Mois : août 2010

Le comble du luxe

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Attention vous vous apprêtez à lire un billet d’auto-satisfaction extrême.

J’essaie de ne pas trop l’étaler ici mais j’adore ma maison. Je la trouve parfaite de tous points de vue même s’il y a une ou deux micro-choses que je changerais. Régulièrement Chéri m’entend ainsi lui dire à quel point je trouve que notre maison est belle, même si ça fait déjà plus d’un mois qu’on a emménagé.

Le comble du luxe, c’est d’avoir 2 salles de bain et une salle d’eau. Ou alors c’est d’avoir une douche suffisamment grande pour accueillir 2 personnes chaque matin en même temps, voire une sous la douche pendant que l’autre se sèche à côté, toujours dans la cabine… Ou encore c’est d’avoir un pommeau « pluie » au dessus de nos têtes qui fait qu’on se sent sous une cascade chaque matin…

En fait je crois que le comble du luxe, c’est d’avoir la maison et la salle de bain de ses rêves, quels que soient ces rêves!

Glee

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Si pour beaucoup Glee aura été LA nouvelle série de la saison 2009-2010, j’avoue être un peu plus mitigée. D’abord parce que pour moi c’est Modern Family qui mérite ce titre, ensuite parce que selon les épisodes Glee est parfois un peu soporifique

L’histoire tourne autour d’une chorale de lycée dont la majorité des membres sont des loosers. Entrainés par un professeur passionné (Will Schuester), ils se battent pour garder leur club – Glee – ouvert et remporté les concours du coin ce qui leur permettrait d’être enfin populaires.

Qui dit chorale dit de nombreux numéros musicaux et c’est là que le bât blesse. Certains choix de morceaux sont unfortunés et quand c’est le cas, le temps paraît très long car en général on a le droit au morceau entier à chaque fois… Heureusement d’autres numéros sont vraiment très sympa, et les acteurs/chanteurs se défendent très bien, la preuve j’ai les 3 albums dans mon Ipod!

Du côté des personnages, tous sans exception tapent sur les nerfs à un moment ou un autre mais ils finissent généralement par se faire pardonner en se rendant attachant quelques minutes, que ce soit Rachel (Lea Michele) l’égocentrique, Kurt (Chris Colfer) le drama queen en mal d’amour ou encore Finn (Cory Monteith) le héros un peu niais. Du côté des adultes, le casting est particulièrement réussi. On est emporté par l’élan de Will (Matthew Morrison) mais on adore détester Sue Sylvester (Jane Lynch) qui est juste géniale, tout comme Emma (Jayma Mays) dans le rôle de la névrosée adorable.

Glee, c’est donc une très belle combinaison de personnages tous plus énervants les uns que les autres et de numéros musicaux plus ou moins réussis, mais si le tout fonctionne bien, ce n’est pas pour autant une série que je trépigne d’impatience à l’idée de revoir…
En même temps je dis ça mais j’ai fait le tour du Youtube pour trouver les vidéos des auditions des acteurs et voir des bouts de la tournée qui a eu lieu cet été, histoire de voir ce que ça rend!

Delphine – 13 ans

Première tonte

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À défaut de tondre la « vraie » pelouse parce que 1) c’est encore un peu tôt, 2) on n’a pas de tondeuse, 3) c’est un travail d’homme, je me contente de tondre ma « mini pelouse » qui trône fièrement devant la fenêtre de la cuisine habituellement. Pourquoi acheter de la fausse herbe dans un magasin de déco (on avait failli craquer chez Bouclair) quand finalement on peut avoir de la vraie… Le problème c’est qu’il faut l’arroser et la couper donc. Moi qui ai toujours voulu avoir un bonzaï, je suis gâtée!

