Sept vies: Ce nouveau film de Will Smith avance sans qu’on sache vraiment à quoi on assiste. Énigmatique jusqu’au moment où Chéri a dit « ah je suis sûr qu’en il s’agit de… » et là fini le suspens puisqu’effectivement c’est devenu évident! Pas mal mais sans plus.
The edge of love: Un film avec Kiera Knightley, Sienna Miller autour de la vie du poète anglais Dylan Thomas, ça partait plutôt bien mais c’était tellement sans intérêt qu’au bout de 47 minutes très exactement on l’a arrêté! Ça nous arrive rarement mais là on ne tenait plus! À éviter.
Les évadés: Très grand film de 1994 avec Morgan Freeman et Tim Robbins. Un banquier condamné à deux peines de prison à vie pour le meurtre de sa femme et de son amant rencontre un vieux détenu avec qui il va se lier d’amitié. Leur histoire est belle, intéressante et l’intrigue, quoique simple, nous tient en haleine pendant les 2h20 que dure ce film. Incontournable.
Max Payne: L’histoire n’est absolument pas originale, on sait quasiment dès les premières minutes comment ça va finir mais bon il y a de l’action, des effets de ralenti qui sont paraît-il issus du jeu vidéo qui font passer le temps ou qui énerve, ça dépend des moments. À voir si on a rien d’autre à faire.
Mesrine 2 (L’ennemi public numéro 1): après le 1 qui m’avait beaucoup plu, j’ai peut-être laissé passer un peu trop de temps pour voir ce deuxième volume car je ne me souvenais plus trop où on s’en était arrêté. Quoiqu’il en soit cette seconde partie est tout aussi réussie, bien que j’ai trouvé le temps un peu plus long. Quant au personnage de Mesrine, on a parfois envie de s’attacher à lui tant il est culotté mais un acte particulièrement violent aura eu raison de ma sympathie! On y trouve des seconds rôles de choix dont Mathieu Almaric, Samuel le Bihan, Gérard Lanvin et Ludivine Sagnier. Incontournable.
Au-delà de l’illusion: Dans la mesure où il est question d’Houdini et d’illusion, il faut aimer la magie, ce qui n’est pas spécialement mon cas, c’est dit! Ce petit film avec Catherine Zeta-Jones reste pas mal malgré les longueurs. Je retiendrais surtout la jeune actrice qui joue la fille de Zeta-Jones et que j’ai trouvé particulièrement juste: Saoirse Ronan. Dispensable.
L’échange: Tiré d’une histoire vraie, ce film raconte le combat d’une mère dans le Los Angeles des années 30 pour retrouver son fils que la Police considère comme retrouvé depuis qu’ils ont mis la main sur un petit garçon qui prétend être l’enfant alors même que la mère assure que ce n’est pas lui. Si l’on met de côté Angelina Jolie que, vraiment, je n’aime pas, l’histoire est bouleversante et bien menée par son réalisateur, Clint Eastwood. Sans être son meilleur film, on ressort de la séance chamboulé par le drame -vraie- qu’a vécu cette mère. À voir.
Body of lies: Ridley Scott se lance dans la chasse au terroriste avec dans le rôle du chasseur au Moyen-Orient Leonardo di Caprio et dans le donneur d’ordres à l’abris dans son bureau, Russell Crowe. Je crois que c’est le rôle de Russell Crowe qui m’a le plus gêné, ne comprenant pas toujours ce qu’il faisait ou, du moins, pourquoi il le faisait. En général, le film est brouillon, perdant le spectateur en route et la violence de certaines scènes n’aident pas. Dispensable.