Entre Boston Legal et la saison 7 de 24, on n’a pas regardé beaucoup de films ces derniers temps! Cela dit, voici dont je me souviens :
The curious case of Benjamin Button : malgré les éloges, j’étais assez sceptique avant son visionnage mais je dois dire que je me suis vraiment prise au jeu et que j’ai beaucoup accroché à cette histoire. Cela étant, c’est sans doute l’histoire d’amour que j’ai trouvé le plus bancal car à deux reprises j’avais l’impression que Daisy (Cate Blanchett) répondait à des questions qui n’avaient pas encore été posé (“Je ne veux pas retourner à la Nouvelle-Orléans” et “Je ne veux pas vivre avec toi”), gachant ainsi l’effet dramatique.
Yes man : on change de registre avec cette nouvelle comédie de Jim Carrey. J’ai beau détester l’acteur, le film se laisse voir sans déplaisir. On ne rit pas aux éclats mais on sourit, aidé par la très belle Zooey Deschanel (The happening – She and Him).
Slumdog Millionnaire : je ne pensais pas que le film était aussi dur en fait, mais malgré tout j’ai passé un très bon moment. On est pris dans l’intrigue, on déteste le frère, on adore le lien entre les deux amoureux et hop, c’est déjà la fin. Deux heures qui passent vite pour ce film oscarisé il y a peu!
Volt (Bolt en VO) : la bande-annonce n’est vraiment pas à la hauteur de ce nouveau Disney, heureusement quelque part! Du coup, sans attente, j’ai beaucoup aimé ce dessin-animé même si la voix française du personnage principal ne me plaisait pas trop. L’ensemble est mignon, tendre et amusant, sans être non plus très drôle mais tous les dessins animés ne le sont pas.
Milk : j’ai beau apprécié Sean Penn, c’est le seul film vu dernièrement que je n’ai pas vraiment aimé. Peut-être que le sujet (le premier élu américain à être ouvertement homosexuel) ne me touchait pas assez ou peut-être est-ce le fait qu’on connaisse la fin dès le début ou tout simplement que ce soit long, je ne sais pas mais en tout cas, je ne suis jamais sentie entrée dans le film. La réalisation de Gus Van Sant est un peu particulière et malgré les acteurs transformés (je n’ai pas reconnu Emile Hirsh et Sean Penn, ça dépend des moments), la magie n’a pas opéré, les personnages ne sont pas attachants.