Mois : juin 2010

Souper au Valois

J’avais déjà parlé du Valois à propos de leur brunch mais jamais encore des autres plats proposés… Nous y sommes allés 3 soirs, dont une fois en terrasse et un dimanche soir où il n’y avait quasiment personne. Par contre, lors de notre dernière visite, une veille de jour férié, nous avons pu constater à quel point le lieu pouvait être bruyant quand il est très achalandé…

Du côté de la carte (il n’y a pas de table d’hôte), on y trouve des choix pour tous les goûts. Quelques salades et tartines mais surtout onglet de bœuf à l’échalote, moules à la provençale, tartare de bœuf, foie de veau poêlé, jarret de veau et encore bien d’autres plats que je n’ai pas mémorisé.
En entrée, on hésite entre la tarte aux tomates confites, le tartare de saumon, l’assiette de gravlax maison, le carpaccio de bœuf, le plateau de cochonnailles ou encore la soupe du jour. Côté dessert, j’aurais bien tenté le petit pot de crème au chocolat mais il n’en avait plus, j’ai donc du me rabattre sur le fondant au chocolat, par ailleurs très bon, quand Chéri a, lui, pris une crème brûlée.
La carte des vins est bien étoffée mais comme toujours au restaurant on a l’impression de le payer trop cher (ici 8$ au verre)… Les entrées sont dans les 11$ en moyenne, les plats dans les 22$ et les desserts aux alentours de 8$. On en sort donc déjà pour une belle addition, surtout à Hochelaga mais le lieu est très convivial, peut-être trop si on juge au bruit…

Du nouveau

À droite, dans l’onglet Pages, vous pourrez découvrir le lien « Où manger? » qui regroupe toutes les adresses de restaurants dont j’ai parlé sur mon blog. Il faudrait que j’affine mon classement et que je mette des photos mais rien que réécrire quelques lignes pour chaque adresse (je me souvenais à peine de certains lieux) m’a déjà demandé pas mal de temps!

Du coup, la page « On écoute quoi?« , qui récapitulera les chansons mises en extrait, va devoir attendre quelques jours!

Où manger?

Ici vous trouverez toutes les adresses de restaurants (brunchs et autres) testés à Montréal et ailleurs…

Montréal et ses alentours

L’eggsquis: sympathique chaîne de brunch qu’on trouve essentiellement à Laval et sur la rive-sud. Prix abordables et fruits frais.

Le Bitoque: restaurant portugais près d’Atwater très bruyant mais pas très typique.

Le Sparrow: brunch à l’anglaise, original par son décor mais les choix sont limités.

Modavie: situé dans le Vieux Montréal, on peut y manger en écoutant du jazz mais au risque de ne plus entendre ses convives de table!

Le Margaux: excellent restaurant qui plaira aux gourmets. On y trouve notamment de nombreux plats à base de foie gras (cuit ou non) mais la carte ne se renouvelle pas souvent.

Monsieur B.: la qualité est au rendez-vous mais les portions ne sont pas très généreuses, dommage car le prix lui n’est pas donné.

Quoi de n’oeuf?: sur Notre-Dame, près du marché Atwater, ce brunch manque un peu de fruits mais propose des assiettes copieuses.

Trinity: dans la catégorie restaurant grec, Trinity vaut d’abord par son décor. Les mets sont frais et bons mais le prix un peu élevé. Mis à jour: le restaurant a malheureusement fermé…

L’eggxotic: entre Boucherville et Longueuil, cette adresse plaira aux amateurs de jus de fruits pressés (on peut le servir en 1litre) mais aussi à tous les gourmands.

L’évidence: le décor est vraiment quelconque les prix sont en deça de la moyenne pour des assiettes pourtant très bonnes. Les choix ne sont par contre pas très originaux

Confusion: comme la plupart des restaurants à tapas, c’est assez cher et on risque de rester sur sa faim. Le cadre, par contre, est original et sympathique.