Platitude #1

« Le temps passe trop vite »
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Ah, ces bonnes vieilles platitudes qu’on ressort régulièrement, entre 2 considérations météorologiques… Mais soit dit entre nous, c’est vrai que le temps passe trop vite. La preuve la belle saison vient à peine de commencer (quoiqu’en mai j’avais déjà ressorti ma micro jupe) qu’on est déjà dans les dernières semaines d’août, dans les dernières semaines de l’été. Bientôt ce sera l’hiver et Noël…
D’ailleurs hier soir je me suis trouvée à faire la recherche suivante dans Google « Meilleurs films de Noël« ! Vous comprenez, j’adore les classiques de Noël et pas question de passer les vacances d’hiver sans en enchaîner un maximum. Pour être sûre d’être prête le jour J je me suis donc mise en recherche le 15 août! Dans la foulée je me suis aussi demandée où on achèterait notre sapin, où on le placerait, etc.

Est-ce que je n’aurais pas gagné 4 mois de ma vie (au moins en ressenti) si au lieu de me projeter une saison et demi plus tard, je n’avais pas pris le temps de m’arrêter à cette simple idée: on est le 16 août et c’est toujours l’été.
Notre problème, ou du moins le mien, c’est qu’à force de se projeter, faire des plans, des prévisions, on en oublie de vivre le jour présent et de le savourer à sa juste valeur, soit 24 heures, 1440 minutes.
Dans Eat, pray, love, l’auteure raconte comment une de ses amies, devant un magnifique paysage, s’est exclamée « Il faut absolument que je revienne ici un jour », sans prendre le temps de réaliser qu’elle était déjà là, maintenant et aujourd’hui, et qu’elle pouvait profiter d’ores et déjà de toute cette beauté…

Tout ça pour dire que les films de Noël attendront, je ressors de ce pas mon masque et mon tuba pour profiter des derniers jours de plage possible.

Eat, Pray, Love, le livre

eat-pray-love.gif Alors que le film avec Julia Roberts et Jarvier Bardem est sorti hier sur les écrans nord-américains, je viens tout juste de finir le livre Eat, pray, love (Mange, prie, aime en français) dont il est tiré. Elizabeth Gibert, qui raconte ici sa véritable histoire, est une journaliste new-yorkaise qui a décidé de s’accorder une année pour se reconstruire et trouver un équilibre spirituel, entre plaisir et « dévotion ». Après un divorce cauchemardesque et une histoire d’amour passionnelle et destructrice, c’est un vieux médecin balinais qui la conduit à entreprendre cette année d’introspection et de voyages en lui livrant une sorte de prophétie.

Écrit en 3 parties et 108 volets, on embarque tout d’abord pour l’Italie à la recherche du plaisir. Plus fort qu’un guide de voyage, Lise Gilbert retranscrit son expérience italienne et notamment romaine, qui inciterait n’importe qui à prendre le premier avion pour ce pays. Outre les rencontres qu’elle a pu faire, les orgies de pâtes et de glaces qu’on partagerait bien, on prend le temps de vivre 4 mois de pur plaisir avec elle et on se dit qu’on est un peu bête de ne pas s’accorder le même « treat »…

Les 4 mois suivant seront passés dans un ashram indien où l’auteur cherche à mettre en pratique les principes de méditation de sa guru pour enfin atteindre « Dieu ». Pas un Dieu chrétien, juif, protestant ou encore hindou, mais plutôt une entitée spirituelle qui lui apportera la paix/sérennité et le bonheur et qui l’aidera à se reconstruire. Si ces 4 mois de réclusions peuvent sembler austère au premier abord, à la fin de son séjour on en resssort là-encore avec l’envie de tenter l’expérience nous-même un jour, ou au moins de se mettre au Yoga. Et je ne parle pas de l’activité physique mais plutôt de la philosophie.

Pour finir cette année de voyages, Lise revient à Bali retrouver le vieux médecin balinais qui l’a poussée à entreprendre ce voyage. On en apprend plus sur les croyances et les médecines balinaises, et notamment sur « l’équilibre » que chacun doit respecter, tant dans sa vie personnelle que dans l’organisation de la société.

