Mini baignoire, maxi effort

baignoire Cette semaine, alors que j’étais terrassée par un horrible virus (un rhume), j’ai entrepris l’expérience la plus périlleuse de ma jeune vie (oui oui)… prendre un bain dans ma mini-baignoire!

Or donc mercredi soir, pendant que je vous comptais les symptômes de ma maladie, j’étais tremblotante de fièvre derrière mon écran (comme quoi rien ne m’arrête) au point de finir par me traîner sous la douche pour tenter de calmer les frissons à grand coup d’eau chaude.
Je dis douche mais en fait c’est une baignoire-sabot ou plus exactement une mini baignoire-sabot! Si vous enlevez les bords montants, je pense que niveau surface ça équivaudrait à peu de chose près à une petite cabine de douche engoncée entre 2 murs!

L’eau chaude (bouillante) c’est sympa mais le robinet à balader un peu partout pour justement avoir chaud un peu partout c’est chiant au bout d’un moment, surtout que dans ce cas-là j’en mettais partout pour éviter d’atteindre mes cheveux (magnifiquement brushés la veille). Du coup, prise par une envie soudaine, j’ai tenté le tout pour le tout et j’ai entrepris de remplir ma mini baignoire d’un maximum d’eau, histoire de barboter…

Déjà ça a pris plus de temps que l’on ne pourrait s’imaginer pour un si petit objet, me laissant mourir de froid pendant l’opération. Quand enfin ce fut fait, il a fallu trouver une position pour m’immerger au maximum, c’est là que j’ai regretté ne pas avoir pris l’option contorsionniste à la naissance!
Y avait pas 36 solutions, c’est donc les fesses dans le talon du sabot (dans le creux quoi) que les choses paraissaient le plus adéquat. Sauf que ça impliquait d’avoir le truc rond qui sert à fermer le fond de la baignoire dans le dos! Très confortable vous l’imaginez! Ma mini baignoire devant faire 60 cm de large, se mettre de côté n’étant pas franchement mieux…

J’ai quand même réussi à barboter dans mon sabot pendant suffisamment longtemps pour retrouver une température corporelle normale. Par contre, je n’avais pas réfléchi à ma sortie dudit objet et ça a été toute une aventure! Parce que du coup, les fesses dans le creux et les jambes croisées sur la partie plus haute, bah je n’arrivais plus à m’extirper de ma baignoire! Ou plutôt j’ai réussi en créant un raz-de-marée, répandant de l’eau dans à peu près toute ma salle de bain (qui doit bien faire 2 m2) et en manquant glisser à 4 reprises! Fallait vraiment que j’ai envie d’un bain ce soir-là!

Californication

CalifornicationDiffusée cet été sur Showtime (câble US), j’avais entendu des critiques mitigées sur la nouvelle série de David Duchovny (X-Files), Californication. Puis ces dernières semaines, j’ai lu de bons avis sur différents blogs , notamment chez Carinette, ce qui m’a décidé à m’y mettre.

L’histoire
Hank Moody (David Duchovny donc) est un auteur sulfureux à succés mais en panne d’inspiration depuis plusieurs années déjà. Son ex-compagne, dont il est toujours épris, est sur le point de se marier à un type somme toute banal, ce qui ne l’aide pas à aller de l’avant. On suit les débauches du personnage principal qui tourne à l’alcool et aux drogues autant que sa quête du bonheur, qui passe par la reconquête de son ex, et ses réflexions sur la vie, les gens, l’honnêteté…

Avis
12 épisodes de 25 minutes pour cette première saison qui a le mérite d’avoir de très bons acteurs (hormis Becca, insupportable). Le sujet par contre n’a rien de très novateur mais heureusement les personnages sont attachants et Duchovny très sexy comme le soulignait Carinette.
Cette série est tout de même l’une des rares dont la fin de la saison pourrait être la fin de la série tant l’impression que tout est achevé et bien en place au dernier épisode est forte! Pour le coup, la série a quand même été renouvellée pour une 2e saison donc on verra bien ce que les scénaristes ont prévu…

Je m’étonne tout de même de suivre de plus en plus de séries diffusées sur le câble US où drogue, sexe, alcool sont mis en scène de façon extrêmement réaliste et/ou trash alors qu’en même temps ABC vient d’être condamnée à payer une amende de 1.4 millions de dollars pour avoir montrer une femme nue dans NYPD Blue en 2003! Dans ladite scène de 40 secondes, la femme rentrait ou sortait (je ne sais plus) de la douche… Choking!
Vive l’Amérique puritano-trash!

