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Dieu, we have a problem!

phone.jpg Mardi 12 février, j’écrivais:
Seigneur, faites que je retravaille un jour!

Mercredi 13 février, j’écrivais:
J’aime pas le téléphone, je préfère de loin les mails

La bonne nouvelle c’est que Dieu existe, la mauvaise c’est qu’il ne travaille qu’un jour sur deux!

Comment je le sais? Très simple…

Mardi il a entendu que j’avais désespérément besoin d’un travail, mercredi il glandait (ou faisait la sourde oreille au choix) et jeudi il m’a dégoté un job intérimaire d’un mois (la grande classe) de PHONING, la galère!!
Moi qui déteste le téléphone, je suis condamnée à passer mes journées à appeler des entreprises pour savoir si elles comptent se rendre à tel endroit pour tel événement. Je vous passe les détails, vous avez compris le gros du job… et du problème!

Heureusement je n’ai rien à vendre en tant que tel (je n’aurais pas accepté), c’est juste de la prise de renseignements mais ça n’empêche que c’est très chiant et que les journées paraissent interminables!

Je passe la moitié du temps regarder l’heure et l’autre moitié à m’empêcher de regarder l’heure!
Entre les deux, de temps en temps, je lis mes mails et mes liens Netvibes mais comme je suis censée être au téléphone à longueur de journée, forcément c’est pas le plus pratique.

Ce que j’aime bien par contre, ce sont mes horaires, 9h-17h, c’est vraiment agréable, J’ai l’impression que la soirée est tout de suite plus longue qu’en finissant à 18h…

Post-week-end décousu

we.jpgJe reviens d’un petit week-end chez mes parents le temps de me faire dire par mon oncle et ma tante que j’avais maigri, youhou!! Et le temps de faire le plein de bonnes choses cuisinées par maman, histoire de repartir avec 2 kilos de plus, moins youhou! Mais ça valait le coup…

  • Le train corail ça coûte moins cher que le TGV mais alors qu’est-ce que c’est long! En plus, il y fait encore plus froid que dans le TGV, c’est à peine croyable! Nez rouge tout le long, heureusement on était pas dans une place à 4.

  • Dans les anecdotes rigolotes, mon frère s’est fait assommer par ma pochette d’ordinateur, mais comme c’est lui qui l’avait rangé au-dessus, il n’a pu s’en prendre qu’à lui-même (grand moment)! Et puis s’il faisait comme tout le monde et se contenter de regarder des séries dans le train plutôt que des films, il n’aurait pas été obligé de ranger son Archos à 5 minutes de la fin de We own the night!! Ah ah! Ça lui apprendra à regarder ça sur un Archos et en plus en VF! Mais merci pour les billets de train par contre!

  • Mauvaise surprise en rentrant à la maison ce soir, le frigo est vide, les placards aussi! Ma bonne aurait-elle oublié de me préparer un bon petit plat ou au moins de faire les courses? Mince, j’ai pas de bonne, c’est moi qui ait merdé pour les courses!

  • Sinon, c’était mes premières nuit sans ma bouillotte depuis que je l’ai récupérée, et Oh My God, que c’était dur! Première nuit, je pensais que ma couette et la couverture rajoutée par-dessus suffirait, au bout de 5 minutes je suis allée chercher mon tigre blanc et noir géant (en peluche au cas où vous ayez eu un doute) pour m’en faire un édredon pour les pieds! Deuxième nuit la même chose avec des chaussettes en plus!
    Morale: je ne sais pas comment j’ai pu vivre sans bouillotte pendant toutes ces années. Morale 2: ne plus jamais partir en week-end sans elle!

  • Ce midi, je regardais le programme télé, un vieux réflexe, et je me suis rendue compte que la Nouvelle Star reprenait cette semaine avec le nouveau jury (qui a l’air pourri mais quand même…) et que, oh dommage, ma télé est TOUJOURS en panne! Cela dit, ne faisant absolument rien pour que cet état change, je ne vois pas de quoi je me plains… Mais quand même quoi, j’aime bien la Nouvelle star moi!

