Catégorie : Petit et grand écran

Films de la quinzaine

panda.jpg Kung Fu Panda: c’est un dessin animé sympathique mais qui manque d’un je-ne-sais-quoi. Quelques scènes sont vraiment marrantes mais elles ne sont pas assez nombreuses et les personnages secondaires mériteraient d’être mieux exploités.

Jumper: avec Hayden Christensen (Star Wars 1, 2, 3), Rachel Bilson (The OC, The Last Kiss) et Samuel L. Jackson. L’histoire d’un mec qui peut se téléporter où il veut, ce qui ne plaît pas à tout le monde… C’est pas mal, ça fait visiter le monde mais ça manque clairement d’épaisseur.

Cleaner: encore un film avec Samuel L. Jackson, qui interprète cette fois un nettoyeur de scènes de crime au cœur d’une magouille. On peut s’abstenir, c’est très contemplatif, du genre le réalisateur se regarde le nombril…

hulk.jpgL’incroyable Hulk: je n’avais pas vu celui d’Ang Lee mais celui-ci ne m’a pas convaincue du tout. C’est pas tant Edward Norton, comme j’ai pu le lire, qui me gêne mais l’histoire en elle-même où en gros il ne se passe pas grand chose à part les combats que j’ai trouvés assez interminables. J’avais peut-être l’esprit occupé ailleurs en fait!

License to Wed (Permis de mariage): avec Robin Williams et Mandy Moore, on le regardait en connaissance de cause, sans attente particulière et s’il y a des passages drôles, ça s’essouffle vite. Les acteurs, quant à eux, sont loin d’être bons.

narnia.jpg Les chroniques de Narnia 1 et 2: Ce sont des films d’aventure vraiment bien faits, avec des paysages époustouflants et des scènes de batailles impressionnantes, mais les 4 enfants-protagonistes peinent à être foncièrement attachants…

Wallace et Groomit et le mystère du lapin-garou: j’en avais entendu beaucoup de bien et je m’attendais à un film d’animation plus adulte… C’est vrai que j’ai raté la moitié du film mais de ce que j’en ai vu c’est très enfantin, très naïf tout de même, j’étais déçue.

Clair-obscur

thehappening.jpg Je suis allée voir le dernier Shyamalan au cinéma hier, vous savez le réalisateur de Sixième sens, Incassable, Signs, Le village, etc. Cette fois il sort The happening, soit Phénomènes en France et L’événement en québécois.

C’est un film à suspens où un étrange phénomène pousse les gens à se suicider. J’aurais du savoir que ce n’était pas pour moi car j’ai passé une partie du film la main devant les yeux, en écartant à intervalles réguliers les doigts, histoire de voir ce qui se passait!

Donc c’est un film qui fait un peu peur, quelques scènes précises sinon c’est pas non plus la mort, mais surtout c’est un film dont les acteurs (Mark Wahlberg et Zooey Deschanel) sont moyens, la réalisation parfois sans intérêt et surtout la musique qui, pour ma part, m’a déplu quasiment tout le long. C’était limite le cliché du film d’angoisse, on aurait presque pu entendre des scies!

Du coup, vous vous en doutez. j’ai un avis assez mitigé mais malgré tout il y a des choses que j’ai aimé, notamment les quelques passages drôles et le principe de la perte de contrôle des gens qui les pousse à commettre l’irréparable.
Cependant, cela ne suffit pas pour rester sur un avis pleinement positif mais si le but est d’avoir peur c’est à peu près réussi vu que dès que je ferme les yeux je vois des corps suspendus!