Fallait bien que ça arrive…

Pendant 6 semaines je n’ai pas travaillé. Pendant 6 semaines je mettais mon réveil à 9h pour ne réussir à me lever qu’à 10. Pendant 6 semaines, je matais des séries tout en repoussant le moment où je relancerais les agences intérim pour travailler. Pendant 6 semaines, j’étais au chaud chez moi, à me goinfrer de Délichocs et smoothies.

Il a fallu que je tombe malade la 7e semaine, pile celle où je recommence à travailler! C’est quand même pas de bol! Alors que j’aurais pu dormir à loisir avec la fièvre pour excuse, manger des soupes bouillantes devant des séries avec mes 83 mouchoirs dispersés à travers l’appart, il faut que je fasse bonne figure qu travail!
rhume
Et croyez-moi c’est pas simple pas simple parce que, quand je suis enrhumée, outre le nez qui coule, j’ai aussi les yeux qui pleurent (mais vraiment), et un plus que l’autre!
Pour une hôtesse d’accueil, le nez rouge, les yeux rouges (dont un qu’on jurerait qu’il s’est pris un coup), puis noirs à la fin de la journée (à cause du mascara), les poches violettes sous les yeux et le teint grisâtre, c’est pas terrible! Sans compter les besoins urgents de se moucher (très fort évidemment) quand vous avez le DG en face de vous qui vous pose une question, la variante étant l’envie d’éternuer pile quand le téléphone sonne ; bonjour la classe! Avec ça, la tête prête à exploser, l’envie de dormir incontrôlable, vous avez le tableau d’une intérimaire toute dévouée à son travail! Pas sûrs qu’ils me rappelleront…

Certaines mauvaises langues disent que c’est une allergie au travail qui se manifeste alors que j’aurais tendance à penser que c’est mon karma qui me revient en pleine figure pour être un tantinet fainéante… Allez savoir!

Changement de décor – David Lodge

LodgeDe David Lodge j’ai lu Pensées secrètes sur une plage de République Dominicaine il y a tout juste 2 ans. À l’époque, outre mon bronzage de malade en plein hiver, j’avais beaucoup aimé ce roman, lu en quelques jours à peine.

En errant dans les rayons de la bibliothèque il y a 15 jours, je suis tombée de nouveau sur cet auteur sans trop savoir quel livre emprunté. Il me semblait que Kriss n’avait pas aimé celui qu’elle avait lu mais j’étais incapable de me souvenir de son titre.
En lisant les 4e de couverture, je choisis Changement de décor qui citait deux critiques : « Un suspense cocasse, une satire divertissante dont personne ne sort indemne. » (Aleth Paluel-Marmont, Cosmopolitan), « On se plie de rire, on en pleure. » (Monique Gehler, L’Événement du jeudi)…

L’histoire
En pleine révolution sexuelle, 2 professeurs de littérature anglaise (l’un américain, l’autre britannique) échangent leur poste pour 6 mois. S’en suit une série d’aventures où ils finiront par échanger bien plus que leurs emplois.

Avis
Les 100 premières pages sont très, très longues, au point que les descriptions de Balzac paraissent courtes à côté! Une fois la mise en place faite, je m’attendais à rire et pleurer (logique) mais que nenni! Le livre est moyen, limite fade, tout le long, sa seule originalité étant formelle.
En effet, découpée en plusieurs parties, l’une d’elle est épistolaire (peut-être la meilleure) alors que la dernière est écrite comme un scénario de film (pas grand intérêt). À part ces effets de manche, rien à signaler, tout est assez convenu dans ce changement de décor et de femmes.
On a aussi le droit de temps en temps à un discours sur la littérature (prof d’anglais oblige), voire sur Jane Austen (qui décidément me poursuit depuis quelques mois), c’est pas désagréable mais est-ce bien utilisé dans ce pavé déjà compact et pas toujours digeste que représente le livre…

Recherche ami(e) désespérément !

