Recherche pour "deux en un"

La petite fille de Monsieur Linh

linh.jpg Une amie m’a offert ce livre avant mon départ au Canada et je l’ai seulement ouvert cette semaine bien qu’il se lise en un clin d’oeil comme dirait un autre ami.

Écrit par Philippe Claudel (qui avait reçu le prix Renaudot en 2003 pour Les âmes grises), ce petit livre est comme une fable que nous raconte un narrateur anonyme, avec une écriture simple. Il est question d’exil, de déracinement, mais aussi d’amitié.
Monsieur Linh débarque d’un bateau dans un nouveau pays car le sien est ravagé par la guerre et tout ce qu’il a pu sauver c’est sa petite fille qui le pousse à survivre et le contenu d’une minuscule valise.

C’est l’histoire d’une rencontre, de gestes, de regards qui font qu’on se comprend sans se parler, de deux hommes malheureux qui ont perdu ce qu’ils avaient de plus cher et qui trouvent dans leur relation une ancre à laquelle se rattacher.

La petite fille de Monsieur Linh se dévore avec impatience, on aimerait pouvoir aider le vieillard, lui expliquer… jusqu’à cette chute finale qui au lieu de nous pousser à fermer le livre pour le remettre sur une étagère nous pousse à le rouvrir et à le relire. Différemment.

Rattrapages

Quand j’étais petite et que certains films passaient à la télé, mon père ou mon frère s’exclamaient parfois: « on l’a déjà vu 10 fois » et changeaient de chaîne… C’est comme ça que je suis arrivée à 27 ans sans avoir vu Ghosbusters, Terminator, Scarface, Alien ou que sais-je encore! Du coup, bah entre deux navets films de filles, j’essaie de corriger quelques lacunes. C’est ainsi donc que ces derniers temps j’ai vu:

fantomes.jpg SOS Fantômes 1 et 2 (Ghostbusters): j’adore! Je trouve que les 3 protagonistes fonctionnent parfaitement, les acteurs sont bons, l’histoire roule sans problème et les effets spéciaux, bien que dépassés, ne sont pas ridicules. La bonne nouvelle? Il paraît que les acteurs ont signé pour un 3e volet!

The Big Lebowski: ça aussi c’est un film dont j’ai beaucoup entendu parlé mais que je n’avais jamais vu! Il y a quelques répliques cultes, les deux anti-héros sont marrants dans leur genre, les acteurs excellents également, par contre ça m’a pas donné envie de me mettre au White Russian!

I am legend: j’avais entendu des critiques mitigées mais finalement je fais partie (contre tout attente) des gens qui ont aimé le film! À la base, ça ne me tentait pas vu l’histoire et le simple fait que ça fasse peur mais j’ai adoré l’aspect seul au monde au milieu d’un New-York ravagé, d’un silence glacial! À côté de ça, l’aspect religion est un poil lourd sur la fin, tout comme la rencontre impromptue mais ça fonctionne plutôt bien, je suis cliente.

hellboy.jpg HellBoy 1 et 2: dans le genre héros fantastique, créature qu’on cache aux humains, ça n’a pas grand chose de nouveau et on pourrait écrire le 3e volet les yeux fermés tant on nous prépare le terrain dans le 2 mais l’humour insufflé par le protagoniste ajoute un plus non négligeable à cette saga. Par contre, faut pas craindre les monstres et autres bestioles bizarres car il y en a plein!

Les 3 petits cochons: seul film québécois vu récemment, il est plutôt sympa. L’histoire de 3 frères et de leurs histoires de cœur, voire de cul pour être franche, autour de leur mère hospitalisée. Il y a quelques répliques très drôles, surtout si on vit à Montréal (dans le 514 quoi), mais le propos en lui-même est plutôt assez pessimiste. Je ne vous en dis pas plus.

Once: j’en avais entendu beaucoup de bien mais ce film qui réunit 2 âmes perdues autour de la musique a un rythme assez particulier, sans compter la façon documentaire d’être filmée. C’est parfois déroutant mais c’est sensible et la BO est bonne, donc pourquoi pas.