La petite ardoise: situé sur la rue Laurier, on y retrouve un décor parisien qui plaira aux nostalgiques… Les choix sont variés mais les jus d’oranges ne sont pas pressés.

Na Brasa: sa terrasse tranquille est parfaite pour l’été, d’autant qu’on y mange bien pour pas cher!

In vivo: les choix sont limités et trop originaux pour le coup, je n’y retournerai pas. Finalement j’y suis retournée et j’ai trouvé un choix que j’aimais mais c’est le seul…

L’assommoir: on a testé ce restaurant quand la carte de brunch venait d’être mise en place, du coup ce n’était pas très rôdé encore… Si on passe dans Outremont, ça pourrait être une adresse à retenter.

Baguette et Bagatelle: petit brunch discret d’Hochelaga-Maisonneuve, tout près du Marché du même nom. C’est sympa mais là encore les jus d’oranges ne sont pas pressés.

Les trois petits bouchons: dans la catégorie des restaurants pour gourmet, Les trois petits bouchons n’est pas mal du tout mais les lieux sont un peu exigus.

Dans la bouche: un incontournable du Plateau avec sa carte variée aux noms de plats rigolos. On y mange bien mais il faut savoir s’armer de patience pour y rentrer ou alors avoir réserver, et encore.

Café Passion: une adresse sympathique à St Lambert mais qui n’a rien d’extraordinaire non plus.

Le Valois: le Valois est LE restaurant d’Hochelaga, situé sur la toute belle place du même nom. Les choix de plats au brunch sont un peu trop restreints et originaux pour moi mais on y déguste de l’excellente cuisine de bistro le reste du temps.

La raclette: en manque de produits de la montagne, vous pouvez aller faire un tour ici. On n’y sert pas de vraie raclette (avec l’appareil à table) mais on y mange bien, notamment la tourte au chocolat en dessert, délicieuse!

Tiffany’s: malheureusement ce restaurant est excentré près de Côte-Vertu mais la variété de choix et la générosité des assiettes donneraient bien envie d’y revenir plus souvent. C’est un peu bruyant par contre…

Leméac: on a testé la formule à 22$-22h et on n’a pas prévu d’y retourner pour l’instant.

Chez Cora: chaînes qu’on trouve dans tout le Canada et qui permet à tout le monde d’être satisfait: amoureux des fruits, des céréales, des œufs, crêpes, etc.

Bagel, etc: le décor baroque est original mais le lieu est petit et les places rares…

Le petit resto du marché: seul brunch en buffet à volonté tester, l’endroit est garni de fleurs mais les choix un peu fades, et pas toujours très frais.

Fourquet-Fourchette: serveurs en costume d’époque et plats inspirés de la cuisine amérindienne mais la mayonnaise n’a pas pris pour nous… Leur buffet brunch est par contre paraît-il très bien….

L’avenue: à l’heure du brunch il faudra s’armer de patience pour s’engouffrer dans cette antre de la branchitude montréalaise. Au final on y déguste les meilleures pommes de terre de la ville (à mon goût) mais les prix sont plus chers qu’ailleurs et la musique plus forte aussi!

Atma: restaurant indien de la rue St-Laurent à tester une fois, ne serait-ce que pour son décor à l’étage, notamment si vous êtes à la table du fond, en groupe. Les prix sont par contre élevés.

Aix Cuisine du terroir: situé dans le Vieux-Montréal, la cuisine est bonne mais on paie le quartier avant de payer la recherche culinaire.

Dame Tartine: restaurant à brunch assez quelconque alors que cela fait partie des incontournables selon certains… Celui situé à Chambly m’a fait meilleure impression, notamment les œufs bénédictines délicieux…

La cantine: sans doute l’endroit qui propose des formules de brunchs toutes originales. On y déguste notamment des shooters de fruits/légumes de saisons. Par contre depuis 3 ans, la carte n’a pas évolué d’un iotat et quand on sait qu’il y a environ 4-5 choix, c’est un peu dommage!

La grand-mère poule: mon adresse de brunch préféré car malgré l’espace restreint on y trouve toujours de la place et que la pain à la banane y est délicieux.