Sur ces considérations, je vais regarder l’épisode 3 de la 4e saison de Lost que je n’ai toujours pas vu… histoire de bien dormir cette nuit avant le début de ma nouvelle mission demain, youhou… (l’enthousiasme était absent de ce dernier youhou)

Blind Test de la semaine!

blind_test.jpg

Illustration: Technikart

Cette semaine pas une chanson mais quatre! Par contre, comme le titre du billet l’indique, histoire de pimenter un peu les choses, à vous de découvrir les interprètes et titres des chansons. Sans triche on s’entend, de toute façon ce n’est pas très dur!
Notez que j’ai failli faire une thématique spéciale Saint Valentin avec musique à l’eau de rose mais finalement c’est un peu plus rock que ça… Je vous laisse découvrir le tout, j’éditerai mon post avec les réponses à la fin.

EDIT du 19/02: c’est l’heure des réponses!

arctic.jpg Premier titre: When the sun goes down des Arctic Monkeys, groupe de rock (ah bon??) anglais qui a fortement cartonné en 2006-2007 avec leur album Whatever People Say I Am, That’s What I’m Not. On y retrouve de très bons morceaux, tels que I bet you look good on the dancefloor et Mardy bum.
Ils ont sorti un nouvel album en avril 2007 mais je ne l’ai pas encore écouté (honte sur moi)…
En attendant, leur myspace: www.myspace.com/arcticmonkeys

dandywharols.jpg Il fallait trouver Get Off des Dandy Warhols, groupe américain qui fût le temps de Dig!, à l’affiche d’un documentaire avec un autre groupe: The Brian Jonestown Massacre. Les Dandy Warhols existent depuis pas mal de temps déjà mais la reprise d’un de leur titre pour le générique de la (très bonne) série Véronica Mars, We used to be friends, n’a fait qu’augmenter leur visibilité. Dans les titres à retenir, hormis ces deux-ci, il y a Bohemian like you.
Leur myspace: www.myspace.com/thedandywarhols

feist.jpg Seule fille de ce blind test et aussi seule artiste reconnue dans les commentaires, Feist! Ce morceau, Mushaboom, est extrait de son premier album qui est très, très réussi, Let it die. Bien sûr aujourd’hui tout le monde connaît 1, 2, 3, 4 de Feist grâce à la pub de l’Ipod mais il y avait une vie et surtout un album avant ça! Ne le manquez pas, limite il est mieux que le second!

dylan.jpg Pour finir, j’ai été un peu (beaucoup, beaucoup) surprise que personne ne trouve cet artiste parce que bon, quand même quoi! Il s’agissait donc de Bob Dylan, et de la superbe chanson Blowin’ in the wild dont je ne me lasse pas de la première phrase:
« How many roads must a man walk down
Before you call him a man? »

De bon matin…

reveil.jpg Ce matin j’ai été réveillée à deux reprises par des textos alors qu’il n’était même pas 9h! Non mais où va le monde franchement? Le pire c’est que l’un d’eux était d’Orange, tout ça pour me dire que j’avais le droit à l’option Monde gratuitement! Super, c’est exactement ce qu’il me fallait pour me réveiller dans la bonne humeur!
D’autant que j’ai programmé mon téléphone pour qu’il bippe toutes les 2 minutes jusqu’à ce que je lise les nouveaux textos et que ce matin il a bien dû me falloir 10 minutes pour réaliser d’où venait ce drôle de bruit.

Heureusement le deuxième texto était beaucoup plus sympa mais il ne m’a pas empêché de me rendormir… Je suis incorrigible, je sais! Faut dire, j’ai quelques manies liées au réveil…
La première c’est que si je demande à être réveillée à 9h j’ai une parfaite horreur qu’on me réveille à 8h58, voire 59 (chez mes parents par exemple)! C’est psychologique, on est bien d’accord, mais si mon réveil indique 8 dans la case des heures c’est qu’il n’est pas 9h donc que c’est trop tôt, logique imparable n’est-il pas?!

