Recherche pour "deux en un"

Du rasoir à l’épilateur… ou pas!

Comme un certain nombre de blogueuses, j’ai eu la chance d’être sélectionnée par Buzzparadise pour tester en avant-première le presque révolutionnaire nouvel épilateur de Panasonic.

Le problème c’est que moi les épilateurs j’aime pas parce que ça fait mal et que je suis douillette (et que même si je ne l’étais pas, ça ferait toujours mal)! J’ai testé deux fois ces engins de malheur, avec deux épilateurs différents et à chaque fois le résultat a été le même « c’est trop douloureux je peux pas! »

Sauf que lorsqu’on m’offre gratuitement un produit en avant-première, je fais fi de tout pour accepter dans la seconde et même que je m’applique à lire la documentation pour voir à quoi je m’expose (et réduire le risque de faire une bêtise).
Si j’en crois la notice, cet épilateur est magique car, sans fil, on peut l’utiliser sous la douche et réduire ainsi la douleur! Ouah! Ça laisse rêveuse et ça me fait presque franchir le pas sans trembler!
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Armée du mignon objet (très maniable aussi), de son embout à 3 têtes et de mon gel douche, j’ai donc allumé le Wet and Dry et première constatation, il est relativement silencieux, on est loin du gros bruit des anciens épilateurs qui, déjà, faisait paniquer. Après, il faut reconnaître que niveau douleur, c’est vraiment moindre, quelques picotements type électricité, mais ça reste très supportable même pour moi!! Génial!

Par contre, pour l’embout spécial maillot, un truc à du m’échapper car c’est loin d’être efficace, ce qui fait que j’ai repris l’embout de compet’ à 3 têtes même si ce n’est pas celui prévu pour…

Sous la douche j’avais du mal à me rendre compte s’il restait des poils ou pas et j’ai eu beau repasser plusieurs fois, le constat est sans appel en sortant de la douche, il y a des ratés! En lisant les blogs des autres « testeuses », il semble que l’épilateur soit plus efficace à sec… Étant donné que sous l’eau, je n’avais quasiment pas eu mal, je testerai donc comme une grande à sec la prochaine fois…

Par contre, si cet épilateur est vraiment top, je n’avais pas pris en compte les démangeaisons après coup (qui sont peut-être inhérente à tout épilateur??)! J’ai beau hydrater ma peau, ça me gratte et puis ça fait des petits boutons! Du coup, j’avoue que le rasoir donne un rendu beaucoup plus doux et moins embêtant ce qui me fait hésiter pour la suite… Je vais voir comment ça évolue et je testerai une nouvelle fois à sec mais si c’est pour qu’à chaque fois j’ai la peau irritée, ça ne va pas le faire longtemps…

J-15

IMG_6647.jpgPurée de chez purée, dans deux semaines je serais entre deux continents, deux pays, deux vies! Pfiou! Même si ce n’est pas la première fois que je pars vivre au Canada, chaque départ amène sa nouvelle dose d’interrogations et d’angoisse mais aussi d’excitation et d’impatience.

Mais un des problèmes dans le fait d’être la personne qui part c’est que plus le départ approche plus votre entourage est triste alors que vous, vous êtes fébrile, voire heureuse… Forcément, vous avez un peu l’air sans cœur, déjà de partir sans « raison apparente » mais en plus de laisser tout le monde malheureux et ça, ce n’est pas tous les jours faciles.

Mais cette fois, c’est la première depuis des années que je vais faire mes bagages sans deadline au bout. Pas de retour dans 9 mois à la fin de ma maîtrise, ni dans 1 an à la fin de mon PVT, pas de départ à Vancouver au bout de 3 mois, ni de retour à Montréal 5 mois plus tard, non un départ, simple et unique sans vraie date de retour et c’est ce qui me fait le plus plaisir…

Je ne compte pas pour autant passer ma vie au Canada, l’idée pour l’instant c’est d’y rester suffisamment longtemps pour obtenir la double nationalité et être ainsi débarrassée définitivement des questions de visas. Mais le fait de ne pas avoir de date de retour me permet pour la première fois depuis longtemps d’envisager de me poser pour une longue durée quelque part. Je compte bien trouver un appart à mon goût et le meubler et le décorer comme il faut, sans me dire à chaque achat « ah oui mais quand je vais repartir… ». Non, là l’idée c’est de s’installer vraiment, de ne rien laisser dans les valises et d’être chez moi pour les prochaines années à Montréal.

Je dis ça maintenant mais quand vont commencer les galères pour trouver un « vrai » travail, je risque de déchanter… Quoiqu’il en soit il ne me reste que 15 jours en France et ça va passer super vite, d’autant que j’ai évidemment des dizaines de choses à faire d’ici là!

