SuperWall, Quizz, Quizz+, etc., jusqu’au jour où j’en ai eu marre de recevoir plein de messages type chaînes alors que je m’abstenais moi-même de les faire suivre. J’ai donc tout enlevé (ou presque), ce qui me permet maintenant de passer beaucoup moins de temps sur Facebook sauf quand je commence à jouer du bouton « search »…
Facebook
Retrouver de vieux amis ou d’anciennes connaissances m’amuse beaucoup mais me prend un temps fou l’air de rien!
Il y a ceux dont je suis sûre des noms mais qui ont des dizaines d’homonymes (essayez de trouver un Lambert, vous verrez).
Et puis il y a ceux dont je me rappelle des noms mais pas l’orthographe exacte, alors pour peu que ce soit quelque chose de courant, je n’ai pas fini (Gautier, Gauthier?).
Sans oublier ceux dont je me souviens à peu près du nom mais en fait pas tant que ça donc j’essaie 10 possibilités sans savoir si l’absence de résultat vient d’une erreur de ma part ou si la personne n’est tout simplement pas inscrite (Filmore, Felmore, Falmore??) !
Enfin il y a ceux dont je ne me rappelle qu’une vague silhouette ou une anecdote mais dont j’ai très envie de voir à quoi ils ressemblent maintenant (et ce qu’ils font accessoirement) et là il faut soit faire travailler sa mémoire, soit arpenter les listes d’amis de vos amis en espérant qu’un nom vous semble familier, soit encore chercher des groupes dans lesquels ils pourraient éventuellement être inscrits s’ils étaient éventuellement membre de Facebook!

Toutes ces opérations sont à renouveler régulièrement évidemment au cas où les personnes recherchées s’inscriraient entre temps… Ah! Vive les réseaux sociaux!

4 films à voir (…ou pas)

La vie des autres La vie des autres est un film allemand, ce qui en soi aurait tendance à me rebuter, mais il a été tellement encensé que je me suis dit qu’il était dommage de ne pas le voir. Il dure 2h17, 2h pendant lesquelles je n’ai pas vu le temps passer. C’est élégant, sobre, dur, humain, en d’autres mots à voir, d’autant que les deux acteurs masculins sont extraordinaires!
Je l’ai vu dans une petite salle d’Art et d’essai, La Pagode dans le 7e, qui est assez incroyable. Elle a été construite en 1895 pour la femme du directeur du Bon Marché et c’est un vrai trésor venu d’Orient! Il faudrait que j’y retourne de jour pour saisir toute la splendeur de ce lieu un peu incongru à Paris mais qui a quelque chose de magique. La salle principale est une ancienne salle de bal qui nous transporte tout droit en Asie et on se plaît à imaginer à quoi elle pourra ressembler entièrement restaurée…

We own the night Autre film vu cette semaine, We own the night (La nuit nous appartient) de James Gray avec Joaquim Phoenix et Mark Wahlberg. C’est une histoire de drogue et de police sur fond d’années 80 (décidément après American gangster et les 70’s!) mais surtout sur fond d’histoire familiale car ici 2 frères marchent dans des directions opposées au début . Ce n’est pas un film d’action mais un tableau de famille ou plutôt un drame social qui place un des protagonistes devant un choix, voire devant l’absence de choix.
Si le film n’échappe pa à quelques clichés scénaristiques, il reste une très grande et très belle oeuvre de Gray dont je vais m’empresser de voir The Yards et Little Odessa maintenant.

Lucky you Troisième film vu, Lucky you que les amateurs de poker apprécieront sans doute, avec Eric Bana et Drew Barrymore. Pas grand chose à dire sur les acteurs qui ne font pas de performance exceptionnelle mais qui sont sympas à regarder, par contre l’histoire manque de force. On suit un joueur professionnel qui lutte contre ses démons intérieurs et son enfance, tout en tentant de vivre une histoire d’amour. Ça se laisse voir et ça m’a surtout donné envie de rejouer au poker!

prix_a_payer.jpg Pour finir, une comédie française, Le prix à payer, que le bande annonce m’avait vraiment donné envie de voir. Sauf que la bande annonce a inclu toutes les scènes drôles et que la comédie tire plus sur la tragédie par moment.
L’idée de départ était prometteuse mais a été mal exploitée: un riche quinqua (Christian Clavier) pose un ultimatum à sa femme oisive et dépensière (Nathalie Baye): « pas de sexe, pas d’argent » sur les conseils de son chauffeur (Gérard Lanvin), qui lui-même connaît quelques problèmes de couple. Les acteurs sont bons, rien à dire, et d’ailleurs c’est une des rares fois où je vois Clavier sans toutes ses mimiques type Les visiteurs, je ne me souvenais même plus qu’il pouvait parler normalement!