On est le 19 octobre et on s’est vu offrir nos premiers cadeaux de Noël avec Chéri! Le problème c’est que, comme leur nom l’indique, on doit attendre un peu plus de deux mois avant de savoir ce qu’ils recèlent!
Le merci revient à la « marâtre » et son ami anglais, qu’on a déposés à l’aéroport dimanche soir après une dernière journée très ensoleillée passée au parc Bellerive…
Les au-revoirs ont comme toujours été tristes… des deux côtés on ne s’y fera jamais!
New-York part 4 où comment jusqu’au bout on lutte!
Malgré un week-end de 4 jours, il a été très vite temps de reprendre la voiture en direction de Montréal. Heure de départ prévue pour 14h et miraculeusement respectée, GPS programmé pour la maison via le bon itinéraire, et hop en voiture Simone!
Outre le fait que plus ça va moins je supporte la voiture tellement j’ai peur de tout dans ces engins de malheur, je dois reconnaître que le trajet est passé beaucoup plus vite qu’à l’aller. Faut dire que s’éviter un détour de 120 bornes, ça aide!
Les ennuis ont commencé à une cinquantaine de kilomètres de la frontière de Lacolle quand on n’avait toujours pas réussi à se mettre d’accord s’il valait mieux passer par Lacolle ou tenter l’expérience via une petite frontière à quelques kilomètres de là où assurément il y aurait moins de monde, mais aussi moins de douaniers…
Dans la mesure où des amis avaient attendu 3h à Lacolle un mois plus tôt et nous avaient conseillé de prendre la « petite frontière », mon choix était tout fait mais Chéri pensait (à juste titre) qu’on ne serait sûrement pas les seuls à avoir la même idée et donc qu’on risquait d’attendre autant, sinon plus.
Comme je ne voulais pas embarquer tout le monde sur une route incertaine (tout le monde ayant voté pour Lacolle), j’ai laissé faire, sauf qu’à peine passé la sortie pour la route 11, vers l’autre frontière, qu’on ne roulait plus. Le GPS indiquait 3 km avant la frontière et 900 mètres avant la dernière sortie aux US.
On a donc mis 1h pour faire ces 900 mètres, une heure pendant laquelle j’ai ronchonné à coup de « tu vois je te l’avais dit » et là Chéri a décidé de prendre la toute dernière sortie pour rattraper la route 11 et tester la frontière de la route 276. En arrivant nous n’étions qu’à 900 mètres de ladite frontière mais aucun véhicule n’avançait, sauf quand certains se décidaient à faire demi-tour! Forcément, qui dit petit poste de frontière dit une seul douanier et ça, ça fait mal!
Comme rien ne bougeait, avec Chéri on a décidé de faire demi-tour pour retourner à Lacolle alors que la marâtre et son chum votaient pour rester là.
Sauf que cette petite virée nous avait permis de repérer que l’entrée de cette fameuse dernière sortie arrivait tout près des postes de douane! On a donc fait attention de rentrer par là et hop on est arrivé à 900m de la douane, une douane avec 5 ou 6 files d’ouvertes qui avancent donc plus vite! Et c’est ainsi qu’ on a fini par arriver près d’un douanier québécois très sympa, avec un temps d’attente de 2h30 en tout!
New-York part 3 où comment maudire les américains
En passant par le Vermont, nous avons évité la grosse frontière de Lacolle pour une plus petite aux agents très sympa qui se demandaient un peu comment un anglais, une française et deux français vivant au Canada se connaissaient!
