Mois : juillet 2010

Manucure, pédicure à Montréal

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Je parle souvent des restos que je teste mais jamais des lieux où l’on prend soin de soi, à part pour le Spa Escale Santé. Pour remédier à cette situation, voici mon avis sur les quelques adresses « beauté » testées à Montréal.

Tami Beauté des ongles – 60 Ave. Duluth Est. C’était ma première manucure et j’en garde un assez mauvais souvenir. La nana (asiatique comme souvent) ne parlait pas français et pas franchement anglais non plus, ce qui fait que je ne comprenais pas ce qu’elle attendait de moi les 3/4 du temps, parce que figurez-vous que même lorsqu’on fait une manucure, il y a des choses à faire! Pas grand chose on s’entend (faire tremper les ongles, sortir une main, pas l’autre, les deux, etc.) mais lorsque l’on n’a pas l’habitude on ne sait pas toujours ce qu’on doit faire.
J’en garde l’image d’un salon assez petit et pas très moderne.

Ongles du plateau – 1574 Av. du Mont-Royal Est. Pour ce 2e essai, je me souviens très bien avoir fait une pédicure mais je suis incapable de me souvenir si j’avais également demandé une manucure! En tout cas, ce salon est relativement spacieux et moderne et mes pieds en sont ressortis ravis! Par contre, le week-end sans rendez-vous, il est difficile d’avoir de la place.

Ongles Queen Nails – Centre Eaton, 4e étage. Devant des écrans plats qui retransmettaient ce jour-là (ou peut-être en tout temps?) un live de Céline Dion, j’ai testé pour la première fois une french manucure. Elle n’a pas tenu plus de deux jours (j’aurais peut-être du m’abstenir de faire la vaisselle…) du coup même si je trouve le résultat joli, c’est trop cher payé pour que je réitère. La pédicure était très agréable et a tenu plusieurs semaines pour le coup. Par contre, là encore on ne sait pas trop quelle langue parler et au moment de payer il me semble avoir trouvé le prix élevé…

Jolis Ongles – Couloir entre le centre Eaton et Ville-Marie. C’est pas très précis comme indication mais on ne peut pas le râter, tant l’odeur de « gaz » est présente par là. Le salon n’est pas très luxueux (mais les chaises sont massantes tout de même si je me souviens bien) mais le service est impeccable, tout comme les prix.

Beauté raffinée – 4518 rue St Denis. Contrairement à ce que son nom indique, le salon n’est pas très raffiné, il est même plutôt cheap. Pourtant c’est sans doute celui que j’ai préféré d’entre tous, pour la simple raison que le patron (enfin je présume que c’est le patron) nous a accueilli avec un grand sourire ma mère et moi, qu’il a fait des blagues et donc qu’il parlait français. Le vernis de mes pieds était encore-là presque 3 semaines plus tard et ma mère a beaucoup aimé sa manucure (c’était une première pour elle). Du coup, tant pis pour le décor, j’y retournerais juste pour le service! Quant au prix, comme souvent, il fallait compter 30$ pour la pédicure et 15 pour la manucure (+taxes et tips).

At home

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Je suis officiellement une banlieusarde, une « 450 » (en référence au numéro de téléphone) depuis mercredi dernier. On a passé tout notre temps depuis à défaire des cartons, ranger, nettoyer, organiser mais il y aura sûrement encore à faire pendant quelque temps.

En attendant on savoure notre maison à chaque instant que ce soit le silence incroyable qui règne dans le quartier, toute la nature qui nous environne (notre rue est une impasse qui donne sur une piste cyclable) ou encore le bonheur d’être « chez nous » pour de bon.

Dans les inconvénients, il y a le fait que l’herbe ne soit pas encore posée et donc que dès qu’on (y compris Tartine) met un pied dehors on ramène une quantité de terre impressionnante! Mais bon dans quelques semaines cela devrait être réglé, par contre la clôture n’est pas prévue pour tout de suite et du coup si on ne fait pas attention on récupère Tartine chez les voisins!

Côté voyagement, tout se passe bien, mais du coup je dois me lever plus tôt chaque jour (6h50 environ) ce qui n’est pas toujours facile! Le bus express (qu’on rejoint en 10 minutes de voiture) met 20 minutes pour rejoindre le 1000 de la Gauchetière, et j’en mets une dizaine de plus pour rejoindre mon bureau, ça va.

Propriétaires!

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6 mois après avoir commencé nos recherches, nous sommes officiellement devenus propriétaires de la maison de nos rêves aujourd’hui (lundi 12) à 16h et des poussières. Le passage chez le notaire a pris 1heure environ, le temps de faire le tour de tous les documents officiels et d’apposer nos signatures sur toutes sortes de reçus mais surtout sur l’acte de vente!