Tout change


En juillet 86, à 5 ans, j’ai eu la rougeole pendant que nous faisions du camping avec mes parents et mon frère à Fréjus (enfin je crois). Le camping étant peu ombragé et bruyant, mes parents ont décidé de partir et de se rendre à St Rémy de Provence où des amis passaient leur vacances, mais de rentrer à la maison si jamais il n’y avait pas d’emplacement libre au camping de la ville…

On a trouvé de la place, on est resté jusqu’à la fin des vacances, j’ai pu profité de la piscine quand mes boutons sont partis et on a tellement apprécié le lieu qu’on y est revenu chaque été depuis.
À raison d’un mois ou de quelques jours les années passants, il ne s’est pas passé un été sans qu’un membre de la famille, voire toute la famille se rende à St Rémy, au Mas de Nicolas, depuis 86. Très vite, on y a rencontré des amis qui sont devenus quasiment une deuxième famille, on faisait des sorties à Aquacity à plus de 30 personnes, parents et enfants confondus, c’était un sacré bordel, tout comme lorsque l’on allait passer une journée à la plage ou en canoë sous le pont du Gard… Ah, c’était le bon vieux temps…

Au fil des années, les enfants ayant grandis, chacun a commencé à changer ses habitudes, ses dates de vacances et le camping n’a plus eu tout à fait la même saveur, sans les immenses tablées du 14 juillet et les batailles d’eau. La ville de St Rémy aussi a changé, le Henry IV n’est plus le Henry IV, le France ne fait plus ses incroyables crêpes au jambon, les pizzas du Lou Grilladou ne sont plus aussi copieuses mais les cigales et le mistral, eux, sont toujours bien présents.

St Rémy fait partie de ces endroits où je retournerais toujours avec plaisir car pas un chemin là-bas ne me rappelle pas un souvenir. C’est avec la maison de mon enfance, sans doute l’endroit où j’ai accumulé le plus de souvenirs. J’aurais aimé que rien n’y change jamais mais malheureusement c’est impossible. Et cette année pour la 3e fois en 22 ans, je n’y suis pas allée faire un tour.
L’été sans St Rémy n’est pas tout à fait pareil mais il faut bien grandir je suppose…

Wall-E

wall-e.jpg Wall-E est le dernier dessin animé né des studios Pixar (Toy Story, Monstres & Cie, Ratatouille…) et comme toute leur production il est précédé d’un court métrage, excellent cela va sans dire. Il s’agit de Presto, l’histoire d’un magicien qui tente de faire sortir un lapin de son chapeau, mais ledit lapin est affamé et veut une carotte avant tout. Cela prête à des situations cocasses qui, le temps de quelques minutes, nous font beaucoup rire, d’autant que les dessins sont très réussis, le lapin est adorable!

Puis vient Wall-E, comment ne pas craquer pour lui tant il est rigolo et touchant. C’est un robot, seul sur terre ou presque, qui est chargé de dépolluer notre planète et autant dire qu’il en a pour des siècles vu l’état dans lequel elle a été laissé par ses habitants, qui eux flottent dans l’espace depuis des siècles.

Il mène une petite vie bien rodée, tout en rêvant d’autre chose et d’amour, lorsqu’un événement vient changer la donne: un vaisseau atterrit quelques minutes, le temps de déposer un robot nouvelle génération sur terre, à la mission top secrète. Le robot en question c’est Ève, et rien que les présentations entre ces deux protagonistes est hilarantes.
Je ne vous en dirai pas plus sur la suite de l’histoire mais Wall-E est un dessin animé à la fois drôle et intelligent, avec pourtant très peu de dialogues.

