L’été dernier j’ai dévoré La vérité sur l’affaire Harry Québert de Joël Dicker que des amies m’avaient offert. C’est un roman policier avec des personnages attachants qui se lit d’une traite. Alors quand mon beau-père m’a offert son autre succès, Le livre des Baltimore, j’avais hâte de le commencer tout en appréhendant d’être déçue.
La semaine au soleil tombait parfaitement pour que j’entame ma lecture et en quelques jours à peine, j’avais fini! Cette fois, c’est un « vrai » roman mais on retrouve le personnage de l’écrivain, Marcus Goldman. C’est un livre sur sa famille et notamment sur ses deux cousins, Hillel et Woody, avec qui il aura une relation quasi fraternelle très forte. Subjuguée par cette partie de la famille qui vit à Baltimore (d’où le titre), il nous décrira leur histoire si particulière, leurs liens si forts mais aussi le Drame qui mettra un point d’arrêt à leur histoire familiale.
Au fil de la lecture, on se sent bien en compagnie de ces personnages, que ce soit les 3 jeunes garçons, ou l’oncle Saul et la tante Anita de Marcus. Ils sont chaleureux, attentifs, en pleine réussite, dans une magnifique maison et on aimerait intégrer cette famille à notre tour. Le fil du livre repose sur le fameux Drame dont on connaît la date mais pas les circonstances et qui nous tiendra en haleine tout le long.
Quand j’ai eu fini le roman et que Chéri l’a entamé, j’avais un pincement de jalousie puisqu’il allait avoir le plaisir de côtoyer cette famille alors que pour moi c’était fini. Damned! Maintenant je me demande s’il y aura un autre roman avec Marcus comme héros ou si Joël Dicker va changer de protagoniste, voire même de thématique puisque dans ces deux romans, l’écriture est un personnage en soi.