L’ITHQ: fauché? allez faire un tour à l’Institut de Tourisme et d’hotellerie du Québec, du côté de la salle de réception des élèves. On y mange à 17h30 toute la semaine mais on ne peut pas trouver moins cher en ville pour une cuisine d’aussi bonne qualité.

La petite marche: c’est grand, bondé et bruyant à l’heure du brunch mais les pommes de terre sont très bonnes.

La montée de lait: on a testé ce restaurant quand il était encore près du métro Laurier et on avait vraiment bien aimé le principe. Depuis ils ont déménagé en centre-ville puis sont revenus sur le Plateau, rue St-Laurent. On y a alors testé le brunch, peu de choix mais tous délicieux!

Toi, moi et café: tout près du marché Atwater (mais aussi sur Laurier), on trouve cette petite place à brunch qui propose un choix énorme de café que l’on vous sert dans des cafetières Bodum si vous le souhaitez.

Fruits folie: le service était très mauvais ce matin-là, les œufs froids, les assiettes pas spécialement généreuses, du coup je n’ai jamais souhaité y retourner.

Cuisine et dépendance: la patronne est super sympa, le serveur (là depuis des années) passionné par son métier et les produits qu’il offre, les choix variés et les assiettes délicieuses. J’y ai mangé le meilleur saumon fumé de ma vie, fumé sur place. L’addition avec apéro et vin monte vie mais on ressort toujours comblé!

Casa Galicia: on y sert des paellas copieuses mais le lieu est un peu sombre pour une soirée joyeuse.

Le bistro du marché: niché près du Marché central, cette adresse dans un bâtiment industriel vaut le coup si vous êtes dans le coin. Sinon ça reste assez inaccessible, dommage on y mange bien pour pas cher.

Le petit Italien: concept de brunch style tapas, dommage que les choix soient si limités, les portions un poil petites et les prix un poil élevés!

Le tire-bouchon: situé à Boucherville, ce restaurant vaut la plupart de ces confrères Montréalais. Choix variés, prix raisonnables, la qualité est au rendez-vous mais les saveurs sont plus ou moins là selon les choix.

À Toronto

Le petit-déjeuner: situé au 191 King Street East, c’est l’endroit parfait où commencer la journée! Les assiettes sont copieuses et le service impeccable.

Terroni: restaurant italien au décor moderne dans lequel on mange de délicieuse pizza mais on paie le prix pour tout de même!

Korean Grill House: chaque table a son grill et pour 18$ environ on y mange à volonté la viande ou le poisson qu’on fait revenir sur son propre grill. Convivial et pas cher, le tout au 214 Queen Street.

À Paris

Le Sir Winston: tout près des Champs Elysées, le Sir Winston offre une formule de brunch en 3 services des plus copieuses! La nourriture est de qualité, le décor à voir mais les additions ne sont pas données.

Planet suhi: n’étant pas fan de sushi, si je devais en manger demain je retournerai dans ce resto, autant pour les makis chauds que ceux en dessert…

Le loup blanc: c’était une adresse de brunch incontournable du Marais jusqu’à ce que le service se dégrade… À retester de temps en temps pour voir sir cela s’améliore.

Le Loir dans la théière: hum, les mini viennoiseries, le chocolat chaud maison, les tartes… Tout y donne envie!

Petit Baïona: buffet à volonté pas mal (il y avait des crêpes et du nutella) mais comme toujours avec les buffets on a l’impression de manger moins « frais ».

À New-York

Pigalle: il ne faut pas vouloir y aller pour un brunch (en tout cas en semaine) car la carte est loin d’être exhaustive et les œufs-bacon sont servis avec des frites!

Jimmy

En général, au niveau de la musique, j’ai des goûts assez éclectiques et j’aime ce que tout le monde aime et qui rentre dans la catégorie « variété ». Pourtant, parfois, j’ai des coups de cœur que je suis absolument seule à adorer, au moins dans mon entourage. C’était par exemple le cas de Beirut dont je vous avais parlé il y a deux ans, et c’est à présent le cas de Moriarty avec cette chanson Jimmy que je pourrais écouter en boucle tout comme j’écoute encore Nantes.