Ma seconde manie consiste à ne jamais programmer mon réveil à heure ronde (les quarts d’heure et demi-heure étant considérés comme ronds).
Quand je travaille (Seigneur, faites que je retravaille un jour!), le dimanche soir je programme mon réveil à 7h49, le mardi je passe à 7h51 vu que j’étais en avance le matin, le mercredi à 7h52 pour la même raison, le jeudi à 7h53 parce que je suis crevée et qu’une minute de plus me fera le plus grand bien, et le vendredi généralement j’oublie de mettre mon réveil…
Quoiqu’il en soit, pour une raison obscure, j’ai horreur de mettre mon réveil à 7h50 ou 8h, j’ai l’impression de perdre des minutes de sommeil en arrondissant alors qu’au fond ça ne change pas grand chose….

En même temps, je me demande à quoi ça serve que je mette mon réveil vu que de toute manière je suis systématiquement en retard.

Changement de décor – David Lodge

LodgeDe David Lodge j’ai lu Pensées secrètes sur une plage de République Dominicaine il y a tout juste 2 ans. À l’époque, outre mon bronzage de malade en plein hiver, j’avais beaucoup aimé ce roman, lu en quelques jours à peine.

En errant dans les rayons de la bibliothèque il y a 15 jours, je suis tombée de nouveau sur cet auteur sans trop savoir quel livre emprunté. Il me semblait que Kriss n’avait pas aimé celui qu’elle avait lu mais j’étais incapable de me souvenir de son titre.
En lisant les 4e de couverture, je choisis Changement de décor qui citait deux critiques : « Un suspense cocasse, une satire divertissante dont personne ne sort indemne. » (Aleth Paluel-Marmont, Cosmopolitan), « On se plie de rire, on en pleure. » (Monique Gehler, L’Événement du jeudi)…

L’histoire
En pleine révolution sexuelle, 2 professeurs de littérature anglaise (l’un américain, l’autre britannique) échangent leur poste pour 6 mois. S’en suit une série d’aventures où ils finiront par échanger bien plus que leurs emplois.

Avis
Les 100 premières pages sont très, très longues, au point que les descriptions de Balzac paraissent courtes à côté! Une fois la mise en place faite, je m’attendais à rire et pleurer (logique) mais que nenni! Le livre est moyen, limite fade, tout le long, sa seule originalité étant formelle.
En effet, découpée en plusieurs parties, l’une d’elle est épistolaire (peut-être la meilleure) alors que la dernière est écrite comme un scénario de film (pas grand intérêt). À part ces effets de manche, rien à signaler, tout est assez convenu dans ce changement de décor et de femmes.
On a aussi le droit de temps en temps à un discours sur la littérature (prof d’anglais oblige), voire sur Jane Austen (qui décidément me poursuit depuis quelques mois), c’est pas désagréable mais est-ce bien utilisé dans ce pavé déjà compact et pas toujours digeste que représente le livre…

4 films à voir (…ou pas)

La vie des autres La vie des autres est un film allemand, ce qui en soi aurait tendance à me rebuter, mais il a été tellement encensé que je me suis dit qu’il était dommage de ne pas le voir. Il dure 2h17, 2h pendant lesquelles je n’ai pas vu le temps passer. C’est élégant, sobre, dur, humain, en d’autres mots à voir, d’autant que les deux acteurs masculins sont extraordinaires!
Je l’ai vu dans une petite salle d’Art et d’essai, La Pagode dans le 7e, qui est assez incroyable. Elle a été construite en 1895 pour la femme du directeur du Bon Marché et c’est un vrai trésor venu d’Orient! Il faudrait que j’y retourne de jour pour saisir toute la splendeur de ce lieu un peu incongru à Paris mais qui a quelque chose de magique. La salle principale est une ancienne salle de bal qui nous transporte tout droit en Asie et on se plaît à imaginer à quoi elle pourra ressembler entièrement restaurée…

We own the night Autre film vu cette semaine, We own the night (La nuit nous appartient) de James Gray avec Joaquim Phoenix et Mark Wahlberg. C’est une histoire de drogue et de police sur fond d’années 80 (décidément après American gangster et les 70’s!) mais surtout sur fond d’histoire familiale car ici 2 frères marchent dans des directions opposées au début . Ce n’est pas un film d’action mais un tableau de famille ou plutôt un drame social qui place un des protagonistes devant un choix, voire devant l’absence de choix.
Si le film n’échappe pa à quelques clichés scénaristiques, il reste une très grande et très belle oeuvre de Gray dont je vais m’empresser de voir The Yards et Little Odessa maintenant.

