Leméac

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Il y a quelques semaines j’ai trainé des amis à l’ITHQ car ils ne connaissaient pas. Nous nous sommes tous régalés mais culpabilisant un peu de les faire manger à 17h30, j’ai décidé vendredi dernier de faire l’opposé et de les emmener dîner souper à 22h30.

Le Leméac est un restaurant situé sur Laurier Ouest qui propose une table d’hôte à 22$ à partir de 22h, il n’en fallait pas plus pour me tenter! Je trouvais la carte assez alléchante et la formule (entrée+plat+café ou thé) ne me paraissait pas très chère vu les plats.

En tant que groupe (de 6), on ne pouvait réserver que pour 22h30 et quelle ne fut pas notre surprise en constatant la foule qu’il y avait à cette heure-là et même après minuit quand nous sommes partis!

Pour ma part j’ai choisi le saumon fumé de leur fumoir en entrée (j’en cherche un qui égale celui de Cuisine et dépendance) alors que Chéri a pris un croustillant au chèvre, une amie les calamars et une autre le minestrone. Il semble que tout le monde ait trouvé l’entrée à son goût, même si pour ma part le saumon était tout de même en-dessous de celui de C&D.

Là où les choses se sont corsées, c’est pour le plat principal. Nous étions deux à avoir pris la cuisse de canard confite et ses pommes de terre raves mais toutes deux nous avons surtout eu une assiette de salade qui accompagnait une cuisse de canard et 2-3 malheureuses pommes de terre! La salade étant, qui plus est, amer, je n’ai vraiment pas savouré ce plat.
Deux personnes avaient pris le tartare de bœuf, qui apparemment était vraiment relevé mais pour le plus grand plaisir de Chéri! Quant à celles qui avaient pris le foie de veau et l’onglet de bœuf, beurre de maître d’hôtel, elles semblaient toutes deux apprécier leur plat.

En conclusion, le prix me paraît élevé compte tenu du plat principal qui n’était pas forcément à la hauteur de mes attentes. Qui plus est en mangeant à 22h30, nous tombions tous un peu de sommeil à la fin du repas (c’est ça de vieillir!) mais ça c’est le jeu ma pauvre Lucette!

Banque(route)

cartes.jpg Il fut un temps où j’avais une banque, un compte en banque et une carte bancaire, au mieux deux comptes en banque si l’on compte le livret d’épargne. Et puis j’ai eu une deuxième banque, puis une troisième et maintenant une quatrième. Mes cartes de crédit? J’en ai 5 dont deux de débit, une de crédit uniquement et deux autres (les françaises) qui ne connaissent pas cette distinction entre crédit/débit et qui font donc les deux.

J’ai deux banques françaises, dont un compte au Crédit Agricole que j’essaie de clôturer depuis des mois mais il manque toujours un document, et un à la BNP qui a des accords intéressants avec des banques étrangères.
Au Canada, j’ai ouvert mon premier compte à la Banque Nationale du Canada (BNC) qui ne doit pas être tellement nationale puisqu’on trouve très peu de succursales à Vancouver!
Du coup, comme l’on a décidé d’ouvrir un compte commun avec Chéri, je l’ai suivi dans sa banque, la BMO, et on a ouvert un compte conjoint, un compte d’épargne conjoint et la même chose version perso pour moi. Puis, comme maintenant je suis permanente, j’ai fait la demande d’une carte de crédit, pour pouvoir avoir un historique de crédit, bien pratique quand on passe aux choses sérieuses, telles que les prêts…

Au final, si je calcule bien j’ai donc 9 comptes à surveiller, dispersés dans 4 banques et autant de NIP à retenir que les 5 cartes qui font déborder mon portefeuille!
L’avantage, c’est qu’ici il suffit presque (sauf quand ça ne marche pas comme ce midi et que ma carte est bloquée!) d’aller dans un distributeur pour faire changer son code pour celui désiré, il ne me reste donc vraiment que 3 NIP à retenir mais c’est déjà beaucoup pour ma petite mémoire de poisson rouge! Sans parler des différents accès internet…
Si seulement l’argent se multipliait aussi vite que mes comptes en banque, je serais riche! Au lieu de ça je vais plutôt fermer les comptes qui ne me servent plus à rien et revenir ainsi à la normalité : deux banques (une française, une canadienne), 3 cartes (crédit et débit mélangé) et 7 comptes (3 courants, 3 d’épargnes et celui de la carte de crédit)! Si avec ça, vous ne comprenez toujours pas comment les ménages font pour s’endetter, je vous jure que c’est très simple pourtant!

