17 again: Zac Efron au casting d’un film c’est me pousser directement à éteindre la télé tellement je trouve qu’il fait minet. Mais quand on me le propose dans l’avion alors que justement je comptais dormir, ça peut faire passer le temps! Au final, j’ai trouvé cette comédie bien sympathique et si elle ne révolutionne pas le genre, elle nous permet au moins de retrouver Chandler, alias Matthew Perry.
L O L: j’en avais entendu beaucoup de bien et s’il est vrai que ce film avec Sophie Marceau et Christa Theret est sympathique, j’ai eu du mal à m’attacher aux personnages. À vouloir explorer plusieurs d’entre eux, on ne les creuse pas forcément assez.
Australia: je suis partagée… C’est beau, le casting est impressionnant (Nicole Kidman, Hugh Jackman) mais en même temps il manque quelque chose. Le scénario n’est pas très recherché alors que les paysages sont magnifiques… On pouvait attendre plus de Baz Lurhman, réalisateur éclairé de Moulin Rouge.
Watchmen: je m’attendais à moins de violence gratuite, moins de gore, moins de complexité et au final, forcément, j’ai été surprise et déçue. Sans espérer un film de superhéros classique, car je savais que ce n’était pas le cas, j’attendais tout de même quelque chose d’un peu mieux construit, notamment au niveau des flash-backs qui s’intègrent laborieusement à l’histoire.
Babine: Babine est un film québécois tiré du conte éponyme écrit par Fred Pellerin. On se prend d’affection pour les différents personnages qui habitent le petit village de Saint-Élie de Caxton, et surtout on rit pas mal avec Luc Picard, qui en plus d’être derrière la caméra, joue un des rôles principaux. C’est touchant et sympathique.
Et après: un soir de grand désert télévisuel nous avons regardé cette adaptation d’un roman de Guillaume Musso avec Romain Duris et John Malkovitch. J’avais beau avoir lu le livre, je ne me souvenais même pas de l’histoire, c’est dire comme ce roman m’a marqué! Il en est à peu près de même pour le film, qui est lent et sans vraie scénario. Il ne se passe rien et on se demande ce qu’on fait là!
Revolutionary Road: Kate Winslet et Leonardo di Caprio sont à nouveau réunis mais on est loin de la passion de Titanic. Ici, il s’agit plutôt d’un couple à la dérive, des attentes déçues d’une épouse qui rêvait d’autre chose et au final un film un peu dérangeant dans lequel on peine à s’identifier à l’un des héros. Chéri ne s’en est d’ailleurs pas remis, je suis interdite de choix de film jusqu’à nouvel ordre!