Non, non, ce n’est pas pour remplir ma vie sociale que je dis ça, mais parce qu’il y a une fonction de Facebook que j’adore particulièrement : la recherche d’ami! Facebook, au début, j’étais à fond, ajoutant nouvelles applications, Wall, FunWall, SuperWall, Quizz, Quizz+, etc., jusqu’au jour où j’en ai eu marre de recevoir plein de messages type chaînes alors que je m’abstenais moi-même de les faire suivre. J’ai donc tout enlevé (ou presque), ce qui me permet maintenant de passer beaucoup moins de temps sur Facebook sauf quand je commence à jouer du bouton « search »…
Facebook
Retrouver de vieux amis ou d’anciennes connaissances m’amuse beaucoup mais me prend un temps fou l’air de rien!
Il y a ceux dont je suis sûre des noms mais qui ont des dizaines d’homonymes (essayez de trouver un Lambert, vous verrez).
Et puis il y a ceux dont je me rappelle des noms mais pas l’orthographe exacte, alors pour peu que ce soit quelque chose de courant, je n’ai pas fini (Gautier, Gauthier?).
Sans oublier ceux dont je me souviens à peu près du nom mais en fait pas tant que ça donc j’essaie 10 possibilités sans savoir si l’absence de résultat vient d’une erreur de ma part ou si la personne n’est tout simplement pas inscrite (Filmore, Felmore, Falmore??) !
Enfin il y a ceux dont je ne me rappelle qu’une vague silhouette ou une anecdote mais dont j’ai très envie de voir à quoi ils ressemblent maintenant (et ce qu’ils font accessoirement) et là il faut soit faire travailler sa mémoire, soit arpenter les listes d’amis de vos amis en espérant qu’un nom vous semble familier, soit encore chercher des groupes dans lesquels ils pourraient éventuellement être inscrits s’ils étaient éventuellement membre de Facebook!

Toutes ces opérations sont à renouveler régulièrement évidemment au cas où les personnes recherchées s’inscriraient entre temps… Ah! Vive les réseaux sociaux!

4 films à voir (…ou pas)

La vie des autres La vie des autres est un film allemand, ce qui en soi aurait tendance à me rebuter, mais il a été tellement encensé que je me suis dit qu’il était dommage de ne pas le voir. Il dure 2h17, 2h pendant lesquelles je n’ai pas vu le temps passer. C’est élégant, sobre, dur, humain, en d’autres mots à voir, d’autant que les deux acteurs masculins sont extraordinaires!
Je l’ai vu dans une petite salle d’Art et d’essai, La Pagode dans le 7e, qui est assez incroyable. Elle a été construite en 1895 pour la femme du directeur du Bon Marché et c’est un vrai trésor venu d’Orient! Il faudrait que j’y retourne de jour pour saisir toute la splendeur de ce lieu un peu incongru à Paris mais qui a quelque chose de magique. La salle principale est une ancienne salle de bal qui nous transporte tout droit en Asie et on se plaît à imaginer à quoi elle pourra ressembler entièrement restaurée…

We own the night Autre film vu cette semaine, We own the night (La nuit nous appartient) de James Gray avec Joaquim Phoenix et Mark Wahlberg. C’est une histoire de drogue et de police sur fond d’années 80 (décidément après American gangster et les 70’s!) mais surtout sur fond d’histoire familiale car ici 2 frères marchent dans des directions opposées au début . Ce n’est pas un film d’action mais un tableau de famille ou plutôt un drame social qui place un des protagonistes devant un choix, voire devant l’absence de choix.
Si le film n’échappe pa à quelques clichés scénaristiques, il reste une très grande et très belle oeuvre de Gray dont je vais m’empresser de voir The Yards et Little Odessa maintenant.