Pourtant, le premier américain à qui nous avons parlé après la douane n’a pas été aussi sympathique du tout! En arrivant à New-York, nous avons du traverser un pont à péage avec des files « EZpass » ou « Cash only ». Comme nous n’avions aucune monnaie nous avons tendue une carte de crédit en pensant que ça passerait mais apparemment non. L’officier nous a crashé un « Registration! » sans qu’on comprenne pourquoi et après lui avoir tendu notre carte grise, il nous a signifié de nous garer plus loin et d’attendre! On a passé ainsi plus de 5 minutes dans la voiture sans savoir ce qu’il se passait jusqu’à ce qu’un autre officier s’approche et nous tende une enveloppe indiquant qu’on devait envoyer un chèque en dollars US de 7.50 (5.50$ de pont + 2$ de frais). On lui a demandé comment payer (on n’avait pas encore lu l’enveloppe) et il nous a aboyé un « No explanation! ». Autant vous dire qu’on l’a encore en travers de la gorge, autant parce que le premier agent ne nous a jamais demandé si on avait du cash (au cas où), ni ne nous a expliqué ce qu’il se passait, et autant parce que les deux ont été plus que déplaisants!
Résultat, comme on n’a pas envie de payer plus cher de frais de banque pour faire émettre un chèque en dollar US que le prix du péage en lui-même, on a décidé de ne pas payer… Advienne que pourra!
Dans l’ensemble si tous les New-Yorkais ne sont pas aussi désagréables, tous sont ultra agressifs au volant! C’est bien simple, dès qu’un feu passe au vert si vous avez le malheur de ne pas avoir déjà démarré, ils se mettent à klaxonner, parfois c’est la 4e voiture dans la file qui s’en charge elle-même! Du coup, en tant que piétons, vous faites attention aux signalisations sous peine de vous faire injurier bien vite!
Avec tout ça je ne vous ai toujours pas parlé de New-York… Je suis venue pour la première fois avec une amie en 2007 et ça avait été génial! On avait un programme d’enfer qui nous avait permis de voir tous les incontournables, y compris deux musées en l’espace de 4 jours. Cette fois, malgré 2 jours et demi dans la ville qui ne dort jamais j’ai l’impression de ne pas avoir retrouvé la même énergie ni d’avoir autant apprécié ce séjour… Je me suis surtout rendue compte qu’il y a un bruit incroyable tout le temps et partout, entre la circulation, les travaux, les gens, les magasins, et que les rues ne sont pas particulièrement propres avec beaucoup de poubelles qui traînent au sol.
Quant au shopping, on m’avait beaucoup parlé de Century 21 mais j’ai détesté ce magasin. J’ai eu l’impression d’être chez Tati tellement c’est fouilli et mal mis en valeur. Et encore je ne vous parle pas de l’éclairage.
J’avais noté Uniglo via Kriss et Walinette mais si chaque item est décliné en de nombreuses couleurs, les formes ne m’ont pas particulièrement plu, notamment celles des chemises. J’ai tout de même acheté un tee-shirt à manche longue et un autre à manche courte avec la technologie Heattech pour voir ce que cela donne mais je ne suis pas particulièrement convaincue.
Quant à Victoria’s secret, j’ai retrouvé le même problème que dans les boutiques de lingerie à Montréal, à savoir qu’un choix limité à des modèles ampliformes!
Finalement à part mes deux tee-shirts, je n’ai acheté qu’une paire de Puma noir basique dont le prix était intéressant par rapport à Montréal. J’ai longtemps hésité à regarder les UGG mais ça a beau avoir l’air confortable, je n’aime pas le look que ça fait…
Pour finir cette semaine New-Yorkaise, nous arriverons demain à l’apogée de notre voyage : le retour!
New-York part 2 où comment se prendre la tête
Avec Chéri on a des visions différentes du tourisme. Moi je peux la jouer japonaise, à prendre des photos tous les mètres et à m’extasier sur la moindre façade alors que lui déteste les photos (surtout s’il doit poser), déteste avoir l’air d’un touriste mais aime bien se balader surtout s’il peut marcher vite. Alors forcément quand on part quelques jours à New-York, on rencontre quelques conflits…
En bonne petite écolière, avant de partir, je me trouve un guide de voyage que j’étudie à la loupe pour savoir ce que j’ai envie de faire et d’en quel ordre, voire même où manger, les repas jouant beaucoup sur mon humeur, alors que la devise de Monsieur est « On improvisera »!