De l’action, des robes et des romances

XMen3.jpg X men 3: déjà problème, je ne me souvenais plus du 2 donc j’ai eu du mal à comprendre l’histoire de Scott puis de Jane… Ensuite, c’est un film d’action mais je sais pas, il y a quelque chose qui ne passait pas… Je trouvais ça presque creux bizarrement. Il se passe pas mal de choses, peut-être trop justement, ce qui fait que beaucoup ne sont qu’effleurées et en même temps je trouvais ça un peu long… Bref, pas aimé plus que ça

bourne.jpg
The Bourne Identity: le premier des trois Jason Bourne, toujours un plaisir de retrouver ce personnage et surtout cet acteur, Matt Damon, qui est juste parfait! J’ai beau avoir déjà vu une fois la trilogie, reste que je trouve ça un peu compliqué parfois et encore le premier n’est pas le pire dans ce domaine. Et puis c’est le seul qui a une vraie fin heureuse donc j’adore!

Love_Actually.jpg
Love actually: je ne l’avais vu qu’au cinéma lors de sa sortie il y a quelques années et j’en gardais un bon souvenir sans me rappeler vraiment de quoi il s’agissait. La comédie romantique fonctionne bien mais comme souvent avec les films chorales certains personnages mériteraient d’être plus développés car on reste un peu sur notre faim en dehors des deux love story qui finissent bien. Mais il y a Hugh Grant donc on lui pardonne tout!

27dresses.jpg
27 dresses: la comédie romantique du moment avec Katherine Heigel (Grey’s anatomy, Knocked up) et James Marsden (X men). C’est sympa mais ça restera pas dans les annales! Le scénario se disperse un peu entre différentes problématiques, qui prises séparément auraient pu donner beaucoup mieux. Du coup, ça se laisse voir mais sans plus.

Detrompez-vous.jpg
Détrompez-vous: seul film français vu récemment, Détrompez-vous est l’histoire d’un homme et d’une femme qui découvrent que leurs conjoints les trompent avec le conjoint de l’autre. Bref, du quiproquo, de l’histoire à l’eau de rose, pas d’humour, pas d’originalité, pas de vraie fin, un film dont on se passerait aisément malgré le casting: François Cluzet, Mathilde Seigner, Roschdy Zem, Alice Taglioni.

Army wives

armywives.jpg Il y a longtemps que je n’ai pas parlé série sur ce blog, pourtant ce n’est pas faute d’avoir un billet sur Eli Stone quasi-prêt depuis des semaines! Bref, du coup, c’est d’Army wives dont je veux parler car c’est une série qui passe l’été aux US sur Lifetime et qui mérite d’être connue.

On parle beaucoup des soldats envoyés en Irak, en Afghanistan ou d’en d’autres pays du monde pour faire la guerre ou maintenir la paix, mais on s’intéresse rarement à la vie de leurs familles, aux drames et difficultés auxquels elles sont confrontées. C’est donc à ça que s’attaque Army wives en s’attachant aux époux de militaires qui vivent sur une base américaine.

On suit 4 femmes et un homme, tous mariés à l’armée via leur conjoint. De la jeune mariée impétueuse qui a tout à apprendre de la vie sur une base à la femme de général qui doit faire bonne figure et assumer le poids du protocole, on s’intéresse à ses hommes et femmes qui restent en arrière mais qui doivent vivre des mois, parfois des années sans leur conjoint…

Army wives est une série qui offre une réflexion sur la guerre, parfois critique, mais qui sait aussi être légère et drôle, grâce notamment au franc parler de ses héroïnes. Elles sont attachantes et servies par d’excellentes actrices, qui rendent le tout crédible. On retrouve notamment Catherine Bell de JAG (Denise), Brigid Brannagh (Pamela), Sally Pressman (Roxy), Kim Delaney (Claudia Joy) et Sterling K. Brown (Roland), seul homme civil. À noter la présence de Drew Fuller dans le rôle de Trevor Leblanc, époux de Roxy, est qui est juste incroyablement sexy!

La première saison comptait 13 épisodes et, alors que la deuxième saison débute ce dimanche, les candidats à la présidentielle américaine Barack Obama et John McKain viennent tout deux d’y faire allusion dans des discours! Une promotion assez incroyable pour cette petite série du câble mais qui montre sa qualité.

Si vous êtes en manque de série pendant l’été, essayez donc Army wives, sans être révolutionnaire, c’est un programme touchant qui sait donner envie de connaître la suite sans utiliser des intrigues rocambolesques ou sensationnelles.