Lucky you Troisième film vu, Lucky you que les amateurs de poker apprécieront sans doute, avec Eric Bana et Drew Barrymore. Pas grand chose à dire sur les acteurs qui ne font pas de performance exceptionnelle mais qui sont sympas à regarder, par contre l’histoire manque de force. On suit un joueur professionnel qui lutte contre ses démons intérieurs et son enfance, tout en tentant de vivre une histoire d’amour. Ça se laisse voir et ça m’a surtout donné envie de rejouer au poker!

prix_a_payer.jpg Pour finir, une comédie française, Le prix à payer, que le bande annonce m’avait vraiment donné envie de voir. Sauf que la bande annonce a inclu toutes les scènes drôles et que la comédie tire plus sur la tragédie par moment.
L’idée de départ était prometteuse mais a été mal exploitée: un riche quinqua (Christian Clavier) pose un ultimatum à sa femme oisive et dépensière (Nathalie Baye): « pas de sexe, pas d’argent » sur les conseils de son chauffeur (Gérard Lanvin), qui lui-même connaît quelques problèmes de couple. Les acteurs sont bons, rien à dire, et d’ailleurs c’est une des rares fois où je vois Clavier sans toutes ses mimiques type Les visiteurs, je ne me souvenais même plus qu’il pouvait parler normalement!

Donuts party et vodka…

Après le brunch dimanche, la semaine s’est poursuivie en festivités, à bas prix pour l’essentielles, grâce à Gé-les bons tuyaux, une copine!

Lundi soir, nous avons profité du festival Télérama pour aller voir La vie des autres pour 3 euros, dans un cinéma assez incroyable, je vous en reparlerai.

Juice Mercredi soir, rendez-vous avec d’autres personnes à 23h devant le Rex club pour la soirée JUICE du magazine Clark. Sachant qu’il y avait un open-bar vodka de 23h30 à 00h30, on avait fait en sorte d’arriver en avance! Tellement en avance qu’en fait ce n’était pas encore ouvert! Une des différences typiques avec le Canada, ici peu de soirées commencent vraiment avant minuit alors que là-bas c’est plutôt dès 22h.
En tout cas, on était les premiers de la file et donc les premiers au bar et là, belle surprise, ils proposent même du jus de canneberge! Pardon de « cranberry » parce qu’en France, on est pas capable de traduire un mot donc on garde la version plus « in » anglaise!!

Ceci mise à part, on a donc rentabilisé l’open-bar avec 4 verres chacun mais on manquait de stratégie car les heures suivantes on a crevé de soif! Et vu le prix des consos (9 euros la smirnoff ice), y avait pas moyen (en tout cas pour moi).
Concernant la soirée en tant que telle, ce n’était pas bondé, ce qui permettait au moins d’avoir de la place pour danser. Par contre, la musique étant purement électro ce n’est pas ce que je préfère car c’est vraiment hyper solo je trouve.

Dans un registre plus glauque, une fille s’est cassée la figure dans les escaliers menant aux toilettes et a du être évacuée par les pompiers!
Par contre, ça a pris super longtemps, ce qui fait que pendant bien une heure on ne pouvait ni sortir, ni aller aux toilettes (et ça quand vous avez bu 4 verres en peu de temps, c’est un VRAI problème!).
Sur les coups de 3h30, il a fallu trouver un moyen de rentrer et autant vous dire qu’il faisait trop froid pour le Vélib et que j’habitais trop loin pour marcher! Du coup, vu que la soirée n’avait rien coûté jusque-là, je me suis « offert » une virée en taxi, le bonheur!