Robinson Crusoé

robinson.jpg Robinson Crusoé c’est un peu comme Les 3 Mousquetaires, un roman d’aventure adapté et réadapté pour la télévision et le cinéma que j’ai toujours eu envie de lire pour retrouver les fondements de cette mythologie moderne.

Il y a deux an j’ai lu Les 3 Mousquetaires de Dumas en peu de temps, emporté par le rythme de narration et les personnages tous emblématiques.
Pour Robinson Crusoé de Daniel Defoe, il m’a fallu un peu plus de temps… Pourtant, Defoe, je connaissais pour avoir étudié Moll Flanders à la Fac et j’en avais gardé un excellent souvenir, ce qui fait que je partais très favorable pour celui-ci.

cependant il m’a fallu près de 6 semaines pour le lire, un record! À raison de quelques pages par jour on est bien d’accord mais c’est là tout mon propos, je ne brulais jamais de le rouvrir pour découvrir la suite de l’aventure de Robinson Crusoé, « qui vécut 28 ans sur une île déserte sur la côte de l’Amérique, près de l’embouchure du grand fleuve Orénoque, suite à un naufrage où tous périrent à l’exception de lui-même, et comment il fut délivré d’une manière tout aussi étrange par des pirates« .

Il y a des choses passionnantes dans ce livre, notamment comment le héros organise sa vie, seul sur cette île, et surtout comment la découverte d’une emprunte de pas dans le sable, au bout de 13 ans de solitude, va le plonger dans le plus grand des effrois… Ça je dois dire j’ai adoré car ça interpelle sur plein d’autres plans et entraine une vrai réflexion.

Le problème c’est qu’il y a aussi des longueurs et notamment une grande place faite à la religion et l’impression d’être sermonné un peu trop souvent. Du coup, à la lecture, je me demandais si Defoe était réellement attaché à la religion ou si ces discours devaient au contraire se lire au second degré? À priori il n’y avait pas d’ironie là-dedans, ce qui a quelque peu entaché l’image que j’avais de cet auteur après avoir lu et adoré Moll Flanders! C’est assez troublant d’ailleurs car j’avais dans l’idée que Moll Flanders était loin d’être bien séant pour l’époque mais ma mémoire me joue peut-être des tours sur ce coup-là…

Maintenant pour bien faire il faudrait que je lise Vendredi ou les limbes du Pacifique de Tournier mais je crois que je vais attendre un peu et me contenter de Lost pour ma dose de naufragés! Cela dit ça part mal vu que Lost est en pause pour plusieurs semaines!

La chanson de la semaine: Over All de Françoiz Breut

Breut.jpg Il aurait été de circonstance que je mette « Happy Birthday to you » comme chanson de la semaine mais je garde ça pour mes petits cousins et préfère célèbrer mon anniversaire d’un rhume mais autour d’un excellent repas c’est déjà ça!

So, aujourd’hui, pour mes 20 ans (et quelque) la chanson est Over all de Françoiz Breut, une des deux seules chanson de cette artiste que j’aime, mais au moins je l’aime profondément…
Elle n’est pas récente, elle n’est pas gaie mais elle a une intensité que j’adore.

Le msypace de Francoiz Breut, qui a par ailleurs souvent chanté avec Dominique A : http://www.myspace.com/francoizbreut

La Nouvelle Star sera petite!

Forcément!
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En tout cas c’est la conclusion que j’en ai tiré en voyant samedi soir un petit troupeau des 15 prétendants au titre se balader vers Montparnasse.

Je dirais bien que je les ai repérés à la mèche de Jules mais en fait il portait un bonnet ou une casquette, je ne sais plus, qui cachait ce détail de sa physionomie et à vrai dire mon œil entraîné (et pourtant je n’ai pas de télé) a d’abord repéré un mec dont je suis incapable de vous donner le nom là tout de suite! (Après recherches, il s’agit de Thomas)

Quoiqu’il en soit, ce petit groupe de 6-7 se baladait joyeusement (même qu’Ycare entourait deux jeunes filles de ses bras – J’ai pas vu lesquelles) dans les rues, pendant qu’attérée je constatais qu’aucun d’eux ne devait mesurer plus d’1m65! C’est quoi c’te histoire?!

Bon en vrai si Ycare n’était pas penché sur ces demoiselles, sûrement qu’il devait faire plus d’1m70 et peut-être aussi le premier que j’ai repéré mais quand même dans l’ensemble ce sont tous des nains (oups), même mon chouchou Benjamin, l’homme aux sourcils!