[Las Vegas] 21

21.jpg En ce moment sur les écrans canadiens et à partir de mercredi en France, on peut retrouver Jim Sturgess dans 21 ou Las Vegas 21 en VF. Jim Sturgess c’était mon coup de cœur de janvier après avoir visionné Accross the Universe et depuis je ne l’avais plus revu à l’écran, autant vous dire que j’avais hâte!

Ici, il est accompagné de Kevin Spacey et Kate Bosworth (entre autres) pour un film centré sur le blackjack et les mathématiques. Si l’univers de Vegas et des casinos vous manquait depuis Ocean’s 13 ou Lucky you, vous aurez votre dose de jeux de cartes mais attention pas du poker pour une fois!

C’est donc l’histoire de 5 jeunes étudiants brillants du MIT coachés par leur professeur (Kevin Spacey) pour compter les cartes et ramasser plein de sous, tout en essayant de ne pas se faire prendre, cela va de soi! Sauf que bien sûr, ce n’est pas toujours aussi simple, surtout quand un chef de la sécurité veille au grain à l’ancienne (Laurence Fishburne)…

Le film, qui dure tout de même 2 heures, est assez agréable bien que sans grande surprise. Les acteurs en font en grande partie le charme alors que leurs personnages ne sont malheureusement pas toujours suffisamment développés.
Quoiqu’il en soit cela reste un bon divertissement…

Des cocktails et des filles

cocktail.jpg Vendredi soir avait donc lieu la soirée Blogs & The City, ici, à Montréal et première constatation, être devant le ciné à 17h30 ne suffit pas pour avoir des places pour la séance de 19h35 de Sex & The City, ni pour celle de 22h figurez-vous!

Qu’à cela ne tienne, on se dirige vers l’Hôtel de la Montagne pour profiter de la vue panoramique du bar à son sommet et de ses cocktails!
C’est donc mon premier daïquiri fraise depuis des mois et il était particulièrement bon, ce qui explique peut-être le prix plus élevé que la moyenne (9.25$ sans tips).
Malgré les nuages, les neuf filles présentes papotent gaiement ou prennent des photos de la vue, jusqu’à ce qu’il soit temps de partir en chasse d’un restaurant. On se dirige vers le quartier latin vu que le ciné sur St Denis diffuse exceptionnellement le film en VO (non sous-titrée as usual here) et on découvre avec plaisir pour celles qui ont fait le déplacement qu’il reste des places pour la séance de 22h! Parfait, le temps de tester le resto indien un peu plus loin et hop on peut enfin prendre places dans nos sièges!

sexcity.jpg J’ai beau réfléchir, je ne trouve pas d’autres exemples de séries qui aient été adaptées au cinéma avec les mêmes acteurs et en totale continuité au niveau de l’histoire… Ça représente un challenge certain mais tout était fait ici pour satisfaire les fans (ou non) de la série Sex and The City. On nous remet dans le bain pendant le générique et on retrouve avec un plaisir non dissimulé les 4 protagonistes qu’on adore: Carrie, Miranda, Samantha et Charlotte.

La première heure est vraiment drôle et soutenue, toutes les nanas dans la salle se sont exclamés en même temps à la vue du dressing de Carrie, ce qui était assez rigolol!
Par la suite, le rythme redescend légèrement mais pour un film de plus de 2 heures, on ne s’ennuie jamais! Si c’est un peu édulcoré par rapport à la série, le ton reste tout de même identique, et l’esprit, tout comme la garde-robe de Carrie, sont toujours les mêmes.

Au passage, on apprendra enfin le vrai nom de Big, toute une page qui se tourne! Il est d’ailleurs un peu triste de penser qu’on ne reverra plus nos 4 héroïnes dans de nouvelles aventures… mais autant rester sur une note positive!