Ensuite, nous sommes allées pour la dernière fois voir l’état d’avancée de la maison avant d’arriver avec nos cartons mercredi. Tout est quasiment fini, à quelques détails près dont certains attendront le retour des vacances de la construction…
C’est assez marrant de se dire que c’est à nous, bien que pour l’instant on ait plutôt l’impression que ce soit à la banque… On s’en reparle dans une coupe de décennies!

J-3

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Cette année pour notre déménagement on a décidé de passer par des professionnels. Exit le lumbago du aux 5 électros à déplacer, adieu le casse-tête pour faite tout tenir dans un « petit » camion, cette année 3 déménageurs feront tout ça pour nous.
Cela ne nous empêche pas de devoir faire les cartons (ce qui est déjà bien assez chiant) et d’avoir un appart qui ressemble à un champ de bataille en attendant mercredi. Pourtant on emmène régulièrement des affaires à la maison, histoire que tout aille plus vite le jour J vu que nos professionnels sont payés à l’heure!

Dans l’histoire c’est Tartine qui est un peu perturbée puisqu’on a vendu « son » canapé et que l’emplacement de son pillow sert à stocker un carton à présent! Avec toutes les misères qu’elle nous a fait ces derniers temps, elle doit avoir peur qu’on parte sans elle, du coup elle nous suit partout!

À propos

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Le seul sujet de discussion en ce moment étant les températures caniculaires que nous endurons depuis plusieurs jours, je vais en faire autant!

J’en peuuuuuuuuuuuuuuuux pluuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuus!

À 7h du mat, comme à 22h, il fait toujours plus de 30° à l’extérieur, températures qui s’élèvent dans les 42-45° en ressenti à cause de l’humidité! On se sent donc poisseux en permanence, l’avantage c’est qu’on est tous dans le même bain!
Je passerais bien plus longtemps au travail pour profiter de la clim mais il y fait trop froid pour être bien, ou alors il faut porter un gilet et une pashmina en guise de couverture, comme je fais tout l’été! Nice!
Ah vivement l’hiver hein!

Toronto Pratique

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La première fois que je suis allée à Toronto, j’avais beaucoup aimé la ville, notamment Kensington Market, même s’il n’y avait pas l’ambiance de Montréal. Cette année, j’y suis retournée quelques jours avec mes parents et je dois dire que j’ai beaucoup moins aimé la ville… D’abord, il y avait une drôle d’odeur présente quasiment tout le temps, qui m’a vraiment dérangée. Ensuite, même Kensington Market m’a paru plus terne qu’en 2006, alors que la CN Tower coûte toujours un bras et qu’il faut parcourir des kilomètres pour trouver un espace vert ou juste un banc pour s’asseoir!
En effet, on s’est acheté des jus de fruits frais dans un primeur de Kensington Market et de là on voulait aller à Little Italy. On pensait qu’en chemin on trouverait un endroit pour se reposer quelques minutes mais on a fini par se retrouver dans une cour d’école pour trouver un banc, nos jus de fruits longtemps bus déjà!

Little Italy et ses cafés animés (les italiens jouaient ce jour-là dans le cadre de la Coupe du Monde) est à la rigueur le coin que j’ai préféré de ce séjour, pourtant c’est dans le downtown qu’on a choisi de manger une pizza plus tard ce jour-là!

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Niveau gastronomie donc, on a plutôt été satisfait, à commencer par un resto coréen, Korean Grill House, sur Queen Street, super sympa dont on a trouvé l’adresse dans le guide Ulysse. Le concept est simple, vous avez un grill par table, on vous apporte toutes sortes de mets crus, marinés, (viande, éventuellement crevettes, poisson) et chacun fait cuire ce qu’il veut. Le tout est à volonté et est servi avec du riz. On s’est vraiment régalé, à part ma maman dont la vue de la viande crue (pourtant dans des petits plats) a fini par l’écœurer…

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Le lendemain matin, on a testé un brunch trouvé sur le blog d’Une parisienne à Montréal, Le petit déjeuner, dont tout le monde est ressorti ravi! Le service était top, les assiettes copieuses et comme on était les seuls dans le resto, on était pénards!
Pour finir notre séjour, nous avons donc testé un resto italien nommé Terroni au 720 Queen Street. On était placé sur une table surélevée, ce qui nous procurait une place de choix pour admirer le décor, d’autant que la cuisine était toute proche. À la carte, il y a pas mal de choix, notamment de pizzas, et tout le monde a aimé ce qu’il a pris. Par contre, les prix sont un peu élevés, et à 5 en prenant seulement un plat (pizza ou pâtes) et 2 bouteilles de rosé (on boit pas mal dans ma famille), on s’en est sorti pour 200$!