En refermant ce livre, on ne peut qu’être impressionné par le chemin intérieur (parcours initiatique dira-t-on) qu’a accompli l’auteur car non il ne s’agit pas d’une histoire d’amour ou de chick litt comme on pourrait le croire au début.
On aimerait souvent être à la place de Lise Gilbert, surtout pour la nourriture italienne, mais à bien y réfléchir ses expériences indiennes et balinoises donnent tout aussi envie mais pour d’autres raisons. Ce livre ne plaira peut-être pas à tout le monde car il n’y a pas forcément une « histoire », si ce n’est ce que vit l’auteur, mais il a le mérite d’être bien écrit, touchant et même drôle. Difficile de ne pas s’interroger sur sa propre vie en tournant les pages mais tout le monde n’est pas prêt à tout quitter pour un an d’aventure et d’introspection… Too bad.

À brouter

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On l’attendait avec impatience, c’est maintenant chose faite, nous avons notre gazon!! Outre pour le côté esthétique – qui n’est pas négligeable, c’est surtout pour le côté pratique que nous avions hâte… En effet, avoir un chien qui se balade dans de la terre les jours de pluie, ça revient à avoir une maison pleine de boue en permanence! Chéri a beau avoir tenté d’apprendre l’ordre « Essuie tes pattes » à Tartine, l’effet n’a pas été escompté, ou alors il faudrait quelques années de plus d’entrainement.

Maintenant nous devons arroser en abondance mais dans quelques jours/semaines, on (comprendre Tartine) pourra gambader librement dans de l’herbe toute fraîche (que quelqu’un devra tondre à un moment ou à un autre)! 🙂

Évolution

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Avant je prenais le métro tous les jours pour aller travailler et bien souvent je me trouvais debout dans la fournaise d’une rame au moment d’une panne, ce qui n’était pas très compliqué vu la fréquence des problèmes sur les 2 pauvres lignes principales de Montréal. J’avais d’ailleurs poussé un coup de gueule ici.

Maintenant je ne prends plus le métro mais le bus et je dois dire que pour l’instant ce n’est que du bonheur. En heure de pointe, mon bus (le 90) passe toutes les 5 minutes et est articulé, ce qui signifie qu’il y a de la place pour tout le monde. Parfois, si on arrive un peu à la dernière minute, on peut prend le suivant qui attend déjà derrière et dans lequel on est sûr d’avoir de la place assise.
Plus de panne, ni de ralentissement puisqu’on a une voie réservée pendant les quasi 20 minutes de trajet jusqu’au 1000 de la Gauchetière, en centre-ville. Alors bien sûr mon trajet de porte à porte est passé de 20 à 45 minutes mais bizarrement ça passe quasiment aussi vite puisqu’il y a déjà 10 minutes de marche pour rejoindre mon bureau et que le reste se fait en voiture.

Pour rien au monde je ne reviendrais en arrière quand je vois notre maison, même si longtemps j’ai pensé qu’il était dommage d’habiter une grande ville si c’était pour avoir un long temps de transport ou encore ne « rien » pouvoir faire à pied… Maintenant mon avis est tout autre et après 4 années à Montréal, ce déménagement sur la Rive-Sud était la meilleure chose qui pouvait nous arriver!

Où se faire chouchouter?

Pour des adresses de manucure/pédicure, c’est ici.

Pour le Spa Escale Santé, c’est ici.

Amerispa: on m’a offert un massage de future maman ainsi qu’une manucure auxquels j’ai ajouté une pédicure. C’était parfait de A à Z, la french manucure a été un peu longue mais je n’étais pas pressée et cerise sur le gâteau, on a accès à la piscine extérieure de l’hôtel (l’Omni Mont-Royal sur Sherbrooke)! Elle n’est pas grande, ni profonde mais par jour de grand beau temps c’est parfait, surtout qu’il n’y a pas forcément grand monde.

Chose promise…

… chose due.
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Dans la mesure où ce sont les moins chères de Wal-Mart, elles ne feront pas l’affaire pour des enfants mais pour Tartine, ça suffit tout à fait!

Sinon, je tente tant bien que mal de convaincre Chéri d’adopter un chaton – qui m’a promis il y a un an et demi qu’on en prendrait un le jour où on aurait une grande maison – mais qui maintenant me dit que ce n’est pas le moment! Pourtant c’est la période où il y en a plein la SPCA…
Je ne perds pas espoir vu qu’en début de semaine c’était « à Noël » et que maintenant on est rendu à « en septembre ».