Donuts party Jeudi, changement de décor, on se rend à l’inauguration d’une exposition sur le thème des donuts dans la boutique Artoyz. Comme les choses sont bien faites (et on était un peu là pour ça aussi!), ils offrent un donut maison à chacun (et même des bières mais ça moi j’aime pas), mais comme les choses sont mal organisées, il faut faire la queue très longtemps pour rentrer pendant que plein de petits malins grugent tout le monde!
Arf, j’en aurais bien engueulé quelques-uns mais ma seule tentative n’a pas été fructueuse: – Excusez-moi j’aimerais passer! (ils me demandent la permission de gruger!) – Non mais on fait la queue là tu vois! – Ah euh, oui, non, mais c’est juste pour voir comment s’est organisé, jusqu’où ça va quoi… – Ouais, c’est ça, j’ai l’air dupe là?! Du coup, il me semble que ceux-ci ont fini par faire demi-tour mais je n’en suis même pas sûre, tellement ils ne doutent de rien ces ptits cons (parce qu’ils étaient jeunes dans l’ensemble).

Enfin voilà, c’était une semaine sympa d’autant qu’il y a eu deux bonnes nouvelles: je travaille la semaine prochaine (sauf vendredi, arf!) et surtout j’ai reçu le courier de l’ambassade du Canada m’invitant à passer ma visite médicale pour ma demande de Résidence Permanente, les choses se précisent!

Vous regardez trop la télé, bonsoir

Télé
Je ne regarde pas beaucoup la télé (les séries étant sur mon PC) mais beaucoup trop quand même et suffisament en tout cas pour avoir un avis sur plein d’émissions… Ou Feu mon avis vu que ma télévision a rendu l’âme il y a peu…

  • Commençons par D&co sur M6. À chaque fois que je tombe dessus et que j’écoute les projets de Valérie Damidot pour l’appart ou la maison que son équipe va rénover, je me dis « bouah quel mauvais goût, on n’a pas idée ».

Sur ce je zappe, je reviens de temps en temps en cours de travaux le temps de me dire « mais qui voudrait avoir un placard repeint comme ça » et puis vient le moment de la révélation finale et là, quasi à chaque fois, je reste scotchée!
La plupart du temps, je trouve le résultat vraiment superbe, avec plein de petites idées que je me dis qu’il faudrait que je garde pour l’éventuel jour où j’aurais mon propre appart. Ce qui m’impressionne le plus, c’est le caractère qu’ils arrivent à donner à des pièces qui sont souvent très quelconques à la base.

  • Autre chaîne, autre émission, Star Academy! Nan mais je regarde pas, je vous jure, mais il se trouve que, quand même, je connais à peu près le nom de tous les élèves… et même qu’il y a quelques semaines ils ont fait un prime spécial Grégory Lemarchal, et ben j’avais beau ne pas spécialement aimé ce que ce jeune homme chantait, c’était hyper émouvant, j’ai pleuré toute la soirée! Enfin pas vraiment parce qu’officiellement je regardais NCIS…

Quoiqu’il en soit la Star Ac ça présente quand même à peu près aucun intérêt mais bon de temps en temps c’est rigolo, enfin sauf Nikos qui est vraiment une tête à claque! Je peux pas le voir, j’ai horreur de son espèce de rire forcé, j’ai horreur de sa façon de courir partout comme s’il était sous ecsta et en plus il se prend pour un chanteur, il a même sorti un album de duo en Grèce dont on ne devrait d’ailleurs pas tarder à entendre parler en France.
Dans ce type d’émission je préfère largement La Nouvelle Star où au moins on ne se prend pas au sérieux (quoique le nouveau jury, avec Lio, a vraiment l’air pourri – au moins sur le papier) et où les candidats ont une vraie personnalité.