Les animations sont géniales, les héros amusants, émouvants, attachants et le fond de l’histoire sur l’avenir de notre planète et la pollution traité de manière futuriste est éloquent.
Sans être alarmant, il y a de quoi se demander si l’on en arrivera là un jour, tout comme le vaisseau amiral et ses passagers obèses qui ne se lèvent jamais de leur siège paraît plausible…

En bref, Pixar nous avait fait saliver depuis des mois avec moults teasers rigolos sur Wall-E, et bien le moins que l’on puisse dire, c’est que ça valait la peine d’attendre!

Maudits français

jeremydemay.jpg Les « maudits français » c’est comme ça qu’on nous appelle au Québec car on a la réputation d’être arrogant et hautain… C’est aussi le nom donné au gala qui avait lieu hier soir dans le cadre du festival Juste pour rire où 4 humoristes de la relève française se produisaient, le tout animé par… Jeremy Demay!

Ce nom ne vous dit sûrement rien mais je sais qu’au moins une personne ici le connaît et qu’elle sera vaguement verte d’avoir raté ça.
Le jeune homme de 25 ans est un français installé au Québec depuis quelques années pour percer sur la scène humoristique et ça marche plutôt bien car il a remporté un concours dans le cadre d’une émission de télé pour faire plusieurs shows pendant Juste pour rire. C’est donc tout naturellement lui qui présentait le gala d’hier soir, et franchement c’était super bien réussi!

Parmi les 4 humoristes présents, il y avait Fabrice Éboué, vous savez celui qui passait chez Fogiel et qui fait partie du Djamel Comedy Show. Son passage était très réussi, il a fait pas mal de blagues par rapport au Québec, et le fait de s’adapter ainsi à son public (bien qu’à majorité française) était vraiment sympa.

Le deuxième homme présent était… j’ai perdu son nom, mince! En tout cas, ultra doué en capoiera, je bavais devant sa démonstration! Cependant, le sketch en lien était moins drôle que son premier sur les rapports homme-femme et la part de féminité de ces messieurs, vraiment bien marrant…

Au rayon des humoristes féminines, il y avait Cécile Giroud qui joue Ça y est, je suis grande à Paris depuis un an et qui fait dans l’humour plutôt noir, puisqu’il était question de son enterrement et de masochisme à peu près tout le long. Il y avait quelques bonnes choses mais cela restera toutefois celle qui m’a fait le moins rire.

L’autre femme présente, mise en scène par Florence Foresti elle-même, était Céline Iannucci qui a dépeint un tableau de la maternité très rigolo.

Pour finir, Jeremy Demay a fait un numéro sur Je l’aime à mourir de Cabrel, le temps de remarquer qu’il chantait très bien, en plus d’être vraiment très drôle! Mon nouvel objectif: voir un show complet de lui!

Eli Stone

elistone.jpg Eli Stone est une des séries qui m’a le plus émue cette année et pourtant elle n’était pas sûre de connaître une deuxième saison!

Quand on prend connaissance de l’histoire, on pense immédiatement à Ally McBeal, puisqu’il s’agit d’un avocat qui a des visions, mais en fait ça va bien au-delà. Eli Stone (à prononcer à l’anglaise, joué par Jonny Lee Miller) est un avocat d’affaire à succès quand il se met à entendre et voir George Michael, ce qui va forcément chambouler sa vie.
De là, il apprend qu’il a un anévrisme apparemment inopérable au cerveau mais aussi que ses visions semblent aller au-delà du symptôme de la maladie. Aidé par un acupuncteur, le Dr Chen, il va déchiffrer ses visions qui sont souvent liées aux affaires qu’il traite. Serait-il une sorte de prophète comme le pense ce fameux docteur?