Lucky you Troisième film vu, Lucky you que les amateurs de poker apprécieront sans doute, avec Eric Bana et Drew Barrymore. Pas grand chose à dire sur les acteurs qui ne font pas de performance exceptionnelle mais qui sont sympas à regarder, par contre l’histoire manque de force. On suit un joueur professionnel qui lutte contre ses démons intérieurs et son enfance, tout en tentant de vivre une histoire d’amour. Ça se laisse voir et ça m’a surtout donné envie de rejouer au poker!

prix_a_payer.jpg Pour finir, une comédie française, Le prix à payer, que le bande annonce m’avait vraiment donné envie de voir. Sauf que la bande annonce a inclu toutes les scènes drôles et que la comédie tire plus sur la tragédie par moment.
L’idée de départ était prometteuse mais a été mal exploitée: un riche quinqua (Christian Clavier) pose un ultimatum à sa femme oisive et dépensière (Nathalie Baye): « pas de sexe, pas d’argent » sur les conseils de son chauffeur (Gérard Lanvin), qui lui-même connaît quelques problèmes de couple. Les acteurs sont bons, rien à dire, et d’ailleurs c’est une des rares fois où je vois Clavier sans toutes ses mimiques type Les visiteurs, je ne me souvenais même plus qu’il pouvait parler normalement!

Donuts party et vodka…

Après le brunch dimanche, la semaine s’est poursuivie en festivités, à bas prix pour l’essentielles, grâce à Gé-les bons tuyaux, une copine!

Lundi soir, nous avons profité du festival Télérama pour aller voir La vie des autres pour 3 euros, dans un cinéma assez incroyable, je vous en reparlerai.

Juice Mercredi soir, rendez-vous avec d’autres personnes à 23h devant le Rex club pour la soirée JUICE du magazine Clark. Sachant qu’il y avait un open-bar vodka de 23h30 à 00h30, on avait fait en sorte d’arriver en avance! Tellement en avance qu’en fait ce n’était pas encore ouvert! Une des différences typiques avec le Canada, ici peu de soirées commencent vraiment avant minuit alors que là-bas c’est plutôt dès 22h.
En tout cas, on était les premiers de la file et donc les premiers au bar et là, belle surprise, ils proposent même du jus de canneberge! Pardon de « cranberry » parce qu’en France, on est pas capable de traduire un mot donc on garde la version plus « in » anglaise!!

Ceci mise à part, on a donc rentabilisé l’open-bar avec 4 verres chacun mais on manquait de stratégie car les heures suivantes on a crevé de soif! Et vu le prix des consos (9 euros la smirnoff ice), y avait pas moyen (en tout cas pour moi).
Concernant la soirée en tant que telle, ce n’était pas bondé, ce qui permettait au moins d’avoir de la place pour danser. Par contre, la musique étant purement électro ce n’est pas ce que je préfère car c’est vraiment hyper solo je trouve.

Dans un registre plus glauque, une fille s’est cassée la figure dans les escaliers menant aux toilettes et a du être évacuée par les pompiers!
Par contre, ça a pris super longtemps, ce qui fait que pendant bien une heure on ne pouvait ni sortir, ni aller aux toilettes (et ça quand vous avez bu 4 verres en peu de temps, c’est un VRAI problème!).
Sur les coups de 3h30, il a fallu trouver un moyen de rentrer et autant vous dire qu’il faisait trop froid pour le Vélib et que j’habitais trop loin pour marcher! Du coup, vu que la soirée n’avait rien coûté jusque-là, je me suis « offert » une virée en taxi, le bonheur!