Un jus pour un cookie

jus.jpg J’ai eu ma période cookies de Felix et Norton où il fallait que je me restreigne d’aller en acheter plusieurs fois par semaine (quelle idée aussi de travailler juste à côté!) tellement ils étaient bons mais, depuis peu, j’ai une nouvelle lubie (en même temps ils sont fermés pour rénovation)…

Une lubie contre mes principes, puisque jusqu’à présent je boycottais cette marque à cause d’une sombre histoire de Wifi gratuit à Vancouver qui en fait ne l’était pas! Bref, ma nouvelle passion est pour le Frappé Vivanno de Starbucks Coffee Orange-banane-mangue. C’est une tuerie, surtout pour l’été! Enfin une boisson faite avec de vrais fruits, sans ajout de lait, crème, limonade ou que-sais-je encore, j’adore!

Du coup, depuis que j’ai découvert cette nouvelle boisson à Ottawa, j’en suis déjà à me dire qu’il va falloir que je rentre en sevrage car je n’arrête pas d’en acheter et d’en avoir envie et à près de 5$ le verre, ça revient vite cher… mais c’est tellement bon (et moins calorique que les cookies)!

Where is Brian?

english.jpg Travailler en anglais et vivre en français, c’est agréable. Jusqu’à un certain point! Ce point qui fait que tout à coup votre cerveau ne sait plus où il en est et confond les langues, les tournures ou alors tout simplement refuse de fonctionner plus longtemps!

C’est ainsi, par exemple, qu’au beau milieu d’une conversation avec une collègue anglophone, je n’étais plus capable de trouver le mot que je cherchais, ni en anglais ni en français! Un vide gigantesque avait pris place dans mon esprit et je n’étais même plus capable de savoir reformuler ce que je cherchais (en l’occurrence un kyste aux ovaires!). Il m’a fallu quelques secondes pour que tout se relance et que je puisse le prononcer en français mais j’ai vécu des instants de panique face à ce vide.

Pourtant je rêve de ce même vide chaque soir en tentant de m’endormir alors que mes pensées se formulent en anglais puis en français et ainsi de suite. C’est tout sauf reposant, surtout quand on ne maîtrise pas parfaitement une des deux langues.

L’avantage c’est que mon anglais se perfectionne un peu plus chaque jour et que les blagues, sarcasmes ou bons mots sortent de plus en plus naturellement au travail, enfin tout dépend de qui est en face. Devant mon boss, je bafouille, mêle mes mots alors que devant des collègues avec qui je plaisante facilement, tout est naturel. C’est bien sûr un peu frustrant mais je sais qu’avec le temps je vais être plus à l’aise avec mon patron aussi (enfin j’espère).

Maintenant je comprends les québécois qui « switchent » d’une langue à l’autre selon leur interlocuteur et selon la phrase, c’est fou comme rapidement certains mots s’imposent plus facilement dans une langue, même pour moi!

Quand la musique est bonne

cd.jpg S’il y a une raison pour laquelle je voulais bien avoir une voiture, c’était pour pouvoir mettre la musique à fond et chanter à tue-tête. Il faut reconnaître que ça fait cher la séance de karaoké, surtout que ça, c’était avant de réaliser qu’en couple, on ne pouvait faire ce qu’on voulait…

Premier trajet en voiture, on a fait avec les CD mp3 que Chéri traîne depuis 2 ans, autant dire que niveau actualité, ça se pose là.
Deuxième trajet, on a acheté un câble pour brancher mon Ipod. Le problème c’est qu’avec 16Go de musique sur un trajet de 45 minutes, on a toutes les chances de ne tomber que sur des pistes que Chéri n’aime pas (ou ne connaît pas, ce qui en revient au même) ou que je n’aime pas moi-même, bien que ce soit dans mon Ipod!