  • Histoire de diversifier notre panel, partons maintenant sur France 2, pour une émission diffusée tôt le matin – et donc que je ne regarde que rarement ou alors à dose de 5 minutes 30 par jour, le temps de mon petit-déj -, je veux bien sûr parler de Télématin! À l’antenne depuis très très longtemps, William Leymergie s’évertue à nous réveiller chaque matin avec bonne humeur. Oups, non pardon, ça ne peut pas être lui parce que lui aussi c’est une tête à claque (et je ne parle pas de l’émission québécoise!). Ce mec, c’est pareil, je n’accroche pas. Il paraît parfaitement désagréable, toujours arrogant et sans arrêt hautain. La meilleure chose qui soit arrivée cette année c’est sa tentative d’étrangler un chroniqueur et sa suspension! En vrai, on ne sait pas exactement ce qui s’est passé mais au moins pendant 15 jours on était débarassé de lui, youhou!

  • Je vous aurais bien parlé aussi de Drucker et de Vivement dimanche mais pour le coup je ne regarde vraiment pas, donc pour finir je parlerai une nouvelle fois du Grand Journal de Canal +.

Dans cette émission, si j’aime beaucoup les chroniqueurs, j’ai beaucoup plus de mal avec Michel Denisot. Je ne sais pas pourquoi je le trouve toujours à la ramasse. Déjà il parle lentement, il ne finit pas toujours ses phrases et pour moi qui apprécie beaucoup Fogiel, forcément ça crée un décalage qui me perturbe. Il est gentil, pour ne pas dire gentillet mais il est pas très vif…
Heureusement il sait bien s’entourer, Yann Barthès qu’on ne présente plus, Ariane Massenet, ex-compère de Fogiel justement, Jean-Michel Apathie qui apporte une bonne dose de culture et de politique, Thomas Ngijol et ses top 5 bien marrants, Omar et Fred, etc. Bref, le Grand Journal c’est bien et sans Denisot ça serait peut-être mieux encore mais pas forcément…

  • Ah j’allais oublier Salut les terriens de l’homme en noir, Thierry Ardisson! Déjà on n’a pas idée de choisir un tel titre pour un talk show! Franchement, la diffusion a commencé quand j’étais au Canada et quand je voyais le lien sur le site de Canal, j’étais persuadée qu’il s’agissait plus d’un mélange entre Groland et un dessin animé que du nouvel hebdo d’Ardisson!

Du coup, il a fallu attendre juin et mon retour en France pour que je découvre par hasard ce qui se cachait derrière ce nom et là, deuxième surprise, retrouver Ardisson en plein jour! Oui c’est con, mais après l’avoir vu et apprécié pendant des années les nuits du samedi soir, il était bizarre de le découvrir à 19h dans un nouveau décor… Comme je n’ai aucune mémoire je ne pense que très rarement à regarder son émission mais de ce que j’en ai vu c’est le même ton et à peu près le même principe bien qu’on doive se passer de quelques gimmicks (musicaux notamment) auxquels on s’était habitués…

So Innocent !

Sous mes dehors à ne manger que du chocolat, j’essaie quand même parfois de me tenir aux fameux « 5 fruits et légumes par jour » mais il faut reconnaître que ce n’est pas simple, surtout si, comme moi, vous êtes un peu difficile…

Smoothie

Du coup, toutes les astuces sont bonnes et la meilleure à mon goût consiste à cumuler 2 fruits d’un coup grâce à un jus de fruits excellent de la marque anglaise Innocent.
Il faut savoir que j’adore les jus d’orange pressée mais que j’ai horreur de tous les jus de fruits vendus en supermarchés et qui affichent « 100% pur jus d’orange pressée » alors qu’au fond le goût n’a rien avoir avec celui que vous faîtes vous-même. Du coup, je boycotte ces jus de fruits mais comme j’ai aussi la flemme de me presser chaque jour une orange (ou deux), je perds sur tous les tableaux…

C’est ainsi qu’en errant au rayon yaourt de mon Monop (sans doute mon rayon préféré), j’ai découvert un emballage qui a tout de suite attiré mon attention car il disait « Smoothie, fruits à boire ». En observant la bouteille, j’ai trouvé amusante la liste des ingrédients (ci-dessus) et pour une fois j’avais l’impression que la marque s’adressait à nous en tant que « consommateur intelligent » et capable d’humour et de second degré.