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Au niveau de l’hébergement, on a opté pour un hôtel réservé via Expedia, le Ramada Plaza situé au 300 Jarvis Street, soit proche de tout. À 5, n’ayant pas pris 2 chambres séparées (plus chères), nous avons eu une suite avec 2 chambres fermées et un canapé-lit dans le « salon » central!
On avait vraiment de l’espace (d’autant qu’on dormait dans des lits king!) mais la salle de bains était relativement vétuste. Pour le prix (400$ pour 2 nuits et 5 personnes), on était plutôt satisfaits vue la proximité des centres d’intérêts, mais le prix ne comprend pas le parking (20$ la nuit) et les petits-déjeuners…
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Retrouvez le « New-York Pratique » ici.

Acheter une maison: les dernières surprises

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Quand vous achetez une maison, vous pensez que le moment le plus stressant sera celui du choix de la maison, de la décision finale, voire de la signature de la promesse d’achat mais en fait non.

Le moment le plus stressant, en tout cas pour un premier achat, est celui qui précède la signature chez le notaire, surtout quand 3 personnes de votre entourage sont passées par là peu de temps auparavant et que 2 d’entre elles ont eu des surprises de dernière minute due à l’incompétence de la banque et au manque de proactivité du notaire.
Dans notre cas, cela fait 1 mois que l’on appelle le notaire pour fixer l’heure du rendez-vous et savoir de quoi il a besoin et cela fait un mois qu’il nous dit qu’il n’en est pas encore à notre dossier… Mercredi, quand il s’est enfin penché sur notre dossier, il nous a mis la pression car il n’avait pas eu d’info de la banque (qu’on harcelait déjà depuis 1 semaine) et qu’il lui fallait au moins un délais de 3 jours pour faire ses calculs. C’est pas comme s’il s’y prenait au dernier moment non plus vu qu’on signe dans moins d’une semaine!

Sur ces entrefaites, on recommence à harceler la banque (et un vendredi 2 juillet, lendemain de jour férié, ce n’est pas simple) qui elle se réveille tout à coup! C’est là qu’ils réalisent qu’il faut qu’ils envoient un inspecteur d’urgence et c’est là que le constructeur n’est pas joignable évidemment!

Nous, au milieu de tout ça, on joue les intermédiaires, entre le notaire qui chaque jour nous informe de nouveaux documents nécessaires (compte de taxes, note de couverture d’assurance, certificat de garantie de la maison -que seule l’agent immobilier a-, etc.), la banque qui a besoin d’informations du constructeur, le constructeur qui n’est jamais directement joignable et l’agent immobilier, électron libre…

Entre temps, on a réussi à fixer l’heure du rendez-vous à 16h lundi prochain (youhou) mais on ne connaitra les montants à payer (par traite bancaire car un chèque certifié de la banque ne convient pas!) que vendredi, quand le notaire aura fini ses calculs! Ou comment nous faire stresser un peu plus à tout faire au dernier moment!

Hot Spot

hot_spot.jpgDans la série « Elle nous les fera toutes », après la gastro (x2), Tartine est en ce moment en convalescence pour cause de « hot spot » dixit la véto des Urgences. C’est en fait une infection causée par la chaleur et l’humidité dans les zones où il y a beaucoup de peau (sous le cou dans son cas). Cela se manifeste par des rougeurs mais surtout une forte démangeaison, et parfois des suintements.

Dans le cas de Tartine, on s’est rendu compte samedi matin que quelque chose n’allait pas mais on pensait qu’en l’empêchant de se gratter et en laissant sécher la plaie, cela s’arrangerait. Le lendemain matin, voyant que rien n’avait changé et que son cou était toujours humide, on l’a emmené aux Urgences vétérinaires de Brossard au lieu de son véto habituel qui n’était pas encore ouvert…

Tartine a comme toujours accueilli la véto à grand coup de remuage de queue (je ne connais aucun chien qui soit aussi content de voir un véto qu’elle!) mais quand la dame a voulu tondre son cou, elle a commencé à montrer les crocs! Du coup, on est passé par une anesthésie, le temps de tout désinfecter et on n’en revenait pas de l’étendue de la dermatite. Autre piqure pour la réveiller cette fois et on a pu la ramener à la maison, non sans s’être délesté de 400$, aïe!!