D’ailleurs entre Benjamin et ses sourcils, Jules et sa mèche rebelle, Julien et ses (trop nombreuses) dents, Cédric et sa perruque (ou ses cols roulés comme on veut), ils ont tous un signe distinctif facilement repérable.
Et c’est moi ou Cindy a quelque chose de Lucie de la Star Ac?? Quoiqu’il en soit, le premier prime à Baltard a lieu ce soir et ça tombe bien car l’avantage d’être de retour à la campagne chez papa-maman c’est qu’ils ont la télé, youhou!

C’est trop VIP! (copyright Katerine)

animaux-futur.jpg Ce week-end j’ai eu l’énorme privilège grâce à Kriss de passer la journée de samedi au Futuroscope pour assister à l’inauguration d’une nouvelle attraction: les animaux du futur.

Nous étions invitées par l’agence BuzzParadise avec une soixantaine d’autres personnes, l’occasion d’être traitées comme des VIP le temps d’une journée, notre badge « Presse » autour du coup, la classe!

Le matin on a assisté à une conférence sur la genèse de cette nouvelle attraction et autant dire que j’ai été complètement bluffée par le principe de « réalité augmentée » auquel elle fait appel. Ça laisse présager plein d’applications incroyables et/ou rigolotes pour l’avenir…

L’attraction en elle-même nous permet d’interagir avec des animaux du futur, pensés selon ce que les chercheurs ont appris de l’évolution jusqu’à aujourd’hui. Armé de lunette 3D et d’un capteur à la main on peut les voir, les porter au creux de la main et tenter en vain (ou pas) de les balancer pour s’en débarrasser, bref c’est vraiment marrant. Par contre, comme toujours dans ces cas-là ça ne dure pas assez longtemps mais le concept est vraiment très sympa.

Après ça, on avait quartier libre ce qui nous a permis de tester un voyage au cœur d’Atlantis et un autre en Laponie, où à chaque fois on s’est fait pas mal secouer par les simulateurs, heureusement c’était avant le repas!

repas-Futuroscope.jpg Une très bonne surprise nous attendait au déjeuner puisque nous avons eu le droit à un « menu moléculaire« , entouré des officiels et de quelques people, dont Raffarin, Olivier Sitruk et Gérard Majax!
Le repas était vraiment délicieux mais en lisant « cuisine moléculaire » sur le menu, je m’attendais à quelque chose d’un peu plus original au niveau des textures. Là, tout était très bon, présenté de manière originale mais la cuisine en elle-même n’était pas inventive au sens moléculaire (pas de salade au CO2 comme à L’Européa par exemple).
En tout cas, on s’est bien amusé à se remémorer les Fritzis-patzis (ça ne doit sûrement pas s’écrire comme ça) de notre enfance au moment du dessert quand une mousse au malabar (puis des chocolats) se sont mis à crépiter dans nos bouches!

À table, nous avons eu l’occasion de faire connaissance avec Sabrina, Marie et son mari, Charly, tout trois adorables ce qui fait qu’on a continué la journée ensemble.

On a eu l’occasion de se prendre pour les stars d’un film (après une certaine attente vue que l’attraction est tombée en panne pile quand c’était à notre tour), de crier dans la Vienne dynamique, de recrier dans le Meilleur du Dynamique et enfin malgré un estomac déjà retourné d’achever la journée pour les plus courageuses (à savoir Sabrina et moi) par une danse de robot… Une certaine vidéo prouve que j’avais très envie de descendre à un moment de l’attraction où je n’en pouvais plus de me voir agiter dans tous les sens après déjà la journée éprouvante passée!

Si la journée a vraiment été un régal, je trouve tout de même dommage que le Futuroscope ne soigne pas plus ses attractions. Certains simulateurs, comme celui d’Atlantis, présentent des décors magnifiques mais manque cruellement de scénario ce qui fait qu’on ressort sans trop savoir pourquoi on a été secouée dans tous les sens.

Autre point que je trouve dommageable c’est le peu de soin apporté aux détails et à tout ce qui entourent les attractions. Je pense par exemple aux files d’attente qui se déroulent dans des endroits vides de mise en situation, ou alors à des attractions dont on voit trop l’envers du décor, dommage…

Cependant mes deux précédentes visites du parc remontant à mon adolescence, j’ai pu découvrir avec plaisir que quasiment tous les films avaient été renouvelés ou qu’on y avait apporté des changements, comme l’arbre qui nous éternue dessus dans la Vienne dynamique, excellent!