Après ces deux échecs, j’ai décidé de créer une playlist « Auto » qui nous conviendrait à tous deux, sauf que là encore c’était sans compter sur nos différences de goût. Si bien qu’aussitôt dans la voiture, Chéri prévient les passagers que les plaintes pour la musique sont à adresser à mon nom! Pff!
Évidemment, ma playlist peut tenir pour 16h de trajet donc c’est sûr que pour 2h il y a encore un pourcentage élevé de chance que le mode aléatoire pogne des titres inconnus du grand public mais qui pour moi sont géniaux! Comment faire un trajet sans Nantes de Beirut, sans L’eau à la bouche version Paradis, sans Respect d’Aretha Franklin et j’en passe!

Avec mon frère, chaque trajet en voiture est simple : Les Enfoirés, Goldman et on peut s’en donner à cœur joie pendant des heures mais avec Chéri, c’est déjà plus compliqué car si j’aime à peu près (excepté la techno) tout ce qu’il aime, lui n’aime pas tout ce que j’aime. Et il n’est pas du genre à attendre plusieurs écoutes pour se prononcer, quelques notes et déjà il peut s’exclamer « c’est nul! ».

La solution? Acheter une deuxième voiture!

Dans mon projo #5

Entre Boston Legal et la saison 7 de 24, on n’a pas regardé beaucoup de films ces derniers temps! Cela dit, voici dont je me souviens :

button.jpg The curious case of Benjamin Button : malgré les éloges, j’étais assez sceptique avant son visionnage mais je dois dire que je me suis vraiment prise au jeu et que j’ai beaucoup accroché à cette histoire. Cela étant, c’est sans doute l’histoire d’amour que j’ai trouvé le plus bancal car à deux reprises j’avais l’impression que Daisy (Cate Blanchett) répondait à des questions qui n’avaient pas encore été posé (“Je ne veux pas retourner à la Nouvelle-Orléans” et “Je ne veux pas vivre avec toi”), gachant ainsi l’effet dramatique.

Yes man : on change de registre avec cette nouvelle comédie de Jim Carrey. J’ai beau détester l’acteur, le film se laisse voir sans déplaisir. On ne rit pas aux éclats mais on sourit, aidé par la très belle Zooey Deschanel (The happening – She and Him).

slumdog-millionaire.jpg Slumdog Millionnaire : je ne pensais pas que le film était aussi dur en fait, mais malgré tout j’ai passé un très bon moment. On est pris dans l’intrigue, on déteste le frère, on adore le lien entre les deux amoureux et hop, c’est déjà la fin. Deux heures qui passent vite pour ce film oscarisé il y a peu!

Volt (Bolt en VO) : la bande-annonce n’est vraiment pas à la hauteur de ce nouveau Disney, heureusement quelque part! Du coup, sans attente, j’ai beaucoup aimé ce dessin-animé même si la voix française du personnage principal ne me plaisait pas trop. L’ensemble est mignon, tendre et amusant, sans être non plus très drôle mais tous les dessins animés ne le sont pas.

milk.jpg Milk : j’ai beau apprécié Sean Penn, c’est le seul film vu dernièrement que je n’ai pas vraiment aimé. Peut-être que le sujet (le premier élu américain à être ouvertement homosexuel) ne me touchait pas assez ou peut-être est-ce le fait qu’on connaisse la fin dès le début ou tout simplement que ce soit long, je ne sais pas mais en tout cas, je ne suis jamais sentie entrée dans le film. La réalisation de Gus Van Sant est un peu particulière et malgré les acteurs transformés (je n’ai pas reconnu Emile Hirsh et Sean Penn, ça dépend des moments), la magie n’a pas opéré, les personnages ne sont pas attachants.

Noms doux

coeur.jpgAh l’amour…

Ça nous fait faire des choses bizarres, ça nous fait glousser comme des adolescentes mais ça nous fait aussi dire de drôles de choses.

Parfois rigolo, souvent personnels, toujours tendres, les noms doux prennent bien des formes selon les couples. Certains choisissent tout simplement d’appeler leur moitié par son prénom ou son surnom, mais la plupart des amoureux affligent leur partenaire d’un petit nom trop mignon ou juste ridicule.