Trois auraient suffi

indianajones.jpg La saga Indiana Jones, c’est avant tout Harrisson Ford, son chapeau, son fouet, son humour et heureusement ces éléments sont toujours présents dans le 4e volet des aventures du célèbre archéologue, car le moins que l’on puisse dire c’est que le scénario, lui, laisse à désirer…

Je ne sais pas s’ils sont tombés dans la facilité mais l’Histoire manque cruellement de saveur, entre le faux agent-double (ah bon?!), les petits hommes verts (l’horreur) et quelques « locaux » venus faire de la figuration…
Aucun piège à déjouer dans ce « royaume du crâne de cristal », on y entre (presque) comme dans un moulin et très peu de suspens au final dans cet épisode. Je ne parle même pas du fameux crâne, tout léger, qui a l’air fait de plastique recyclé, très crédible!

Si l’on ajoute quelques scènes tellement improbables qu’elles en deviennent risibles (Henry 3e du nom qui se prend pour Tarzan, ou qui fait de l’escrime à cheval sur deux voitures), on a le tableau d’un film dont on se serait bien passé

Heureusement, le personnage d’Indiana Jones a toujours le même attrait, le même sex appeal, et comme la pomme ne tombe jamais loin de l’arbre, on peut en dire autant de son fiston! Shia Labeouf est impeccable dans son rôle et aussi crédible au bord des larmes qu’au guidon de sa voiture.
Quant aux autres protagonistes, on retrouve Marion Ravenwood (Karen Allen) du tout premier volume de la saga, on se serait bien passé de tous les intermèdes à l’eau de rose qui tombent comme un cheveux sur la soupe mais le personnage est sympa et l’interaction entre ses trois-là permet quelques scènes bien rigolotes au moins.
À noter que Cate Blanchett figure aussi au générique en méchante brune passionnée de para-psychisme (l’intérêt?!)…

La fin laisse présager que le fiston pourrait reprendre le chapeau de son père, une nouvelle adaptation est-elle à prévoir??

Supergrave en DVD

supergrave.jpg Si Supergrave ne vous dit rien, Superbad sera peut-être plus explicite, c’est le titre en VO de la dernière comédie de Judd Apatow et Seth Roggen, qui sont aussi responsables (en tant que scénariste, réalisateur ou producteur) pour 40 ans toujours puceau (que je n’ai pas encore vu) et En cloque mode d’emploi (avec Katherine Heigl notamment) que j’avais bien aimé.

Supergrave avait fait pas mal de bruit à sa sortie, les critiques étant positives mais pour ce genre de film à l’humour un peu lourd je me contente généralement du DVD. C’est l’histoire de deux meilleurs amis un peu loosers qui s’apprêtent à aller à LA soirée de leur vie, celle de la dernière chance pour eux de sortir/coucher avec les filles de leur rêve avant la fin du lyçée mais ça s’annonce compliqué…

Dans les rôles principaux, on retrouve Michael Cerra, Evan, vu depuis dans l’excellent Juno, et Seth, Jonah Hill (vu dans d’autres comédies dont Forgetting Sarah Marshall – Sans Sarah rien ne va, à l’affiche en ce moment). Leur duo fonctionne très bien, auquel vient s’ajouter un 3e comparse, Christopher Mintz-Plasse, très drôle également.

Si les blagues de c*l et l’humour potache ne me font pas toujours rire, il y a dans ce film quelques scènes excellentes, notamment quand Seth est au supermarché pour tenter d’acheter de l’alcool alors qu’il n’a pas l’âge. Je ne vous donne pas de détails mais cette scène m’a fait beaucoup rire. Et juste pour être précise, au-delà du côté sexuel, c’est avant tout l’histoire de deux meilleurs amis qui vont devoir se séparer lors de la rentrée universitaire, et pour ça c’est très touchant.

Sinon je me suis demandée si ça n’avait pas été tourné à Vancouver vu la référence à Granville street mais en fait c’est un clin d’œil car les deux scénaristes ont grandi dans cette ville.

