Quoi de mieux qu’une chanson évoquant Paris pour célébrer mon tout nouveau et tout beau visa canadien apposé ce jour-même dans mon passeport?
Cherchez pas, c’est ma drôle de logique…
Pour revenir à cette chanson, Rue de Paname, je l’ai entendue pour la première fois en version live sur l’album Un air, Deux familles que Les Ogres de Barback ont enregistré avec Les hurlements d’Léo. Sur cet album on pouvait découvrir à quel point Les Ogres de Barback et Les hurlements d’Léo (qui ne cassent pas les oreilles je vous rassure) se complétaient et s’inscrivaient effectivement dans la même « famille », un vrai plaisir.
Les Ogres de Barback sont composés de quatre membres avant tout instrumentalistes. Vous pouvez les voir tantôt au violon, tantôt à l’accordéon, en passant par le trombone ou encore la flûte, un joyeux folklore en quelque sorte. Je suis loin de connaître tout leur répertoire mais leur premier album Rue du temps (sorti en 97) avec donc Rue de Paname mais aussi Accordéon pour les cons est un vrai petit bijou à mon goût. C’est un groupe que j’aimerais bien voir en concert tant j’imagine l’énergie qu’ils peuvent dégager sur scène…
Je scruterai leurs dates de tournée voir si des fois il ne passerait pas à Montréal à tout hasard dans les mois à venir et en attendant on peut écouter quelques extraits de leur dernier album, Du simple au Néant, sur leur page myspace.