Du classique Chéri aux plus inusités Mamour ou Doudoune, les noms doux risquent de faire grincer les dents des couples modernes pour qui tout ceci n’est que démonstration « dégoulinante » d’affection comme le chantait Anaïs dans son premier succès Mon cœur, mon amour. « C’est beau mais c’est insupportable ».

Vraiment? J’ai grandi dans une maison dans laquelle on n’emploie aucune prénom ou presque. Mes parents s’appellent Bibiche mutuellement, et mon frère et moi avons différents « surnoms » selon les moments. Mon frère sera « Garçon », moi « Crapouillette » mais personne ne citera un prénom ou presque, surtout pas mes parents entre eux.
Je n’ai connu que ce schéma familial et quand j’entends des couples s’appelaient par leur prénom, j’ai toujours l’impression que cela impose une distance.

Dans mon entourage, Mlle C. appelle M. M. « Chouchou » et M. M. appelle Melle C. « N’amuuur« . Sur le papier ça peut paraître ridicule mais moi je trouve ça très mignon et entendre M. dire « Tu veux quelque chose, N’amuuur? », comme une petite moquerie aux « N’Amour » et autres petits mots dégoulinants est juste adorables.

Chez moi, on est plus terre-à-terre, Chéri est « Chaton » ou « Chéri » voire « Mon ptit cœur » auquel cas il répond « Oui, c’est moi » et moi je suis « Chat« , « Chatou » ou « Bibou (le matin au réveil) » le plus souvent!
Ces petites marques d’affection s’attrapent très vite et il devient difficile de faire machine arrière et d’appeler son amoureux par son prénom, même si c’est pour l’interpeller à l’autre bout d’un magasin. Cela dit, le rouge monte aux joues instantanément quand vous vous voyez crier « Chaton » dans une boucherie, sous les regards des clients. M’en fous, c’est l’amour!

Le duel

macaron.jpg Après les remarques de plusieurs personnes sur ces billets, j’ai décidé de me lancer à la conquête de Point G, l’autre boutique de macarons de la ville! Située à quelques pas de La maison du macaron mais sur la rue Mont-Royal, Point G est une petite boutique qui a l’avantage d’offrir autre chose que les petites gourmandises rondes: glaces et pâte à tartiner maison en tête.

Cela étant, qu’en est-il des macarons? Pour ne pas biaiser mon jugement j’ai acheté des macarons lundi dans chacune des deux boutiques dont un parfum commun : fraise. Le choix m’attirait plus à la MDM où j’ai pris fruits de la passion-chocolat et celui du mois : framboise-chocolat, en plus de la fraise. Chéri a pris, quant à lui, cannelle, caramel-beurre salé et fruits de la passion-chocolat.
Chez Point G, je me suis contentée d’un chocolat-noisette en plus de la fraise alors que Chéri a pris poire-gingembre et Passion-quelque chose.

De prime abord, ceux de Point G paraissent beaucoup moins « naturels » et « faits maison » que ceux de leur concurrent, ce qui ne se détrompe pas à la dégustation. Mon chocolat-noisette n’avait pas vraiment le goût de chocolat mais surtout était un peu sec alors que, dixit Chéri, le poire-gingembre avait un petit goût « chimique ». Après ça j’ai dégusté le fruit de la passion-chocolat de la MDM est, une fois de plus, je l’ai trouvé délicieux et moelleux!
Le seul désavantage de La maison du macaron, outre le fait qu’ils ne soient pas situés sur Mont-Royal même, c’est leur absence de diversité. Ils gagneraient à faire des glaces par exemple, ou encore d’autres petites gourmandises (malgré leur nom)…

Le bilan est donc sans appel pour nous, la Maison du macaron est vraiment meilleure, je ne comprends même pas comment il y a pu y avoir autant d’avis négatifs sur mes précédents billets et à l’inverse autant d’éloge pour Point G…
Il me reste ceux de l’Européa a goûté mais s’il faut en manger 6 à chaque fois, je ne rentrerais jamais dans mon maillot de bain cet été!

Tulipe et pôle Nord

tulipe.jpg Alors que les jours fériés s’enchainent en France au mois de mai, nous n’avons eu le droit qu’à un pauvre « jour des patriotes » aussi appelé « fête de la Reine » au Canada ce mois-ci et ça tombait ce lundi.