Cela étant, le Futuroscope n’a pas le pouvoir de faire rêver à mon sens et c’est ce qui fait que je n’ai pas spécialement envie d’y retourner, tout au moins pas avant une bonne dizaine d’années on va dire, mais je suis ravie une fois de plus que BuzzParadise et Christelle m’ait permis d’en profiter à fond cette fois, merci beaucoup!

Amour et chipolatas

amouretchipolatas.jpg Non ce n’est pas moi qui fait cette drôle d’association mais Jean-Luc Lemoine dans sa pièce du même nom. Et autant vous le dire tout de suite, le titre est un peu ce qu’il y a de moins bon dans la pièce heureusement… Parce qu’il faut bien avouer que ce n’est pas terrible « Amour et chipolatas » et qu’en plus ça ne renvoie pas à grand chose…

En tout cas, cette comédie qui se joue au théâtre du Temple (près de République) est donc écrite par Jean-Luc Lemoine et jouée par deux troupes de comédiens dont Jean-François Cayrey, Sébastien Castro, Laurent Hugny et Christophe de Mareuil.

Trois mecs qui ne se connaissent pas se retrouvent invités à un barbecue chez l’ex-copine qu’ils ont en commun et qui a une grande nouvelle à leur annoncer…

On se trouve en présence de caractères très différents et qui fonctionnent très bien, soit tout seul, soit par opposition à un autre. On rit beaucoup, on garde en mémoire quelques scènes vraiment marrantes et on regrette juste un petit passage de 5-10 minutes peut-être où le rythme diminue un peu à l’entrée en scène du personnage féminin.

Cela étant, c’est une comédie vraiment agréable qui se joue déjà depuis plus de 400 représentations et encore jusqu’au 27 avril à Paris.
On peut, qui plus est, trouver des places à moitié prix (dans les 17 euros) sur certains sites internet, c’est donc l’occasion de passer une soirée rigolote au théâtre! Par contre, le placement est libre donc mieux vaut arriver un petit peu en avance. Et si cette pièce ne vous emballe pas, vous pouvez toujours tenter Les Belles-soeurs

Après j’irais me cacher

Dans la série « J’ai honte mais j’assume », je demande les références culturelles pourries.

C’est bien simple j’en ai plein… Du genre des bouts de phrases qui m’évoquent une chanson de Goldman d’il y a 15 ans ou, comme hier par exemple, où deux noms dans ma liste de contacts à appeler au travail m’ont paru familiers… Camden et Rambaldi.

Et oui pour moi aussitôt ça évoque les séries « 7 à la maison » et « Alias« . Alias ça va encore, ça n’a rien d’une série honteuse (hmm Sark) mais 7 à la maison quand même si, un peu, voire beaucoup! Cela dit j’ai vu les premières saisons mais je n’ai jamais suivi de A à Z, c’était bien trop lisse.
Quoiqu’il en soit j’ai vraiment des références très moyennes parfois et dans ces cas-là je n’étale pas ma « science » je vous rassure!

Dans la même série « J’ai honte mais j’assume », je demande la blonde qui veut faire débloquer son portable pour pouvoir l’utiliser à l’étranger et qui est obligée d’appeler 3 fois de suite Orange…

La première fois le mec du service client m’a demandé le numéro EMIE (ou un truc du genre) qui se trouve être inscrit sous la batterie du-dit téléphone. Donc, vu que j’appelais de mon portable, j’ai dû raccrocher, dommage pour les 6 minutes d’attente! Sur ce, mon numéro à la main, je rappelle (toujours du portable) et je m’entends dire au bout de quelques minutes qu’il faut rappeler d’un fixe parce qu’il faut faire la manip en même temps sur le portable! Pfff!
La troisième fois fut heureusement la bonne mais quand même parfois je ne suis pas douée!

Ça c’est lundi!

Hier soir, ayant quelques difficultés (et c’est un euphémisme) à m’endormir tant j’étais préoccupée par tout ce qu’il fallait que je règle en peu de temps, j’ai résolu d’ajouter une To Do List à mon Netvibes (oui je suis comme ça!).
Donc ce matin, j’ai commencé à la remplir avec les principales tâches dont il fallait que je m’occupe avant mon départ… Sauf qu’en fin de journée, c’est un onglet à part entière qu’il m’aurait fallu, tellement elle est longue! Finalement, cette mise par écrit se voulait à des fins de sérénité et le résultat est pire!!