Je ne dois toutefois par être totalement seule à aimer Jimmy puisque j’ai découvert ce morceau via Taratata sur internet. Moriarty est un quintet composé d’artistes de différentes nationalités dont Wikipedia nous apprend qu’ils ont été élevé en France de parents américains pour la plupart d’entre eux.

Jimmy est tiré de l’album Gee Whiz But This Is a Lonesome Town qui compte pas moins de 13 morceaux. Cependant, je dois avouer que je n’ai pas eu de gros coups de cœur pour les autres morceaux, qui font parfois un peu trop pensé à une complainte de cowboys, encore que plus je les entends plus je me prends à les aimer et à les chantonner…
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Woofstock

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J’ai toujours trouvé que Montréal était une ville pet friendly puisqu’on y trouve de nombreux chats et chiens mais également de grands parcs pour ces derniers un peu partout dans la ville. Pourtant c’est à Toronto que j’ai découvert qu’il existait un festival pour chiens, oui oui! En passant vers St Lawrence Market avec ma famille, on est tombé sur Woofstock, un événement de deux jours qui se tenaient sur plusieurs rues du quartier.
Vous n’imaginez pas le monde qu’il y avait, tous ou presque accompagnés de leur bête à 4 pattes quelle que soit la race. Tout ce petit monde cohabitait parfaitement, alors que de rares aboiements se faisaient entendre parfois. On a même aperçu un chien géant (sans doute un danois) qui avait la taille d’un poney, hallucinant!

Pour une fois qu’un événement spécial chien se tenait, je n’avais pas Tartine sous la main mais j’ai tout de même eu une pensée pour elle puisque j’ai fait la queue pour recevoir un échantillon gratuit de croquettes, ainsi qu’un super sac vert en toile. Mon frère et ma mère ont fait la même chose mais leur amour pour Tartine s’est arrêté là puisqu’il a fallu que je me trimballe les 2kg de croquettes toute seule le reste de la journée (qui était bien entamée heureusement)!

Retour à la préhistoire

internet.jpgQuand on a déménagé l’année dernière, on a décidé de ne pas se réabonner à Videotron que ce soit pour la télévision ou internet, tannés de payer si cher, surtout pour la quantité de publicité qu’il y a à la télévision ici et le peu qu’on la regardait. On a opté pour un abonnement internet illimité avec Acanac pour 300$ et quelques qui nous convenait parfaitement.

Ce qu’on avait juste zappé, c’est qu’on c’était abonné en date du 23 juin 2009 pour un an et donc que ce mardi, paf, plus d’internet en rentrant à la maison! Le choc fut d’autant plus rude qu’on ne s’y attendait pas tout de suite* et comme deux âmes sans peine, on s’est mis à errer dans la maison, autour des ordinateurs, sans plus savoir quoi en faire.

Je me suis occupée de réorganiser toute ma musique et au moment de chercher le titre d’un album, ou une illustration sur internet, je me suis rappelée que ce n’était pas possible. J’ai voulu vérifier d’où je connaissais un des acteurs de Valentine’s day, mais ce n’était pas possible. On a voulu vérifier quelles étaient les mesures des lits queen et king, mais ce n’était pas possible, tout comme savoir quelle serait la météo aujourd’hui ou à quelle heure se posait l’avion des amis qu’on devait aller chercher à l’aéroport…

Autant se passer de télé ne nous pose pas de problème, mais alors d’internet, c’est beaucoup, BEAUCOUP plus dur!

* Chéri avait bien mentionné quelque semaines plus tôt qu’on serait privé d’internet avant notre déménagement mais j’avais préféré faire l’autruche comme on dit! Ça m’est bien revenu dans la tête du coup!