Comme je n’ai pas envie d’imposer mes goûts, surtout lorsque l’on voyage avec sa mère et son chum, je laisse couler et attends de voir ce que l’aventure nous réserve, tout en imposant une condition : au moins un moment de shopping seuls tous les deux car arpenter Victoria’s Secret avec sa famille ne me tentait pas plus que ça!
Si j’ai obtenu mon moment de shopping seuls, je n’ai malheureusement pas vraiment obtenu de faire les boutiques, car oui, oui, il y a une différence! C’est ainsi que l’horaire fixé pour se retrouver étant un peu court (faut dire qu’on avait rendez-vous une trentaine de blocs plus loin), j’ai pu rentrer chez Foot Locker acheté les Puma que j’avais repéré à Montréal mais pas dans d’autres boutiques car « on va être en retard / il y a trop de monde / les fringues sont moches, etc. » en fonction des magasins!
J’ai donc appris à mes détriments qu’il ne faut jamais faire du shopping avec son chéri, en tout cas pas avec le mien!
Une autre chose que j’ai appris c’est qu’à l’avenir je ferais un programme détaillé de quoi faire et quand car sinon c’est un coup à être tellement mal organisé qu’on refait deux jours de suite les mêmes choses (genre marcher de South Ferry jusqu’au Rockfeller Center, en passant par Broadway et Times Square).
Alors forcément après ça crée quelques tensions car je ne veux pas imposer quoi que ce soit mais ce qu’on fait ne me convient pas forcément alors que Chéri lui s’en fout de ce qu’on fait… Finalement on tourne en rond et on se dispute dans la rue, c’est malin!
Demain, ou un autre jour, nous parlerons (enfin) de New-York et peut-être même un peu des américains qui sont de gros boulets!
New-York part 1, où comment balancer son GPS par la fenêtre…
Après Boston pour Pâques, nous avons cette fois emmené la marâtre et son chum (un anglais d’Angleterre!) à New-York pour le long week-end de l’Action de Grâce (notre version de Thanksgiving). En prenant notre vendredi, nous avions donc près de 4 jours pour profiter à fond de la Big Apple mais c’était sans compter les trajets…
Sur une carte New-York est à 620 km de Montréal, soit 6h de route environ mais à cela il faut ajouter le temps d’attente à la frontière car à l’aller comme au retour on y a le droit! On reviendra sur ce point dans la semaine car cela à donner lieu à quelques discussions animées dans la voiture pour rentrer!
Leçon n°1 lorsque vous entreprenez un long voyage, toujours vérifier les préférences de votre GPS…
Sinon, vous risquez de faire, comme nous, un beau détour de plus de 100 km, tout ça pour éviter une route à péage de 5$! Mais en même temps, c’était involontaire vu qu’aucune route n’est payante ici, on n’avait jamais vérifié ce détail! C’est en réalisant qu’on ne se dirigeait pas du tout vers la bonne frontière, à savoir Lacolle, qu’on a commencé à se poser des questions mais il était déjà trop tard pour faire demi-tour. Ainsi on est passé par le Vermont et on a eu le droit aux embouteillages à Springfield et Hartford, en plus de ceux à l’arrivée de New-York!
Je n’ai pas cessé de pester contre le GPS, qui est vraiment une plaie parfois, mais au moins on a pu tester pour la première fois une « carpool lane« , ces voies réservées au covoiturage.
Dans la mesure où 2 personnes dans un véhicule suffisent pour prétendre à cette voie je pensais qu’il y aurait beaucoup de monde (c’était près de Springfield) mais en fait pas pantoute! Le voie était déserte alors que les embouteillages s’accumulaient à côté de nous avec systématiquement une personne seule par voiture!
Si cela nous a arrangés, ça fait tout de même frémir de voir autant de gaspillage…
Demain, ou plus tard dans la semaine, nous arriverons à notre leçon n°2 : comment bien voyager avec belle-maman et Chéri!
Na Brasa
Alors que le mois de septembre touche à sa fin, la météo nous offre encore quelques très belles journées*. C’est ainsi qu’un dimanche à midi, il est possible de bruncher en terrasse sous un beau soleil si l’on déniche le parfait spot…
Le parfait spot pourrait être le Na Brasa, restaurant portugais de la rue Duluth qui offre une grande et belle terrasse à ses convives ainsi qu’un service sympathique et chaleureux.