C’est d’ailleurs ce qui distingue Innocent, outre les produits santé, les emballages recyclables et la transparence envers le consommateur… Pour mieux comprendre l’éthique de la marque, je vous invite à consulter leur site internet et notamment « leur histoire« . Alors bien sûr tout ça c’est avant tout de la bonne communication mais au moins c’est 100% naturel et le parfum fraises et bananes que j’achète est tout simplement excellent!

Pour avoir testé un produit équivalent dans une autre marque (Immedia), la différence était évidente rien qu’en versant le jus de fruit. La texture, la couleur et enfin le goût n’avaient rien à voir avec ceux d’Innocent alors que le prix, lui, était similaire, oui parce que ces « smoothies, 100% pur fruits, sans sucre, sans concentré, sans ajout bizarre » ont un prix évidemment. Mais bon si moi je peux me le permettre, autant dire que tout le monde le peut!

PS: non je n’ai aucune action dans cette marque!

Stupeur et tremblements

stupeur et tremblements
Après des années de refus obstiné, j’ai fni par lire un roman d’Amélie Nothomb… Ce qu’il faut savoir, c’est que j’avais un avis sur elle depuis des années sans jamais ne l’avoir lue ! Cependant avec le personnage qu’elle s’est composée dans les médias, difficile d’y être insensible, que ce soit pour le meilleur ou pour le pire, et pour ma part c’était le pire…
Elle avait le don de m’énerver tant dans ses propos (sur la nourriture décomposée notamment) que dans sa façon de parler (affectée). De plus, le fait qu’à quasi chaque rentrée littéraire elle sorte un ouvrage depuis des années me faisait douter de la valeur de ses écrits car une telle productivité cache forcément des lacunes.

Comme je ne suis pas totalement bornée, j’avais quand même tenté une ou deux fois d’acheter un de ces romans mais les 4e de couverture me rebutaient systématiquement.
Au final, je me suis retrouvée il y a quelques semaines, la veille de partir en week-end, sans plus rien à lire mais Stupeur et tremblements d’Amélie Nothomb me tendait les bras sur une étagère. Il me semblait vaguement avoir entendu dire que c’était son meilleur livre, donc tant qu’à faire, je me suis dit que c’était le moment idéal de découvrir son univers.

Stupeur et tremblements se passe au début des années 90 au moment où l’auteure intègre, au Japon, une société tout ce qu’il y a de plus typique. Elle dresse un portrait pour le moins divertissant de cette entreprise. Moi qui ne connaît rien à la culture nippone et qui, à vrai dire, y suis assez hermétique, c’était l’occasion d’en apprendre plus, car je ne doute pas que ce qui est relaté est proche de la réalité.
Dans l’ensemle c’est effrayant d’imaginer que des gens a priori éduqués et cultivés puissent être aussi protocolaires et conformistes à ce que, précisément, on leur a enseigné toute leur vie…
Enfin bon, pour en revenir au livre en lui-même, j’ai mis environ 2 jours à le lire. Ça passe très bien, et si ce n’était cette rupture au milieu où tout à coup l’auteure parle des mœurs japonaises, je suppose que j’aurais vraiment aimé d’un bout à l’autre. Mais cette rupture précisément, qui est pourtant instructive, est trop brutale et déconnectée de l’histoire romancée pour être aussi intéressante. Cette brusque plongée dans un manuel d’histoire-géo casse un peu le rythme de lecture à mon sens, dommage.

Cela mis à part, je reconnais que l’écriture d’Amélie Nothomb se lit avec plaisir, et même si ce n’est pas de la grande littérature, il y a de l’esprit et du style ce qui est déjà beaucoup.

Pour l’instant pas d’autre Amélie Nothomb prévu au programme mais un jour sûrement, avec plaisir.