Mon téléphone a sonné hier vers 14h et à voir le numéro de mes parents s’affichaient je me doutais bien de quoi il s’agissait. Ça faisait déjà quelque temps qu’il en était question mais hier soir ils ont pris la décision difficile d’emmener pour la dernière fois Lewis chez le vétérinaire pour le faire piquer…
Je pense à mes parents pour qui le vide doit être encore plus grand. Ils aperçoivent ses casseroles, sa panière, ses couvertures, sa laisse… Je ne vais pas revenir sur Lewis en lui-même qui était un chien génial, beau et gentil, mais juste sur l’incroyable amour qu’un animal peut faire naître chez les gens. Je sais que ce n’est pas facile à comprendre quand on n’a pas eu d’animaux soi-même mais vraiment, on peut s’attacher à un chien ou un chat de manière à pleurer de longues heures quand ils viennent à disparaître.
Après ce moment difficile à passer, il y a les gens qui décident que c’est trop douloureux pour ravoir un animal et ceux qui décident d’en radopter un tout de suite. Je sais que mes parents ne feront pas ce choix et même si je les comprends, la maison va me paraître bien vide sans un gros pépère dans les alentours…. Heureusement il reste Chipie, petite chatte polissonne mais adorable, c’est déjà ça!