Le fait qu’Eli ait des visions entraine des situations cocasses souvent très drôles comme lorsqu’il se prend à chanter au beau milieu du lobby de son cabinet d’avocat. Mais bien plus que cela, il y a de nombreux moments très émouvants qui font que régulièrement j’avais les larmes aux yeux, notamment quand on comprend ce que vivait le père dEli…
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J’ai beaucoup parlé du protagoniste mais il faut dire qu’il est entouré d’une galerie de personnages secondaires savoureux, à commencer par son assistante, Patti, joué par Loretta Devine (la femme du Chief dans Grey’s Anatomy) qui est géniale à chacune de ses apparitions!
Il y a aussi Taylor la copine d’Eli en début de saison, Maggie une jeune avocate un peu naïve, Jordan le père de Taylor, qui se trouve être également le boss d’Eli et qui est interprété par Victor Garber, le père de Sydney dans Alias. Je pourrais encore citer Matt le collègue sarcastique, Nathan le frère médecin ou Chen l’acupuncteur.
Tout ces personnages ont des rôles plus ou moins importants selon les épisodes mais fonctionnent parfaitement avec le protagoniste et c’est là la force d’Eli Stone.

Difficile de résister à ce personnage, à son entourage et bien que le pitch de départ ressemble à Ally McBeal, le traitement n’est pas le même, ni le sens des visions. Et comme une saison 2 a bel et bien été commandée, ça nous laisse tout le temps de nous attacher encore un peu plus à Eli Stone et à son univers.

C’est parti!

drapeau.jpg Mardi c’était la Fête de la Saint Jean et ici ça a une connotation particulière car c’est la Fête Nationale du Québec. Oui, nationale vous avez bien lu, alors même que le Québec est une province. Mais on est comme ça ici, on est un îlot à part, avec quelques prérogatives particulières par rapport au reste du Canada…

Cela dit, ça ne va pas nous empêcher de fêter le Canada day le 1er juillet, soit une semaine pile poil après. La différence c’est que pour la St Jean, tout le monde est dans la rue pour faire la fiesta, avec le fleurdelisé (le drapeau bleu et blanc), chapeaux, maquillage et concert gratuit dans la soirée alors que pour la fête du Canada, on choisit plutôt de déménager!

Beaucoup d’appartements ont des baux annuels qui courent du 1er juillet au 31 juin de l’année suivante, du coup le 1er juillet, comme en plus c’est férié, beaucoup de locataires changent d’appartement.
C’est aussi la journée idéale pour se balader dans les rues à la recherche de meubles car pas mal de gens laissent devant chez eux des vieux articles, parfois brinquebalant, ou juste en double, pour les encombrants ou le badaud intéressé. C’est comme ça qu’on peut s’équiper pour pas cher, si on fait fi de l’état ou de la couleur de certains meubles!

jazz.gif Du coup, en plus de ces deux fêtes, il y a aussi le Festival International de Jazz qui commence aujourd’hui, ce qui veut dire des scènes installées dans un quadrilatère de rues en plein centre-ville et des concerts gratuits!
Ça marque le coup d’envoi des principaux festivals de l’été car à cela va s’enchaîner le Festival Juste pour rire, les Francofolies, les Nuits d’Afrique, etc.
Autant dire qu’il n’y aura plus aucune raison pour ne pas sortir chaque soir, vu que la plupart de ces festivals offrent des spectacles gratuits en parallèle de la programmation principale payante!

De l’action, des robes et des romances

XMen3.jpg X men 3: déjà problème, je ne me souvenais plus du 2 donc j’ai eu du mal à comprendre l’histoire de Scott puis de Jane… Ensuite, c’est un film d’action mais je sais pas, il y a quelque chose qui ne passait pas… Je trouvais ça presque creux bizarrement. Il se passe pas mal de choses, peut-être trop justement, ce qui fait que beaucoup ne sont qu’effleurées et en même temps je trouvais ça un peu long… Bref, pas aimé plus que ça

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The Bourne Identity: le premier des trois Jason Bourne, toujours un plaisir de retrouver ce personnage et surtout cet acteur, Matt Damon, qui est juste parfait! J’ai beau avoir déjà vu une fois la trilogie, reste que je trouve ça un peu compliqué parfois et encore le premier n’est pas le pire dans ce domaine. Et puis c’est le seul qui a une vraie fin heureuse donc j’adore!