Un an plus tard

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L’année dernière à cette époque, je conduisais notre voiture pour la première fois, et bien figurez-vous qu’un an plus tard je ne l’ai jamais reconduit! Je soupçonne Chéri de ne pas avoir confiance en moi et d’avoir un peu peur depuis que j’ai étalé dans un article tous les petits accidents que j’avais eus! C’est ballot, il est obligé de limiter sa consommation de vin lorsqu’on sort en prenant la voiture, alors même que moi de nature je n’en bois pas! Elle est belle la confiance!

Sinon, il y a un an, on était dans les cartons et voilà que rebelote, on déménage, mais avec deux semaines de décalage cette fois. La signature chez le notaire est prévue pour le 12 juillet, l’emménagement le 14 (on évite la cohue du 1er juillet) mais cette fois on fait appel à des pros car on en avait marre de se taper les 5 électros à transporter à chaque fois!
Dans les achats à venir, outre toutes les fournitures pour les salles de bains (genre dérouleur de papier toilettes, porte-serviettes, etc.), on compte investir dans une barrière pour enfant…
Non pas de bébé en vue (à part celui de mon frère) mais on ne veut pas que Tartine monte à l’étage et du coup c’est la solution la plus simple qu’on ait trouvé!

Rendez-vous dans un an, si tout va bien il n’y aura aucun cartons en vue et j’aurais conduit la voiture entre temps!

Dans mon projo #11

Ces derniers temps, on a rattrapé un peu de notre retard cinématographique avec Chéri mais je ne suis pas sûre qu’on ait fait des choix très avisés… Jugez par vous-même.

complicated.jpg It’s complicated: rares sont les films qui mettent en scène des personnages dans la fin de la cinquantaine et c’est bien dommage car il peut y avoir matière à raconter plein de choses. Cette comédie aurait ainsi pu me plaire vraiment si elle avait duré une demi-heure de moins, éliminant ainsi certaines longueurs… À noter que les fans de 30 Rock y retrouvent Alec Baldwin, qui donne ici la réplique à une Meryl Streep euphorique qui ne sait plus où donner de la tête entre son ex mari et un architecte séduisant (Steve Martin).

Did you hear about the Morgans: un film avec Hugh Grant et Sarah Jessica Parker avait peu de chance d’être mémorable, et comme prévu on passe un moment sympathique mais qu’on oubliera bien vite. Les Morgans, en pleine séparation, sont témoins d’un meurtre et sont envoyés au fin fond du Wyoming pour leur protection. On joue sur les clichés des parfaits New-yorkais qui découvrent la vie rurale et certaines scènes sont vraiment rigolotes, malheureusement il y en a peu.

invictus.jpg Invictus: sans doute la plus grande déception de cette sélection pour moi. J’en avais entendu beaucoup de bien mais j’ai malheureusement eu un peu de mal à accrocher. À force de vouloir nous montrer plusieurs aspects de cette histoire (véridique), on survole un peu trop la problématique et à part Nelson Mandela, je serais incapable de vous citer le nom d’un seul personnage! Par contre, au niveau des acteurs on retrouve Matt Damon et Morgan Freeman, toujours très bons, sous la direction de Clint Eastwood.

The wolfman: c’est le genre de films que je ne regarde pas, étant une petite nature qui a peur (et fait des cauchemars) pour un rien, mais dans celui-ci aucun risque, on ne sursaute jamais vraiment! Au contraire, les effets de suspens ratent plutôt leurs coups à chaque fois, il n’en reste qu’un banal film sur la légende du loup-garou avec tout de même Benicio Del Toro, Emily Blunt et Anthony Hopkins dans les rôles principaux.

shutter_island.jpg Shutter Island: autre grosse déception du moment, ce film m’a laissé avec la chaire de poules mais aussi avec l’impression d’avoir assisté à un film de série B. La musique lourde et omniprésente m’a pas mal dérangée, tout comme les nombreux passages oniriques pendant lesquels Leonardo Di Caprio rêve/hallucine. L’histoire en tant que tel se révèle intéressante sur la fin mais la mise en scène signée pourtant Martin Scorsese m’a laissé de marbre, voire embêtée.