Elle n’a pas de collerette car son cou doit rester à l’air libre mais elle a toujours des crises de démangeaisons malgré ses cachets. En même temps elle sait qu’elle ne doit pas se gratter ce qui donne des scènes assez cocasses où elle commence à se gratter, se retient, tourne en rond, essaie de se calmer et émets des couinements à nous fendre l’âme!

La pauvre a non seulement une sale tête mais en plus ne sent pas très bon, entre les suintements et la crème à lui appliquer… Quant à nous, on doit la surveiller sans cesse pour l’empêcher de se gratter et la calmer quand ça devient trop infernal (elle se gratte au sang)… Un dimanche idéal quoi.

Habiter en ville

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Vous avez remarqué comme à partir du moment où on prend une décision, notre point de vue s’en trouve altéré? Par exemple, vous décidez de quitter la France et vous ne lui trouvez tout à coup que des défauts, ou alors vous décidez de changer d’appart et d’un coup vous ne remarquez que les imperfections de celui-ci?
Nous on a décidé de quitter la « ville » pour s’installer en « banlieue », du moins au vert, sur la Rive-Sud. Plus le jour du déménagement approche et plus je trouve la vie en ville insupportable!

Alors bien sûr habiter en ville, c’est être proche de tout, que ce soit de son travail ou des dizaines de restaurants. C’est aussi pouvoir faire plein de choses à pieds, sans voiture ni transport en commun, ne pas avoir d’horaires à gérer pour se déplacer ou dépendre tout bonnement de la voiture.

Par contre, habiter en ville, ce sont des nuisances sonores en permanence. Par exemple, en ce moment, dès qu’on se couche, je ne remarque que les bruits des pick-ups, trucks, ou autres véhicules à moteur qui roulent toujours trop vite à mon goût et avec des bruits de vieil engin bons pour la fourrière. Vous me direz avoir une chambre qui donne sur la rue (pourtant résidentielle), ça n’aide pas, surtout quand on est au rez-de-chaussée et qu’on dort la fenêtre ouverte…
En terme de bruit, on a aussi les voisins qui descendent (ou montent) les escaliers (métalliques) avec des poids de 15 kg à chaque jambe ou alors comment expliquer qu’ils font autant de bruit? Sans compter les discussions dans la rue, que ce soit les poivrots perdus par là ou juste les voisins qui se racontent leur vie à 7h du mat’ un dimanche!

Habiter en ville, c’est bien souvent habiter en appartement, dans des bâtisses relativement mal isolées, qui laissent passer aussi bien le bruit que la chaleur, notamment quand c’est le temps de payer la facture Hydro en hiver! Sans compter que tant qu’on est locataires on ne veut pas trop s’investir dans l’appart, donc décoration minimum, entretien du jardin qui se résume à la tonte de la pelouse, tant pis pour les massifs, et encore je ne vous parle pas de l’état des vitres! Mais qui a envie de démonter des moustiquaires et sortir sur le pas de la porte pour pouvoir faire les vitres quand on sait qu’on ne restera que quelques mois??

Pour moi, habiter sur la Rive-Sud, ça veut dire dépendre de la voiture et des bus (mince) mais aussi ne plus avoir de voisins (en tout cas pas au-dessus de nous, ni collés à nous), pouvoir dormir les fenêtres ouvertes sans subir les bruits de la ville, ne pas entendre ce que font nos voisins (encore qu’on n’entend pas souvent les nôtres), ou ne pas éviter de faire du bruit à des heures indues parce que nos voisins risquent de nous entendre.

Vous aurez compris à mon introduction que mon point de vue est totalement biaisé maintenant, mais plus les jours se rapprochent et plus j’ai hâte d’être « banlieusarde », moi qui déteste la voiture et qui adorait pouvoir tout faire à pieds justement! Si c’est pas ironique…

Le bistro du marché

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Il y a quelques temps, des amis nous ont fait découvrir le Marché Central, et notamment son bistro, niché dans un coin discret dans lequel on sert des brunchs chaque matin.
Hauts plafonds, décor industriel tendance et une carte plus qu’abordable sont les principaux attraits de ce lieu. On y mange des formules classiques œufs-bacon, accompagnées de jus de fruits pressés, ou encore des clubs sandwichs, burgers et autres œufs bénédictine…

C’est un peu loin et inaccessible sans voiture mais une fois rendu on peut se balader dans le marché (marché de fleurs) ou encore profiter des nombreuses boutiques du coin et notamment de la SAQ Dépôt où pour 12 bouteilles achetées on vous offre 15% par exemple…