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Love actually: je ne l’avais vu qu’au cinéma lors de sa sortie il y a quelques années et j’en gardais un bon souvenir sans me rappeler vraiment de quoi il s’agissait. La comédie romantique fonctionne bien mais comme souvent avec les films chorales certains personnages mériteraient d’être plus développés car on reste un peu sur notre faim en dehors des deux love story qui finissent bien. Mais il y a Hugh Grant donc on lui pardonne tout!

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27 dresses: la comédie romantique du moment avec Katherine Heigel (Grey’s anatomy, Knocked up) et James Marsden (X men). C’est sympa mais ça restera pas dans les annales! Le scénario se disperse un peu entre différentes problématiques, qui prises séparément auraient pu donner beaucoup mieux. Du coup, ça se laisse voir mais sans plus.

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Détrompez-vous: seul film français vu récemment, Détrompez-vous est l’histoire d’un homme et d’une femme qui découvrent que leurs conjoints les trompent avec le conjoint de l’autre. Bref, du quiproquo, de l’histoire à l’eau de rose, pas d’humour, pas d’originalité, pas de vraie fin, un film dont on se passerait aisément malgré le casting: François Cluzet, Mathilde Seigner, Roschdy Zem, Alice Taglioni.

Cherchez l’erreur

Aujourd’hui je vous propose un super jeu trop drôle qui s’appelle « Cherchez l’erreur » et même qu’en fait il y a deux erreurs et que ce ne sont pas vraiment des erreurs mais plutôt des « choses chelou » comme disent les jeunes!

Le principe est simple, je vous mets une photo prise de la salle de bains que mon coloc Samuel et moi-même utilisons et vous me dites ce qu’il y a de surprenant là dedans… Vous allez voir c’est simple, d’autant que je vous ai rangé les produits par catégorie.

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Army wives

armywives.jpg Il y a longtemps que je n’ai pas parlé série sur ce blog, pourtant ce n’est pas faute d’avoir un billet sur Eli Stone quasi-prêt depuis des semaines! Bref, du coup, c’est d’Army wives dont je veux parler car c’est une série qui passe l’été aux US sur Lifetime et qui mérite d’être connue.

On parle beaucoup des soldats envoyés en Irak, en Afghanistan ou d’en d’autres pays du monde pour faire la guerre ou maintenir la paix, mais on s’intéresse rarement à la vie de leurs familles, aux drames et difficultés auxquels elles sont confrontées. C’est donc à ça que s’attaque Army wives en s’attachant aux époux de militaires qui vivent sur une base américaine.

On suit 4 femmes et un homme, tous mariés à l’armée via leur conjoint. De la jeune mariée impétueuse qui a tout à apprendre de la vie sur une base à la femme de général qui doit faire bonne figure et assumer le poids du protocole, on s’intéresse à ses hommes et femmes qui restent en arrière mais qui doivent vivre des mois, parfois des années sans leur conjoint…

Army wives est une série qui offre une réflexion sur la guerre, parfois critique, mais qui sait aussi être légère et drôle, grâce notamment au franc parler de ses héroïnes. Elles sont attachantes et servies par d’excellentes actrices, qui rendent le tout crédible. On retrouve notamment Catherine Bell de JAG (Denise), Brigid Brannagh (Pamela), Sally Pressman (Roxy), Kim Delaney (Claudia Joy) et Sterling K. Brown (Roland), seul homme civil. À noter la présence de Drew Fuller dans le rôle de Trevor Leblanc, époux de Roxy, est qui est juste incroyablement sexy!

La première saison comptait 13 épisodes et, alors que la deuxième saison débute ce dimanche, les candidats à la présidentielle américaine Barack Obama et John McKain viennent tout deux d’y faire allusion dans des discours! Une promotion assez incroyable pour cette petite série du câble mais qui montre sa qualité.

Si vous êtes en manque de série pendant l’été, essayez donc Army wives, sans être révolutionnaire, c’est un programme touchant qui sait donner envie de connaître la suite sans utiliser des intrigues rocambolesques ou sensationnelles.