Donuts party Jeudi, changement de décor, on se rend à l’inauguration d’une exposition sur le thème des donuts dans la boutique Artoyz. Comme les choses sont bien faites (et on était un peu là pour ça aussi!), ils offrent un donut maison à chacun (et même des bières mais ça moi j’aime pas), mais comme les choses sont mal organisées, il faut faire la queue très longtemps pour rentrer pendant que plein de petits malins grugent tout le monde!
Arf, j’en aurais bien engueulé quelques-uns mais ma seule tentative n’a pas été fructueuse: – Excusez-moi j’aimerais passer! (ils me demandent la permission de gruger!) – Non mais on fait la queue là tu vois! – Ah euh, oui, non, mais c’est juste pour voir comment s’est organisé, jusqu’où ça va quoi… – Ouais, c’est ça, j’ai l’air dupe là?! Du coup, il me semble que ceux-ci ont fini par faire demi-tour mais je n’en suis même pas sûre, tellement ils ne doutent de rien ces ptits cons (parce qu’ils étaient jeunes dans l’ensemble).

Enfin voilà, c’était une semaine sympa d’autant qu’il y a eu deux bonnes nouvelles: je travaille la semaine prochaine (sauf vendredi, arf!) et surtout j’ai reçu le courier de l’ambassade du Canada m’invitant à passer ma visite médicale pour ma demande de Résidence Permanente, les choses se précisent!

La chanson de la semaine: Vultures de Cocoon

Cocoon
Cocoon est un groupe, ou plutôt un duo, français qui a la particularité de ne chanter qu’en anglais. Avec leur premier album, My friends all died in a plane crash, ils ont gagné le gros lot, remportant prix sur prix (CQFD des Inrocks, Bourges, Eurockéennes, Fair).

Au visuel de leur album on pourrait sans doute déjà l’identifier, Cocoon est un groupe de folk… C’est un peu mélancolique, souvent doux, un album d’automne autrement dit, quoiqu’il sera à ressortir en décembre prochain pour la sympathique chanson Christmas song.
Le groupe se compose de Mark Daumail (22 ans) et Morgane Imbeaud (19 ans), si vous voulez les voir en interview, cliquez sur ce lien de l’express, vous aurez le loisir de contempler à quel point ils sont charmants, surtout Mark évidemment!

Dans l’ensemble, bien que je n’aime pas spécialement la folk, ou tout ce qui est mélancolique en général (excepté Elliott Smith dont ils s’inspirent d’ailleurs), je trouve cet album agréable. Bien sûr certains morceaux peinent à retenir mon attention, mais sur les 12, 5 obtiennent 3 étoiles dans mon Itunes, ce qui est vraiment pas mal.
En outre, dans une interview, Mark expliquait qu’il écoutait beaucoup de hip-hop en ce moment, ce qui ne manquerait pas de l’influencer pour leur second album, ça promet…

Leur myspace, qui vous permettra en plus d’entendre leur reprise d’Hey ya d’Outkast: http://www.myspace.com/listentococoon

Vous regardez trop la télé, bonsoir

Télé
Je ne regarde pas beaucoup la télé (les séries étant sur mon PC) mais beaucoup trop quand même et suffisament en tout cas pour avoir un avis sur plein d’émissions… Ou Feu mon avis vu que ma télévision a rendu l’âme il y a peu…

  • Commençons par D&co sur M6. À chaque fois que je tombe dessus et que j’écoute les projets de Valérie Damidot pour l’appart ou la maison que son équipe va rénover, je me dis « bouah quel mauvais goût, on n’a pas idée ».

Sur ce je zappe, je reviens de temps en temps en cours de travaux le temps de me dire « mais qui voudrait avoir un placard repeint comme ça » et puis vient le moment de la révélation finale et là, quasi à chaque fois, je reste scotchée!
La plupart du temps, je trouve le résultat vraiment superbe, avec plein de petites idées que je me dis qu’il faudrait que je garde pour l’éventuel jour où j’aurais mon propre appart. Ce qui m’impressionne le plus, c’est le caractère qu’ils arrivent à donner à des pièces qui sont souvent très quelconques à la base.