La carte comprend suffisamment de choix pour que quiconque y trouve son bonheur, pour des prix plus qu’abordables! Comptez moins de 6$ pour la formule Lendemain de veille qui comporte deux œufs-bacon-saucisses-pommes de terre-rôties-fruits, qui dit mieux? Si vous voulez ajouter un peu de sucré à votre déjeuner, vous pouvez avoir deux crêpes pour 2.25$, de la sauce au chocolat pour le même prix, ce qui nous donne donc une assiette de crêpes au chocolat pour 4.50$!
Les jus de fruits sont eux un peu plus chers, entre 4 et 6$ selon la taille du verre (moyen ou grand) mais sont faits maison…
Un bémol? Le bacon qui n’est pas très fourni et un peu gras mais enfin pour le prix de la formule, on ne peut pas trop en demander non plus!
Bref, vous l’aurez compris, cette adresse m’a beaucoup plu, d’autant que la météo se prêtait parfaitement à ce brunch extérieur.
/* Cet article a été écrit alors qu’il faisait encore beau!!
Nous y voilà!
Alors que le mois de septembre a été globalement très agréable, peu pluvieux, ensoleillé parfois même vraiment chaud, depuis dimanche, il n’y a aucun doute nous sommes entrés dans l’automne pour ne pas dire l’hiver! Outre la grisaille, chaque journée s’accompagne de pluie et surtout de températures de plus en plus froides, dans les 10° ces derniers jours.
C’est ainsi que je redeviens la poivrotte de service, non pas en noyant mon chagrin dans l’alcool, mais en ayant le nez rouge écarlate dès que je mets le nez dehors!
Qui plus est, hors de question de sortir sans ma poignée de mouchoirs, car aussitôt à l’extérieur mon nez coule sans arrêt, ce qui n’est pas très agréable!
Cela dit si sortir Tartine devient plus contraignant (car si elle court et se réchauffe dans le parc à chien moi non!), le récent achat d’un plaid rouge rend le retour à la maison bien agréable… Malheureusement il n’est pas très grand car Chéri était contre cet achat mais l’autre jour je l’ai trouvé enfoui sous la moelleuse couverte. Du coup, maintenant je m’efforce de rentrer la première à la maison pour être sûre d’avoir ma place bien au chaud, non mais oh!
Home made cook
J’aime beaucoup cuisiner mais pas tout le temps. Je peux passer des semaines en ne faisant que le strict minimum, ce qui inclut tout de même pas mal de plats variés vu que Chéri ne conçoit pas un repas sans viande et que moi je ne conçois pas de la viande sans légumes (les féculents sont admis heureusement).
Par contre, quand je suis dans une période où j’ai envie de cuisiner, attention, ça ne plaisante pas!
Il y a deux semaines j’ai commencé avec des muffins lardons-gruyère, puis un gratin aux légumes avec une recette un peu improvisée qui était juste parfaite (et que je n’ai pas su refaire depuis!). Puis j’ai fait une tarte tatin aux légumes, un risotto aux asperges avant de me reposer un peu avec des crêpes… Cette semaine j’ai essayé un plat que j’avais très envie de faire depuis longtemps : un rôti de porc en croûte! J’ai pris une recette au hasard sur internet (il faudrait que je la retrouve d’ailleurs) et c’était vraiment délicieux, notamment la sauce qui était simple mais parfaite (à base de moutarde et de yaourt). J’ai profité d’un reste de pâte feuilleté pour faire une tarte aux fraises qui a été engloutie en 2 bouchées!
Quant à mon prochain essai*, ce sera de la pâte à pizza car celles qu’on trouve toute prête ici ne me plaisent pas, tout comme les pizzas d’ailleurs à mon grand désarroi… Si j’arrive à faire la pâte sans trop de problème, je me lancerai peut-être plus souvent dans des tartes en faisant ma pâte brisé moi-même mais je crois que c’est la flemme de l’étaler qui me retient pour l’instant… Ou alors la vaisselle qu’il faut faire après?!