Quoiqu’il en soit sur le DVD vous retrouvez, outre la version non censurée du film, des bonus. Il y a d’ailleurs un site internet consacré à la sortie, sur lequel on peut gagner une PS3 (et 50 slips mais bon… voilà quoi).

Article sponsorisé

Iron man

ironman.jpg Iron man est le premier blockbuster de l’été bien que l’on ne soit pas en été, donc finalement c’est le premier blockbuster du printemps! Tiré du comic de Marvel du même nom, Iron man est un énième super héros sauf qu’en fait il n’a rien de surnaturel, juste une armure ultra sophistiquée.

Iron man signe le retour de Robert Downey Jr au cinéma depuis Zodiac et s’il n’avait pas cet affreux bouc coupé bizarrement, il aurait sans doute été deux fois plus sexy! En tant qu’acteur, bien qu’il n’articule pas toujours beaucoup, il reste vraiment bon et parvient à convaincre dans ce rôle de génie désinvolte.

Pour autant, le film connaît quelques lacunes dont une mise en place un peu longue et quelques invraisemblances…
Le tout est contrebalancé par l’humour du personnage principal et toute la technologie qui l’entoure.
On retrouve également Gwyneth Paltrow dont je n’arrive même plus à me souvenir des derniers films dans lesquels elle a joué tellement ça me paraît loin! J’étais en outre un peu surprise de la retrouver dans ce rôle proche d’un faire-valoir vu l’épaisseur et le temps de présence du personnage…

Iron man reste un bon film d’action, pas à la hauteur de Batman Begins ou plus récemment de Transformers (la scène de combat entre les deux « iron » rappelle vraiment ce film) mais je me dis que le 2 (car je suppose qu’il y aura un 2) sera sûrement plus percutant vu qu’on aura déjà plus toute la genèse du personnage à créer…

En résumé, le 1 était assez bien mais vivement le 2 surtout!

30 Rock

NUP_109306_0031
Cette année, outre les nouveautés de la saison, j’ai eu envie de trouver une nouvelle série humoristique car hormis How I met your mother (cependant géniale), je n’avais pas grand chose à me mettre sous la dent dans ce registre…
En furetant sur le net, j’ai lu d’excellentes critiques sur 30 Rock qui est diffusée depuis 2006 sur NBC aux États-Unis et sur Canal+ en France depuis peu.

La série se passe dans les coulisses d’une émission de NBC (type Saturday night light) dont on suit la scénariste en chef, Liz Lemon (l’excellente Tina Fey), son nouveau boss, Jack Donaghy (très bon Alec Baldwin) ou encore Tracy Jordan (Tracy Morgan) la nouvelle star du show imposé à l’équipe.
Cela dit, tous les personnages secondaires sont importants (et déjantés) et apportent un vrai souffle comique, tels Kenneth (Jack MacBrayer, actuellement dans le nouveau clip de Mariah Carey) ou Jenna, l’autre star du show (Jane Krakowski, ex secrétaire d’Ally McBeal).

Cette sitcom met un peu de temps à se mettre en place, il faut persévérer au-delà des premiers épisodes et supporter Tracy Jordan mais après ça il y a franchement des passages hilarants!
Son plus gros problème à mon sens c’est d’être assez inégale car tous les épisodes ne sont pas aussi drôles les uns que les autres mais il serait dommage de passer à côté pour autant.
L’autre chose qui peut gêner le spectateur ce sont les nombreuses références à l’univers télévisé américain… Ça va d’une blague à propos d’Ugly Betty par exemple à des mentions de personnalités qui nous sont parfois inconnus en France…
D’ailleurs en parlant de personnalités, la série accueille un certain nombre de guests star dont Al Gore, David Schwimmer (Friends) ou encore Seinfeld.

30 Rock dont le nom vient de l’adresse de NBC, 30 Rockfeller Center, connaît un succès mitigé sur le public américain mais un très grand succès critique et un soutien sans faille (jusqu’à présent) de la chaîne qui n’hésite pas à la renouveler. Elle a d’ailleurs remporté l’Emmy Award de la meilleure série comique en 2007.