  • Autre chaîne, autre émission, Star Academy! Nan mais je regarde pas, je vous jure, mais il se trouve que, quand même, je connais à peu près le nom de tous les élèves… et même qu’il y a quelques semaines ils ont fait un prime spécial Grégory Lemarchal, et ben j’avais beau ne pas spécialement aimé ce que ce jeune homme chantait, c’était hyper émouvant, j’ai pleuré toute la soirée! Enfin pas vraiment parce qu’officiellement je regardais NCIS…

Quoiqu’il en soit la Star Ac ça présente quand même à peu près aucun intérêt mais bon de temps en temps c’est rigolo, enfin sauf Nikos qui est vraiment une tête à claque! Je peux pas le voir, j’ai horreur de son espèce de rire forcé, j’ai horreur de sa façon de courir partout comme s’il était sous ecsta et en plus il se prend pour un chanteur, il a même sorti un album de duo en Grèce dont on ne devrait d’ailleurs pas tarder à entendre parler en France.
Dans ce type d’émission je préfère largement La Nouvelle Star où au moins on ne se prend pas au sérieux (quoique le nouveau jury, avec Lio, a vraiment l’air pourri – au moins sur le papier) et où les candidats ont une vraie personnalité.

  • Histoire de diversifier notre panel, partons maintenant sur France 2, pour une émission diffusée tôt le matin – et donc que je ne regarde que rarement ou alors à dose de 5 minutes 30 par jour, le temps de mon petit-déj -, je veux bien sûr parler de Télématin! À l’antenne depuis très très longtemps, William Leymergie s’évertue à nous réveiller chaque matin avec bonne humeur. Oups, non pardon, ça ne peut pas être lui parce que lui aussi c’est une tête à claque (et je ne parle pas de l’émission québécoise!). Ce mec, c’est pareil, je n’accroche pas. Il paraît parfaitement désagréable, toujours arrogant et sans arrêt hautain. La meilleure chose qui soit arrivée cette année c’est sa tentative d’étrangler un chroniqueur et sa suspension! En vrai, on ne sait pas exactement ce qui s’est passé mais au moins pendant 15 jours on était débarassé de lui, youhou!

  • Je vous aurais bien parlé aussi de Drucker et de Vivement dimanche mais pour le coup je ne regarde vraiment pas, donc pour finir je parlerai une nouvelle fois du Grand Journal de Canal +.

Dans cette émission, si j’aime beaucoup les chroniqueurs, j’ai beaucoup plus de mal avec Michel Denisot. Je ne sais pas pourquoi je le trouve toujours à la ramasse. Déjà il parle lentement, il ne finit pas toujours ses phrases et pour moi qui apprécie beaucoup Fogiel, forcément ça crée un décalage qui me perturbe. Il est gentil, pour ne pas dire gentillet mais il est pas très vif…
Heureusement il sait bien s’entourer, Yann Barthès qu’on ne présente plus, Ariane Massenet, ex-compère de Fogiel justement, Jean-Michel Apathie qui apporte une bonne dose de culture et de politique, Thomas Ngijol et ses top 5 bien marrants, Omar et Fred, etc. Bref, le Grand Journal c’est bien et sans Denisot ça serait peut-être mieux encore mais pas forcément…

  • Ah j’allais oublier Salut les terriens de l’homme en noir, Thierry Ardisson! Déjà on n’a pas idée de choisir un tel titre pour un talk show! Franchement, la diffusion a commencé quand j’étais au Canada et quand je voyais le lien sur le site de Canal, j’étais persuadée qu’il s’agissait plus d’un mélange entre Groland et un dessin animé que du nouvel hebdo d’Ardisson!

Du coup, il a fallu attendre juin et mon retour en France pour que je découvre par hasard ce qui se cachait derrière ce nom et là, deuxième surprise, retrouver Ardisson en plein jour! Oui c’est con, mais après l’avoir vu et apprécié pendant des années les nuits du samedi soir, il était bizarre de le découvrir à 19h dans un nouveau décor… Comme je n’ai aucune mémoire je ne pense que très rarement à regarder son émission mais de ce que j’en ai vu c’est le même ton et à peu près le même principe bien qu’on doive se passer de quelques gimmicks (musicaux notamment) auxquels on s’était habitués…