Pour ce long week-end de trois jours, nous avions prévu de retourner à Ottawa à l’occasion du Festival de la Tulipe lors d’une journée de beau temps. Samedi, c’était raté il a plu à plein temps, ce qui nous a permis de nous lancer à fond dans la saison 7 de 24, c’est donc dimanche que nous avons prévu notre excursion.

On a pris soin le matin de vérifier la météo qui indiquait, malgré le vent et les passages nuageux, 14 degrés… En vérité, on a fait un remake de Boston, on s’est caillé les miches une bonne partie de la journée!
D’autant que le Festival de la Tulipe, bah c’est un peu plate et qu’Ottawa (ville de fonctionnaire par excellence) est légèrement morte le dimanche… Enfin bon, on a bien marché malgré tout (faut dire que les tulipes étaient à l’autre bout de la ville par rapport à notre point de départ!) et on est rentré à temps pour un petit barbecue, de quoi bien finir la journée!

Lundi, alors qu’il faisait un peu plus chaud et surtout plus ensoleillé, on en a profité pour aller à pied sur la rue St Laurent voir les magasins de meubles. Bien sûr ce sont ceux qui nous intéressaient le plus qui étaient fermés mais ce n’est pas grave, on y retournera une autre fois… Comme par chaque journée de beau temps, les rues de Montréal étaient remplies, chacun avec sa tasse de café glacé à la main (sauf moi bien sûr, hein).
Rien qu’à l’idée qu’on soit mardi et que la semaine ne dure que 4 jours, j’ai déjà le sourire aux lèvres, ça fait du bien! Enfin ce n’est pas aux français que je vais apprendre ça alors que le mois de mai compte 3 jours fériés, sans parler des ponts!

Fin de saison

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Les épisodes de fin de saison battent leur plein en ce moment à la télé et il devient difficile de ne pas pleurer/vivre un suspens insoutenable à chaque nouveau visionnage! Il faut dire que les avant derniers épisodes avaient déjà mis la barre assez haute, entre Brothers and sisters, Grey’s anatomy et House par exemple… Du coup, petite déception devant le final de Brothers and sisters qui ressemble plus à un quelconque épisode alors que Private practice a réuni tous les éléments pour nous donner envie de revenir à la rentrée prochaine : cliffhanger, suspense, drame.
House finit bien la saison également, par un retournement un peu surprenant mais on ne peut que compatir avec ce pauvre Docteur House et ses dépendances… One tree hill finit comme on le prévoyait par le déclenchement d’un accouchement, quand on sait qu’aucun des deux acteurs n’a signé pour la saison prochaine, on peut se demander qui va survivre : la mère, le bébé ou aucun des deux?
Enfin Grey’s anatomy et Lost ont trouvé les ingrédients magiques (ou pas) avec questionnements à n’en plus finir (Lost), suspense insoutenable (Grey’s), émotion et humour (ou pas).

Damages et The L word sont finies depuis quelques semaines déjà (pour de bon pour la série lesbienne d’ailleurs) et n’ont malheureusement pas connu des épisodes aussi accrocheur que lors de leurs saisons précédentes… C’est ainsi que The L Word s’est fini en queue de poisson, sans vraie fin, sans explication, quel dommage! Je n’ai pas pensé à mentionner Heroes avant, il faut dire que toute la 2e partie de cette saison m’a passablement énervée! Comment Nathan peut-il encore une fois retourner sa veste? Pourquoi Bennet nous fait-il toujours croire qu’il est avec les méchants au début? Comment Angela peut-elle justifier aussi absurdement de garder Sylar vivant? Comment peut-on nous relancer sur la même idée que oui, on peut contrôler Sylar alors qu’on a déjà vu plusieurs fois ce que cela donnait!
Et How I met your mother dans tout ça? La sitcom est toujours gentillette mais elle s’essouffle vraiment! Même Barney ne fait plus vraiment rire, à part quelques épisodes/répliques parfois bien venues… Cela dit je n’ai pas encore vu le season finale…

Même si je suis triste de quitter toutes ces séries, je suis heureuse d’avoir un peu plus de temps libre, et surtout de retrouver les séries de l’été! Et oui, on ne se refait pas!