Mais ce qui me pousse pour sûr à cuisiner autant, c’est l’impression de mal manger dès qu’on se contente de ce qu’on trouve en magasin. Les plats surgelés ne sont vraiment pas mon truc (sauf s’ils sont de la qualité de Picard), tout comme les plats tout prêts ou encore les conserves.
On se nourrit à base de produits frais chez nous (aussi bien pour la viande qui vient de notre boucher que les légumes du marché Atwater) et comme ça, on est sûr de savoir exactement ce qu’il y a dans notre assiette! Ni trop de sel ou de colorant artificiel ou encore d’autres produits chimiques… Si seulement j’avais la place et le goût pour faire un jardin, ça serait encore mieux mais je n’en suis pas à ce stade-là dans mon développement « gastronomique », un jour peut-être…
/*J’ai tenté l’essai entre temps et je ne sais pas pourquoi mais ma pâte n’a pas levé! J’essaierais peut-être une recette différente la prochaine fois!
In Vivo
Il y a deux semaines nous avons testé un brunch dans un café d’Hochelaga qui se veut engager et qui promeut la relève artistique : Bistro In vivo.
Si le décor (il y a une petite scène au fond de la salle) et le look de la serveuse (bohème-grunge) nous assurent bien que l’on est dans un lieu un peu original et loin des conventions modernes, qu’en est-il des plats?
Un peu comme à La cantine, les choix sont limités et font partis d’un menu. Ici, en entrée, on nous présente un smoothie aux fruits dans des tasses à café dépareillées puis on a de drôles de choix dont celui que tous les quatre nous avons pris : le gratin! Dans ce gratin, on trouve une saucisse à l’érable, du jambon, du bacon m’a-t-on soufflé, des œufs brouillés, des légumes (poivrons, tomates, etc.) et une sauce que je n’ai pas identifiée. Le tout est donc gratiné au four pour un résultat original. J’étais un peu réticente devant ce plat mais c’était encore celui qui me tentait le plus et force est d’admettre que c’était assez bon. Il était servi avec des pommes de terre délicieuses et de la baguette.
Bref, pour 11,50$ (café inclus) c’était bon mais malgré tout, je reste attaché aux lieux qui offrent une vraie carte de brunch et là on n’avait plutôt l’impression d’une carte de dîner (déjeuner) classique puisque parmi les choix il y avait une pizza repensée ou encore une crêpe aux légumes…
Bistro In vivo: 4731, rue Ste-Catherine E
Power(less)Point
En y repensant bien j’aurais du plus savourer l’été au travail, quand tout était calme, qu’il y avait si peu de choses à faire qu’on se serait presque ennuyer… Pourquoi? Parce que depuis une dizaine de jours, aucun doute, les vacances sont finies pour tout le monde et c’est la folie au travail!
Faut dire que si j’avais un boss un peu plus organisé, on perdrait peut-être moins de temps sur certains dossiers… Par exemple cette semaine il est venu me voir mardi pour une présentation qui devait avoir lieu aujourd’hui (jeudi) à 9h du matin. Il voulait le tout en PowerPoint pour la projeter sur un écran, sans savoir exactement ce qu’il voulait dedans!
Sauf que créer une présentation de A à Z en PP avec les standards de notre entreprise, je ne sais pas vraiment faire, ou du moins j’en suis capable si on me laisse un peu plus qu’une matinée pour présenter une première version! Comme il se trouve que nous avons une personne préposée à ce type de tâches, je lui ai confiée mais c’était sans compter l’impatience de mon boss qui a fait que je devais corriger des choses sur son brouillon pendant que la nana en question modifiait d’autre chose de son côté! C’est ce que j’appelle perdre son temps mais parfois on n’a pas le choix, il faut se plier aux exigences de ces messieurs…
Le bon côté? Mon boss cherche maintenant à se faire pardonner et m’a promis du chocolat! Oui, il me connaît bien!