Car maintenant que j’ai mon billet d’avion (pour le 21 avril), j’ai voulu m’occuper de la résiliation de mon abonnement de portable Orange. J’appelle et on m’explique qu’il faut rappeler 7 jours avant le départ maximum puis envoyer en recommandé avec accusé de réception une des pièces justificatives suivantes: bail ou contrat de travail à l’étranger. C’est vraiment des enfoirés méchants parce que dans leurs clauses de résiliation anticipée il est écrit « départ à l’étranger » sans aucune mention des pièces justificatives. Ils ont qu’à être plus précis dans ce cas-là, je ne vois pas pourquoi mon billet d’avion + mon visa de Résidente Permanente ne suffirait pas…
Et leur histoire de 7 jours avant c’est ridicule aussi! Ça veut dire que si les pièces que j’envoie ne leur suffisent pas, je vais le savoir au dernier moment, quand il sera à peu près trop tard pour régler ce problème ou les appeler de France! Très malin! Bref, ça m’énerve et pour peu ma mutuelle va être aussi pénible à résilier.

La bonne nouvelle du jour par contre c’est que j’ai vaincu le capitalisme!! Oui, oui, à moi toute seule!! Enfin plus exactement j’ai juste réussi à faire valoir mes droits pour deux pauvres jours fériés!

wolinski1.gifOui parce que l’entreprise qui m’emploie n’avait pas tilté qu’il y avait 2 jours fériés qui se présentaient pendant la prolongation de mon contrat et il comptait bien magouiller pour ne pas me les payer!
Sentant venir l’histoire, vendredi, j’ai appelé mon agence interim pour leur demander ce qu’il en était quand il y avait des jours fériés pendant la prolongation d’une mission et la nana a trouvé le moyen de me dire que le cas ne s’était jamais vraiment présenté mais qu’elle allait se renseigner et me rappeler lundi.
Aujourd’hui donc, après son appel à ma société, j’ai entendu quelques bribes de conversations où il était question de faire deux contrats histoire que les jours fériés en soient exclus! J’hallucinais dans mon coin, surtout que j’avais l’avenant à mon contrat signé dans mon sac, qui ne demandait qu’à être envoyé donc j’étais à peu près sûre que c’était pour leur pomme!
Ils ne m’en ont pas parlé mais à un moment j’ai compris (c’est ça les bureaux ouverts) que pour moi c’était bon mais qu’à l’avenir, surtout au mois de mai (grosse inquiétude pour eux), ils surveilleraient les jours fériés pour fixer les dates des contrats des intérimaires! Charmant…

La chanson de la semaine: Je regarderai pour toi les étoiles d’Abd Al Malik

On parlera de la chanson de la semaine un peu plus bas mais d’abord un constat s’impose: depuis deux jours je suis d’humeur exécrable! J’en cherche la cause mais je crois qu’à part un léger manque de sommeil et un grand ras-le-bol du travail et surtout des travaux au travail, il n’y a pas vraiment d’autres explications.

Dans la rue, je passe mon temps à râler contre les gens qui, au choix, n’avancent pas assez vite, marchent en plein milieu du trottoir empêchant toute tentative pour les doubler, arrivent en face par grappe de 3 et n’envisageraient pas de se pousser pour éviter la collision!

Dans le métro, je ronchonne parce qu’il y a toujours un boulet devant les portes qui va avancer au ralenti, empêchant ainsi les plus malicieux, d’atteindre une place assise, et ça, de bon matin, quand vous avez les yeux à peine ouverts, ça énerve!

Et puis au travail, j’ai eu la bonne surprise lundi de récupérer mon « bureau » (l’entrée je le rappelle) et ainsi internet et ma pseudo tranquillité mais pour vite me rendre compte que ma semaine allait être empoisonné (c’est le mot) par d’autres choses!
Ainsi, la pièce juste derrière moi est maintenant en travaux, j’ai donc eu le droit à une journée ponçage et la poussière qui va avec (j’ai encore le goût dans la bouche) puis, depuis deux jours, à la peinture et autant vous dire que ce n’est pas de la peinture à l’eau! L’odeur est tellement forte que même la fenêtre ouverte c’est entêtant, et qui dit fenêtre ouverte dit froid de canard dans la pièce!

Bref, une longue semaine où je passe mon temps à me raccrocher à « l’avenir » et à mon retour un jour dans le monde de l’édition, ou au moins à un travail intéressant, à Montréal je l’espère!

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Quant à la chanson de la semaine, pour faire honneur à « L’artiste masculin de l’année » dixit les Victoires de la musique, il s’agit de Je regarderai pour toi les étoiles d’Abd Al Malik. C’est du slam donc forcément ça ne plaît pas à tout le monde mais moi je dois dire j’aime assez. J’ai toujours une préférence pour Grand Corps Malade dont les textes me parlent plus mais certains morceaux de l’album Gibraltar Abd Al Malik sont vraiment beaux (notamment les instrumentations).