Dear John: film de midinette qui met en scène Amanda Seyfried (Veronica Mars) et Channing Tatum (GI Joe), sur fond d’engagement militaire. L’histoire d’amour est sympathique, sans être extraordinaire, mais ce qui m’a le plus touchée dans ce film, c’est le père autiste du jeune soldat (joué par Richard Jenkins) original et attendrissant.

Pause bien être

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Pour une fois que j’avais mon frère sous la main pour lui offrir son cadeau d’anniversaire, j’en ai profité pour me faire un petit plaisir aussi tant qu’à faire… C’est ainsi qu’on avait rendez-vous vendredi à 11h pour une heure de massage pour Monsieur et seulement une demi-heure pour moi, n’ayant toujours pas fait faire ma prescription pour être remboursée par mon assurance…

Après avoir lu des critiques positives sur le blog de Marlène et avoir fait un rapide comparatif sur Internet, le Spa Escale Santé, situé tout près de chez moi, vers les shops Angus, c’est imposé comme le lieu idéal, d’autant qu’un service de bains islandais devaient ouvrir au printemps 2010.

Après avoir revêtu les peignoirs et chaussons prêtés, on a patienté quelques minutes dans une salle à la lumière tamisée et musique relaxante en attendant que nos masseuses respectives arrivent. Avant de débuter le massage, elles nous posent des questions sur ce qu’on souhaite, quelle zone sont les plus à « travailler », avec quelle pression, etc., pour ensuite nous laisser nous installer sous une couverture bien agréable.

Le massage en lui-même était un pur plaisir même si je n’aurais pas cru qu’un petit bout de femme comme ma masseuse pouvait autant appuyer! J’ai vraiment eu mal à un moment mais comme elle m’avait demandé juste avant si ça allait au niveau des pressions (et que j’ai dit oui), je n’ai pas osé dire quoi que ce soit, d’autant qu’avec mon dos un peu de force ne pouvait pas faire de mal (enfin j’espère).

À la fin, elle m’a conduit dans une autre pièce zen pour attendre mon frère où yaourt, céréales, fraises fraîches, thé, etc., étaient à disposition mais les travaux des bains islandais (qui ne sont pas encore prêts en fait) faisaient un peu trop de bruit, ce qui fait que je suis retournée dans la première pièce d’attente. On m’a également apporté un smoothie aux fruits rouges délicieux.
Avec tout ça, je n’ai pas vu le temps passé (des magazines sont aussi à disposition) et je serais bien restée une heure de plus mais mon frère revenait déjà…
Dans les vestiaires, des douches (très propres) sont à disposition et j’ai pu alterner les jets masseurs, la douche pluie et la douchette normale, tout en profitant des savons, shampoings et revitalisants mis à disposition. Jusqu’à la fin l’expérience aura été positive, j’ai d’ailleurs aussitôt pris la décision d’aller me faire faire ma prescription et de pouvoir enfin profiter pleinement des massages! Ça risque de ne pas être au Spa Escale Santé lorsqu’on aura déménagé à St Hubert mais si je suis dans le coin, c’est sûr que j’y retournerai!

La photo est tirée de leur site, je n’avais pas mon appareil.

Fin du voyage

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Mes parents sont repartis hier soir, mon frère demain et entre temps on a parcouru une bonne partie de la ville à pieds, soit plus de 15km selon M. Google! Au passage, on en a profité pour prendre une glace à la fraise délicieuse chez Bilboquet, baver devant les pizzas de la Petite Italie, tous les produits frais du marché Jean-Talon et se poser le temps du match France-Mexique pour un pause plus que méritée sur le Plateau.
Ensuite, on est reparti, à pieds toujours, vers le centre-ville en passant par Prince Arthur et St Laurent, sans oublier le quartier des Spectacles et l’université McGill. Je vous passe les détails (quoique) mais l’idée générale c’est que je ne peux plus mettre un pied devant l’autre ce soir!
Pas grave, demain c’est activité massage au programme! 🙂